Investing.com - Les bourses asiatiques étaient nettement en berne ce mardi après que le Fonds Monétaire International ait revu ses prévisions de croissance pour le Japon et les Etats-Unis à la baisse, tandis que les marchés de Tokyo chutaient sur fond de craintes concernant la crise nucléaire dans le pays.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong perdait 1.5%, l'indice composite sud-coréen Kospi 1.55% et le Nikkei 225 japonais 1.69%.
L'agence de sûreté nucléaire et industrielle nippone a en effet remonté son évaluation de la gravité de l'accident de Fukushima de 5 vers 7, un niveau identique à celui de Tchernobyl en 1986, et le plus élevé de l'échelle. Le moral des investisseurs a également été tiré vers le bas par le nouveau séisme ayant secoué l'est du Japon en début de journée.
La Tokyo Electric Power Co., opératrice de la centrale nucléaire endommagée de Fukushima Daiichi, a plongé de 10% suite à la diffusion de la nouvelle.
Le Fonds Monétaire International a par ailleurs annoncé hier revoir à la baisse ses prévisions de croissance en 2011 pour le Japon, l'estimant désormais à 1.4% au lieu des 1.6% antérieurs, invoquant le tremblement de terre et le tsunami dévastateurs du 11 mars, mais aussi pour les Etats-Unis, à 2.8% contre 3% en janvier.
Kaoru Yosano, ministre de l'économie de l'archipel, a prévenu que les dégâts économiques dûs au séisme et au raz-de-marée du mois dernier ont des chances de s'aggraver par rapport aux estimations initiales, les délestages électriques handicapant la production des usines et causant des ruptures des chaînes d'approvisionnement.
Honda a par exemple plongé de 1.4% après avoir fait savoir qu'une perturbation des fournitures de matériel pourrait menacer sa production de véhicules jusqu'à juillet.
Inpex, le plus gros exportateur d'or noir japonais, a dégringolé de 5.2% de son côté, les cours du pétrole retombant de leur pic des 30 derniers mois sur fond possibilité de cessez-le-feu en Libye.
A Hong Kong, le géant des hydrocarbures PetroChina a ainsi sombré de 5.1%, son rival Sinopec de 2.5% et CNOOC, premier prospecteur de pétrole sous-marin chinois, de 3.6%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui nettement pessimiste, les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une hausse de 0.66%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.5%, celles sur le DAX allemand à 0.77% et sur le FTSE 100 britannique à 0.54%.
Le centre de recherches économiques ZEW devrait pour sa part faire son rapport sur le moral économique allemand en cours de journée, tandis que le gouvernement des Etats-Unis fera son rapport sur sa balance commerciale et l'équilibre budgétaire fédéral.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong perdait 1.5%, l'indice composite sud-coréen Kospi 1.55% et le Nikkei 225 japonais 1.69%.
L'agence de sûreté nucléaire et industrielle nippone a en effet remonté son évaluation de la gravité de l'accident de Fukushima de 5 vers 7, un niveau identique à celui de Tchernobyl en 1986, et le plus élevé de l'échelle. Le moral des investisseurs a également été tiré vers le bas par le nouveau séisme ayant secoué l'est du Japon en début de journée.
La Tokyo Electric Power Co., opératrice de la centrale nucléaire endommagée de Fukushima Daiichi, a plongé de 10% suite à la diffusion de la nouvelle.
Le Fonds Monétaire International a par ailleurs annoncé hier revoir à la baisse ses prévisions de croissance en 2011 pour le Japon, l'estimant désormais à 1.4% au lieu des 1.6% antérieurs, invoquant le tremblement de terre et le tsunami dévastateurs du 11 mars, mais aussi pour les Etats-Unis, à 2.8% contre 3% en janvier.
Kaoru Yosano, ministre de l'économie de l'archipel, a prévenu que les dégâts économiques dûs au séisme et au raz-de-marée du mois dernier ont des chances de s'aggraver par rapport aux estimations initiales, les délestages électriques handicapant la production des usines et causant des ruptures des chaînes d'approvisionnement.
Honda a par exemple plongé de 1.4% après avoir fait savoir qu'une perturbation des fournitures de matériel pourrait menacer sa production de véhicules jusqu'à juillet.
Inpex, le plus gros exportateur d'or noir japonais, a dégringolé de 5.2% de son côté, les cours du pétrole retombant de leur pic des 30 derniers mois sur fond possibilité de cessez-le-feu en Libye.
A Hong Kong, le géant des hydrocarbures PetroChina a ainsi sombré de 5.1%, son rival Sinopec de 2.5% et CNOOC, premier prospecteur de pétrole sous-marin chinois, de 3.6%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui nettement pessimiste, les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une hausse de 0.66%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.5%, celles sur le DAX allemand à 0.77% et sur le FTSE 100 britannique à 0.54%.
Le centre de recherches économiques ZEW devrait pour sa part faire son rapport sur le moral économique allemand en cours de journée, tandis que le gouvernement des Etats-Unis fera son rapport sur sa balance commerciale et l'équilibre budgétaire fédéral.