Siemens recule de 2,3% à Francfort, délaissé pour la présentation de ses comptes au titre de son deuxième trimestre comptable, gonflés essentiellement par des gains sur cessions d'activité et des effets de changes favorables.
Le conglomérat industriel affiche un bénéfice net de 3,9 milliards d'euros sur les trois premiers mois de 2015, plus que triplé par rapport à la même période un an auparavant grâce à des gains sur les cessions des activités correction auditive et information hospitalière.
Le profit des activités industrielles s'est par contre tassé de 5% à moins de 1,7 milliard d'euros, un niveau légèrement inférieur aux attentes, soit une marge correspondante qui s'est dégradée de 1,3 point à 9%.
La croissance de 8% du chiffre d'affaires, à un peu plus de 18 milliard d'euros, reflète essentiellement l'effet positif de la dépréciation de l'euro : en données comparables, les revenus de Siemens ont stagné en comparaison annuelle.
A près de 20,8 milliards d'euros, les prises de commandes ont toutefois augmenté de 16% (+7% en données comparables), portant ainsi le carnet de commandes des activités industrielles à un nouveau record de 109 milliards.
La direction confirme ses objectifs pour l'ensemble de l'exercice, à savoir des revenus stables en organique et une marge de profit sur les activités industrielles entre 10 et 11%. Les gains sur cessions devraient en outre lui permettre d'accroitre d'au moins 15% son BPA.
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Le conglomérat industriel affiche un bénéfice net de 3,9 milliards d'euros sur les trois premiers mois de 2015, plus que triplé par rapport à la même période un an auparavant grâce à des gains sur les cessions des activités correction auditive et information hospitalière.
Le profit des activités industrielles s'est par contre tassé de 5% à moins de 1,7 milliard d'euros, un niveau légèrement inférieur aux attentes, soit une marge correspondante qui s'est dégradée de 1,3 point à 9%.
La croissance de 8% du chiffre d'affaires, à un peu plus de 18 milliard d'euros, reflète essentiellement l'effet positif de la dépréciation de l'euro : en données comparables, les revenus de Siemens ont stagné en comparaison annuelle.
A près de 20,8 milliards d'euros, les prises de commandes ont toutefois augmenté de 16% (+7% en données comparables), portant ainsi le carnet de commandes des activités industrielles à un nouveau record de 109 milliards.
La direction confirme ses objectifs pour l'ensemble de l'exercice, à savoir des revenus stables en organique et une marge de profit sur les activités industrielles entre 10 et 11%. Les gains sur cessions devraient en outre lui permettre d'accroitre d'au moins 15% son BPA.
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