Investing.com - Les options sur le brut étaient en forme ce mardi, consolidant leur position au-dessus des 101 USD du baril alors que l'aggravation des tensions entre l'Iran et Israël allaient à l'encontre des craintes liées à la crise de la dette souveraine de la zone euro.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour avril se sont échangés à 101.39 USD USD le baril en première partie de séance européenne, grignotant 0.1%.
Ils avaient auparavant culminé à 101.5 USD, leur cours le plus élevé depuis le 31 janvier, avec 0.25% de progression.
La controverse au Moyen-Orient s'est encore envenimée hier après que Benyamin Netanyahu, premier ministre israélien, ait accusé l'Iran d'avoir perpétré ce jour-là des attaques sur le personnel des embassades israéliennes de Géorgie et d'Inde ayant fait au moins deux blessés.
L'Iran avait auparavant blâmé Israel d'une participation à une série d'assassinats de responsables et de scientifiques prenant part à son programme nucléaire très sensible.
L'angoisse qu'une escalade des hostilités entre les deux pays ne déclenche un conflit dans la région qui ferait s'envoler les prix.
Mais toutes les velléités de flambée se sont trouvées douchées par l'annonce de la dégradation de l'Italie, du Portugal et de l'Espagne par Moody's, la France et l'Autriche conservant leurs notations maximales mais voyant leurs perspectives chuter de "stables" à "négatives".
La Slovaquie, la Slovénie et Malte ont aussi été parmi ses victimes de moindre importance, le Royaume-Uni se contentant de subir des menaces ranimant l'angoisse d'une contagion régionale.
Les investisseurs continuaient toutefois à surveiller l'évolution de la situation de la Grèce, son parlement ayant adopté un train de coupes dans les dépenses et les salaires, afin d'assurer au pays, criblé de dettes, le bénéfice des 130 milliards d'aides, lui évitant ainsi un défaut de paiement souverain.
La rencontre mercredi des ministres des finances de la zone euro est désormais sur toutes les lèvres, l'attribution ou non de la seconde tranche de sa bouée de sauvetage devant y être décidée avant la date-butoir du 20 mars.
La nation hellène devra alors rembourser 14.5 milliards d'euros d'obligations, et ne pourra pas éviter de manquer à ses obligations, avec des conséquences fâcheuses, sans un apport de liquidités.
L'évolution de la situation européenne a dominé ces derniers mois la tonalité des échanges sur le marché pétrolier, en raison de la crainte que le problème du surendettement régional ne déclenche un ralentissement économique général pouvant freiner la demande.
Les transactions avaient dû être interrompues lors de la séance américaine d'hier, causant d'après certains observateurs un sursaut de 0.5 USD des cours.
Le CME Group, opérateur du NYMEX, a expliqué qu'un "problème technique" en était la cause, mais son porte-parole n'a pu fournir d'autres détails.
Eric Hunsader, directeur général de la compagnie d'analyse financière Nanex, a déclaré qu'il semblerait qu'un problème informatique du NYMEX aurait causé la mise en mémoire de milliers d'ordres sur la plate-forme électronique d'échanges pétroliers Globex juste avant 14 h à l'heure de la côte Atlantique, les transmettant tous en même temps 38 secondes plus tard.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour avril ont laissé échapper 0.37% pour descendre à 116.95 USD du baril dans le même temps, soit 15.56 USD de mieux que leurs homologues américaines.
La direction que prendra cet écart devrait être déterminée par le volume des réserves américaines, leur inventaire hebdomadaire fait par l'institut du pétrole américain, un des signaux les plus cruciaux, étant attendu dans l'après-midi.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour avril se sont échangés à 101.39 USD USD le baril en première partie de séance européenne, grignotant 0.1%.
Ils avaient auparavant culminé à 101.5 USD, leur cours le plus élevé depuis le 31 janvier, avec 0.25% de progression.
La controverse au Moyen-Orient s'est encore envenimée hier après que Benyamin Netanyahu, premier ministre israélien, ait accusé l'Iran d'avoir perpétré ce jour-là des attaques sur le personnel des embassades israéliennes de Géorgie et d'Inde ayant fait au moins deux blessés.
L'Iran avait auparavant blâmé Israel d'une participation à une série d'assassinats de responsables et de scientifiques prenant part à son programme nucléaire très sensible.
L'angoisse qu'une escalade des hostilités entre les deux pays ne déclenche un conflit dans la région qui ferait s'envoler les prix.
Mais toutes les velléités de flambée se sont trouvées douchées par l'annonce de la dégradation de l'Italie, du Portugal et de l'Espagne par Moody's, la France et l'Autriche conservant leurs notations maximales mais voyant leurs perspectives chuter de "stables" à "négatives".
La Slovaquie, la Slovénie et Malte ont aussi été parmi ses victimes de moindre importance, le Royaume-Uni se contentant de subir des menaces ranimant l'angoisse d'une contagion régionale.
Les investisseurs continuaient toutefois à surveiller l'évolution de la situation de la Grèce, son parlement ayant adopté un train de coupes dans les dépenses et les salaires, afin d'assurer au pays, criblé de dettes, le bénéfice des 130 milliards d'aides, lui évitant ainsi un défaut de paiement souverain.
La rencontre mercredi des ministres des finances de la zone euro est désormais sur toutes les lèvres, l'attribution ou non de la seconde tranche de sa bouée de sauvetage devant y être décidée avant la date-butoir du 20 mars.
La nation hellène devra alors rembourser 14.5 milliards d'euros d'obligations, et ne pourra pas éviter de manquer à ses obligations, avec des conséquences fâcheuses, sans un apport de liquidités.
L'évolution de la situation européenne a dominé ces derniers mois la tonalité des échanges sur le marché pétrolier, en raison de la crainte que le problème du surendettement régional ne déclenche un ralentissement économique général pouvant freiner la demande.
Les transactions avaient dû être interrompues lors de la séance américaine d'hier, causant d'après certains observateurs un sursaut de 0.5 USD des cours.
Le CME Group, opérateur du NYMEX, a expliqué qu'un "problème technique" en était la cause, mais son porte-parole n'a pu fournir d'autres détails.
Eric Hunsader, directeur général de la compagnie d'analyse financière Nanex, a déclaré qu'il semblerait qu'un problème informatique du NYMEX aurait causé la mise en mémoire de milliers d'ordres sur la plate-forme électronique d'échanges pétroliers Globex juste avant 14 h à l'heure de la côte Atlantique, les transmettant tous en même temps 38 secondes plus tard.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour avril ont laissé échapper 0.37% pour descendre à 116.95 USD du baril dans le même temps, soit 15.56 USD de mieux que leurs homologues américaines.
La direction que prendra cet écart devrait être déterminée par le volume des réserves américaines, leur inventaire hebdomadaire fait par l'institut du pétrole américain, un des signaux les plus cruciaux, étant attendu dans l'après-midi.