Après avoir inscrit hier un nouveau plancher annuel, la Bourse de Paris devrait rebondir mardi matin, dans le sillage de Wall Street qui a totalement inversé la vapeur lundi soir.
Vers 8h15, le contrat futur sur l'indice CAC 40 - échéance fin décembre - grimpe de 45,5 points à 4780 points, annonçant un début de séance dans le vert.
En chutant de 1,5% à 4742,4 points hier, le marché parisien est revenu à ses plus bas niveaux depuis janvier 2017, ce qui n'a pas déclenché le plus petit début d'une chasse aux bonnes affaires.
Il faut dire que l'onde de choc du report du vote britannique sur le Brexit a provoqué un sévère décrochage des marchés mondiaux dans leur ensemble, ainsi qu'une vague de turbulences monétaires en cascade.
Mais comme d'habitude, une demi-heure après la clôture des places européennes, les indices américains ont entamé leur remontée, dans le cadre d'un scénario qui apparaît désormais bien rôdé.
A la clôture de New York, le Dow Jones parvenait ainsi à s'octroyer 0,1%, après avoir dévissé un moment de 2%, tandis que le Nasdaq reprenait plus de 0,7%.
Dans une note diffusée hier, les analystes de Robeco décrivent des marchés qui arrivent 'à bout de souffle'.
'Etant donné que la croissance mondiale commence à ralentir, que les risques géopolitiques qui perdurent continuent d'alimenter les inquiétudes, et que la Fed n'en a pas terminé avec son cycle de resserrement monétaire, la situation reste difficile', estime le gérant d'actifs.
Dans de telles conditions, le CAC 40 semble bien parti pour aller combler le 'gap' des 4640 points, du 6 décembre 2016, avant de peut-être reprendre appui sur le palier des 4500 points.
Pour bon nombre d'analystes techniques, les acheteurs devraient commencer à se manifester à l'approche de l'ex-résistance des 4550 points de la fin 2016.
En revanche, 'à très court terme, il faudrait un retour rapide sur la zone des 4850/4875 points pour réduire quelque peu la pression vendeuse,' préviennent les équipes de Kiplink Finance.
Un objectif qui semble presque inaccessible à l'heure actuelle....
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Vers 8h15, le contrat futur sur l'indice CAC 40 - échéance fin décembre - grimpe de 45,5 points à 4780 points, annonçant un début de séance dans le vert.
En chutant de 1,5% à 4742,4 points hier, le marché parisien est revenu à ses plus bas niveaux depuis janvier 2017, ce qui n'a pas déclenché le plus petit début d'une chasse aux bonnes affaires.
Il faut dire que l'onde de choc du report du vote britannique sur le Brexit a provoqué un sévère décrochage des marchés mondiaux dans leur ensemble, ainsi qu'une vague de turbulences monétaires en cascade.
Mais comme d'habitude, une demi-heure après la clôture des places européennes, les indices américains ont entamé leur remontée, dans le cadre d'un scénario qui apparaît désormais bien rôdé.
A la clôture de New York, le Dow Jones parvenait ainsi à s'octroyer 0,1%, après avoir dévissé un moment de 2%, tandis que le Nasdaq reprenait plus de 0,7%.
Dans une note diffusée hier, les analystes de Robeco décrivent des marchés qui arrivent 'à bout de souffle'.
'Etant donné que la croissance mondiale commence à ralentir, que les risques géopolitiques qui perdurent continuent d'alimenter les inquiétudes, et que la Fed n'en a pas terminé avec son cycle de resserrement monétaire, la situation reste difficile', estime le gérant d'actifs.
Dans de telles conditions, le CAC 40 semble bien parti pour aller combler le 'gap' des 4640 points, du 6 décembre 2016, avant de peut-être reprendre appui sur le palier des 4500 points.
Pour bon nombre d'analystes techniques, les acheteurs devraient commencer à se manifester à l'approche de l'ex-résistance des 4550 points de la fin 2016.
En revanche, 'à très court terme, il faudrait un retour rapide sur la zone des 4850/4875 points pour réduire quelque peu la pression vendeuse,' préviennent les équipes de Kiplink Finance.
Un objectif qui semble presque inaccessible à l'heure actuelle....
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