MoffettNathanson, une société d'études de marché, a exprimé un avis négatif sur l'acquisition potentielle de Frontier Communications (NASDAQ: FYBR) par Verizon Communications (NYSE: VZ).
Le cabinet a qualifié cette opération de "mauvaise idée", suggérant que s'il y avait des gagnants dans cette transaction, ce serait T-Mobile, car cela implique que T-Mobile n'achèterait pas Frontier.
L'analyste a souligné que le réseau FTTH (fiber-to-the-home) existant de Verizon ne couvre qu'environ 9 % des ménages américains, dans une zone de couverture filaire qui s'étend sur environ 17 %, sur la base des données de la carte à large bande de la Federal Communications Commission (FCC) à la fin de l'année 2023.
L'analyste a noté que Verizon avait précédemment estimé que la mise à niveau de la couverture restante n'était pas intéressante d'un point de vue financier et qu'elle avait plutôt opté pour des extensions modestes.
En outre, l'analyste a souligné que Verizon avait précédemment détenu la majorité des actifs de Frontier et les avait vendus après avoir décidé de se concentrer sur les services sans fil plutôt que sur les services filaires afin d'obtenir une combinaison sans fil/filaire plus favorable que celle de son homologue, AT&T (NYSE:T).
Le débat interne à Verizon concernant une stratégie de convergence sans fil/fibre a été mentionné, avec la conclusion que la stratégie avait été rejetée.
Les commentaires de l'entreprise reflètent un certain scepticisme quant à la valeur stratégique de la décision de Verizon de racheter les actifs de Frontier Communications, surtout si l'on tient compte de l'approche historique de Verizon à l'égard de son empreinte filaire et de ses actifs dans le domaine de la fibre optique.
Dans d'autres nouvelles récentes, AT&T a été le point de mire de plusieurs sociétés financières à la suite de ses excellents résultats du deuxième trimestre. Les résultats financiers du géant des télécommunications ont montré que le chiffre d'affaires et l'EBITDA correspondaient aux attentes du marché, et que le flux de trésorerie disponible dépassait les prévisions, en grande partie grâce à la réduction des dépenses d'investissement. Des sociétés telles que Citi, Oppenheimer et Scotiabank ont toutes relevé leurs objectifs de prix pour AT&T, reflétant ainsi leur confiance dans la trajectoire de croissance de l'entreprise.
Cet article a été généré et traduit avec l'aide de l'IA et revu par un rédacteur. Pour plus d'informations, consultez nos T&C.