Investing.com - Le dollar U.S. était en forme face à la plupart de ses concurrents ce mardi, après que James Bullard, président de la Réserve Fédérale de St. Louis, ait déclaré ce matin que les décideurs américains pourraient ne pas attendre que toutes les incertitudes mondiales soient résolues pour rendre la politique monétaire plus normale.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.17% pour tomber à 1.4061.
M. Bullard avait par ailleurs affirmé que les programme d'achats par la Réserve Fédérale d'actifs à hauteur de 600 milliards d'USD pourrait être réduit de 100 milliards, et rappelé qu'une trop longue attente avant un durcissement de la politique monétaire pourrait entraîner "beaucoup d'inflation" aux Etats-Unis et dans le reste du monde.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.12% pour chuter à 1.5971.
Des résultats officiels aient montré ce matin que bien que l'économie de la Grande-Bretagne ait moins régressé au quatrième trimestre qu'il n'avait été craint, elle avait tout de même subi son pire revers depuis le second trimestre 2009.
Le yen et le franc suisse ont aussi subi sa pression, l'USD/JPY grimpant de 0.83% pour se hisser à 82.38 et l'USD/CHF grignotant 0.55% pour culminer à 0.9217.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominé par sa cousine canadienn, mais pas par l'australienne ni la néo-zélandaise, l'USD/CAD dérapant de 0.15% pour descendre à 0.9765, l'AUD/USD cédant 0.23% pour se retrouver à 1.022 et le NZD/USD se laissant arracher 0.06% pour toucher le fond à 0.7507.
Des informations émanant des autorités de la Nouvelle-Zélande avaient auparavant signalé que la balance commerciale du pays était passée d'un déficit en janvier à un excédent de 194 millions de NZD pour février.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a engrangé 0.25%.
Une étude américaine a pour sa part indiqué aujourd'hui que l'indice des prix des logements S&P/Case-Shiller avait connu au cours du premier mois de l'année sa septième régression mensuelle consécutive.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.17% pour tomber à 1.4061.
M. Bullard avait par ailleurs affirmé que les programme d'achats par la Réserve Fédérale d'actifs à hauteur de 600 milliards d'USD pourrait être réduit de 100 milliards, et rappelé qu'une trop longue attente avant un durcissement de la politique monétaire pourrait entraîner "beaucoup d'inflation" aux Etats-Unis et dans le reste du monde.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.12% pour chuter à 1.5971.
Des résultats officiels aient montré ce matin que bien que l'économie de la Grande-Bretagne ait moins régressé au quatrième trimestre qu'il n'avait été craint, elle avait tout de même subi son pire revers depuis le second trimestre 2009.
Le yen et le franc suisse ont aussi subi sa pression, l'USD/JPY grimpant de 0.83% pour se hisser à 82.38 et l'USD/CHF grignotant 0.55% pour culminer à 0.9217.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominé par sa cousine canadienn, mais pas par l'australienne ni la néo-zélandaise, l'USD/CAD dérapant de 0.15% pour descendre à 0.9765, l'AUD/USD cédant 0.23% pour se retrouver à 1.022 et le NZD/USD se laissant arracher 0.06% pour toucher le fond à 0.7507.
Des informations émanant des autorités de la Nouvelle-Zélande avaient auparavant signalé que la balance commerciale du pays était passée d'un déficit en janvier à un excédent de 194 millions de NZD pour février.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a engrangé 0.25%.
Une étude américaine a pour sa part indiqué aujourd'hui que l'indice des prix des logements S&P/Case-Shiller avait connu au cours du premier mois de l'année sa septième régression mensuelle consécutive.