L'action Burberry cède 0,1% à Londres après la publication de ses revenus du second semestre (exercice décalé).
Ceux-ci sont ressortis à un peu plus d'1,4 milliards de livres, soit une progression de 9% hors effet de change en glissement annuel.
D'une façon générale, la dynamique des ventes aux Etats-Unis et sur le Vieux Continent a plus que compensé des résultats décevants à Hong Kong.
L'activité 'Retail', qui représente les trois quarts des ventes totales du groupe, a crû de 14% sur la période à un peu plus d'un milliard de livres, un niveau légèrement supérieur aux attentes d'Aurel BGC, toujours à 'conserver' sur la valeur et qui a également vu les ventes du quatrième trimestre croître davantage que ce qu'il avait anticipé (+9% contre +7%)
La performance du 'Wholesale' est, elle, en ligne avec les prévisions de l'analyste, avec des revenus quasi-stables à 331 millions de livres au second semestre, tout comme celle des licences (33 millions de livres).
'Les effets devises devraient être très positifs sur 2015/16 (environ 50 millions de livres sur le résultat opérationnel courant du 'Retail/Wholesale' si les parités actuelles persistent), mais ils devraient être en partie compensés par un mix de ventes défavorable (activité sous pression à Hong Kong) et les investissements continus pour soutenir la croissance', poursuit Aurel BGC.
Sur le premier semestre de l'exercice 2015-2016, Burberry table sur des ventes 'Wholesale' stables à taux de change constants.
'La transition à venir au Japon, indispensable sur le plan stratégique, et les investissements soutenus dans la 'Beauté' vont inévitablement peser sur sa dynamique de résultats à court terme. Ces éléments, combinés à des attentes de marché élevées et à un très bon parcours boursier depuis un an pourraient limiter le potentiel haussier du titre à court terme', prévient enfin Aurel BGC. Un point de vue conforté par le comportement du titre aujourd'hui sur le LSE.
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Ceux-ci sont ressortis à un peu plus d'1,4 milliards de livres, soit une progression de 9% hors effet de change en glissement annuel.
D'une façon générale, la dynamique des ventes aux Etats-Unis et sur le Vieux Continent a plus que compensé des résultats décevants à Hong Kong.
L'activité 'Retail', qui représente les trois quarts des ventes totales du groupe, a crû de 14% sur la période à un peu plus d'un milliard de livres, un niveau légèrement supérieur aux attentes d'Aurel BGC, toujours à 'conserver' sur la valeur et qui a également vu les ventes du quatrième trimestre croître davantage que ce qu'il avait anticipé (+9% contre +7%)
La performance du 'Wholesale' est, elle, en ligne avec les prévisions de l'analyste, avec des revenus quasi-stables à 331 millions de livres au second semestre, tout comme celle des licences (33 millions de livres).
'Les effets devises devraient être très positifs sur 2015/16 (environ 50 millions de livres sur le résultat opérationnel courant du 'Retail/Wholesale' si les parités actuelles persistent), mais ils devraient être en partie compensés par un mix de ventes défavorable (activité sous pression à Hong Kong) et les investissements continus pour soutenir la croissance', poursuit Aurel BGC.
Sur le premier semestre de l'exercice 2015-2016, Burberry table sur des ventes 'Wholesale' stables à taux de change constants.
'La transition à venir au Japon, indispensable sur le plan stratégique, et les investissements soutenus dans la 'Beauté' vont inévitablement peser sur sa dynamique de résultats à court terme. Ces éléments, combinés à des attentes de marché élevées et à un très bon parcours boursier depuis un an pourraient limiter le potentiel haussier du titre à court terme', prévient enfin Aurel BGC. Un point de vue conforté par le comportement du titre aujourd'hui sur le LSE.
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