Investing.com - Le dollar U.S. était en forme face à la plupart de ses concurrents ce mercredi, alors que les incertitudes liées à l'instabilité politique de la Grèce et de l'Italie alimentaient la crainte liées à la crise de la dette souveraine de la zone euro.
En première partie de séance européenne, l'euro a nettement fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.83% pour tomber à 1.3718.
Les pertes de la monnaie unique se sont trouvées aggravées après qu'un établissement de liquidation parisien aut reonté ses appels de marges sur les obligations italiennes, alimentant l'angoisse découlant des problèmes fiscaux de la péninsule.
Les taux des bonns à dix ans du pays se sont en effet maintenus au plus proche de leurs sommets établis l'introduction de la devise européenne, en raison du flou sur la capacité d'un nouveau gouvernement à relancer la croissance et mettre en place un plan de rigueur après que le premier ministre Silvio Berlusconi ait annoncé qu'il démissionnerait la semaine prochaine.
Les représentants grecs luttaient quand à eux afin de former une nouvelle équipe dirigeante d'union nationale.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.43% pour chuter à 1.6019.
Un rapport officiel du bureau britannique des statistiques avait indiqué ce matin que le déficit de la balance du commerce extérieur des biens s'était creusé en septembre sans crier gare, s'élevant à 9.8 milliards de GBP, contre 8.6 milliards pour le mois précédent, alors que les experts espéraient pourtant le voir descendre à 8 milliards pour la période considérée.
Il a toutefois subi la pression du yen, mais pas du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.11% pour descendre à 77.63 et l'USD/CHF grignotant 0.59% pour culminer à 0.9.
Le swissy s'est relâché après que Thomas Jordan, vice-président de la Banque Nationale Suisse, ait déclaré dans la soirée d'hier que la récente introduction du taux plancher de 1.2 CHF par euro était une simple tentative de lutter contre sa flambée et ainsi protéger l'économie du pays.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs fortement dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.74% pour monter à 1.0162, l'AUD/USD cédant 1.33% pour se retrouver à 1.0254 et le NZD/USD se laissant arracher 1.27% pour toucher le fond à 0.788.
Une étude émanant des autorités australiennes avait auparavant montré une augmentation du nombre des accords de prêts immobiliers en septembre supérieure aux attentes, bondissant de 2.2% au lieu des 1.5% prévus.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.7% pour se situer à 77.33.
Des résultats gouvernementaux avaient indiqué en début de journée que l'inflation des prix à la consommation chinoise avait régressé en octobre de manière presque conforme aux prévisions, se situant à 5.5% avec ajustement saisonnier pour le mois, contre 6.1% lors du précédent, apaisant l'angoisse d'un nouveau durcissement monétaire de Pékin.
En première partie de séance européenne, l'euro a nettement fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.83% pour tomber à 1.3718.
Les pertes de la monnaie unique se sont trouvées aggravées après qu'un établissement de liquidation parisien aut reonté ses appels de marges sur les obligations italiennes, alimentant l'angoisse découlant des problèmes fiscaux de la péninsule.
Les taux des bonns à dix ans du pays se sont en effet maintenus au plus proche de leurs sommets établis l'introduction de la devise européenne, en raison du flou sur la capacité d'un nouveau gouvernement à relancer la croissance et mettre en place un plan de rigueur après que le premier ministre Silvio Berlusconi ait annoncé qu'il démissionnerait la semaine prochaine.
Les représentants grecs luttaient quand à eux afin de former une nouvelle équipe dirigeante d'union nationale.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.43% pour chuter à 1.6019.
Un rapport officiel du bureau britannique des statistiques avait indiqué ce matin que le déficit de la balance du commerce extérieur des biens s'était creusé en septembre sans crier gare, s'élevant à 9.8 milliards de GBP, contre 8.6 milliards pour le mois précédent, alors que les experts espéraient pourtant le voir descendre à 8 milliards pour la période considérée.
Il a toutefois subi la pression du yen, mais pas du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.11% pour descendre à 77.63 et l'USD/CHF grignotant 0.59% pour culminer à 0.9.
Le swissy s'est relâché après que Thomas Jordan, vice-président de la Banque Nationale Suisse, ait déclaré dans la soirée d'hier que la récente introduction du taux plancher de 1.2 CHF par euro était une simple tentative de lutter contre sa flambée et ainsi protéger l'économie du pays.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs fortement dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.74% pour monter à 1.0162, l'AUD/USD cédant 1.33% pour se retrouver à 1.0254 et le NZD/USD se laissant arracher 1.27% pour toucher le fond à 0.788.
Une étude émanant des autorités australiennes avait auparavant montré une augmentation du nombre des accords de prêts immobiliers en septembre supérieure aux attentes, bondissant de 2.2% au lieu des 1.5% prévus.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.7% pour se situer à 77.33.
Des résultats gouvernementaux avaient indiqué en début de journée que l'inflation des prix à la consommation chinoise avait régressé en octobre de manière presque conforme aux prévisions, se situant à 5.5% avec ajustement saisonnier pour le mois, contre 6.1% lors du précédent, apaisant l'angoisse d'un nouveau durcissement monétaire de Pékin.