Investing.com - La Bourse de Paris évoluait en très nette baisse mercredi, reculant de 1,28% à mi-séance, plombée par le ralentissement de l’activité du secteur privé dans la zone euro et par les commentaires de la Réserve fédérale écartant de nouvelles mesures d’assouplissement quantitatif.
L'institut Markit annonçait plus tôt que l'activité du secteur privé de la zone euro a continué de ralentir en mars : l'indice PMI composite est ressorti à 49,1 points, contre 49,3 en février. En France, l'indice composite est tombé à 48,7 points, au plus bas depuis novembre.
Aux Etats-Unis, dans le compte-rendu de la dernière réunion de son conseil de politique monétaire, la Fed a fait savoir mardi soir que seulement deux membres du comité ont estimé que de nouvelles mesures de soutien pourraient être nécessaires si l'activité économique venait à s’affaiblir.
Les investisseurs attendaient, par ailleurs, la décision monétaire de la Banque centrale européenne prévue plus tard dans la journée.
Les valeurs financières s’inscrivaient dans le rouge mercredi. A mi-séance, BNP Paribas perdait 1,18%, Crédit Agricole 1,92% et Société Générale 0,83%.
Le PDG de la Société générale Frédéric Oudéa déclarait plus tôt au Figaro que les banques françaises seraient disposées à accepter une règlementation européenne calquée sur la règle Volcker visant à interdire aux banques de dépôt toute activité purement spéculative.
GDF Suez poursuivait aussi sa baisse de mardi par un retrait de 1,18%. Le groupe a déclaré qu’il allait analyser les différentes options concernant International Power, y compris la possibilité de retirer son offre sur les 30% du capital du britannique qu'il ne détient pas.
Par ailleurs, Moody's a placé la note A1 du groupe français sous revue dans la perspective d'une dégradation à la suite de sa décision de racheter les actionnaires minoritaires d'International Power.
Veolia Environnement abandonnait 3,52% à mi-séance après avoir confirmé être en négociations exclusives avec la Caisse des dépôts et consignation en vue de reprendre le contrôle de la SNCM, qui assure les liaisons avec la Corse, et de ses filiales.
Egalement dans le rouge, Total cédait 0,27% alors que le groupe comptait envoyer une équipe d'experts mercredi après-midi ou jeudi matin pour évaluer les mesures nécessaires à l'arrêt de la fuite de gaz sur la plate-forme d'Elgin, selon un porte-parole.
Enfin, les valeurs automobiles restaient en baisse depuis l’annonce, le week-end dernier, de la chute des immatriculations neuves en France le mois dernier. A mi-séance, Peugeot pliait de 3,54% et Renault de 1,95%.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 reculait de 1,12%, le DAX abandonnait 1,79% et le Footsie 100 cédait 1,19%.
L'institut Markit annonçait plus tôt que l'activité du secteur privé de la zone euro a continué de ralentir en mars : l'indice PMI composite est ressorti à 49,1 points, contre 49,3 en février. En France, l'indice composite est tombé à 48,7 points, au plus bas depuis novembre.
Aux Etats-Unis, dans le compte-rendu de la dernière réunion de son conseil de politique monétaire, la Fed a fait savoir mardi soir que seulement deux membres du comité ont estimé que de nouvelles mesures de soutien pourraient être nécessaires si l'activité économique venait à s’affaiblir.
Les investisseurs attendaient, par ailleurs, la décision monétaire de la Banque centrale européenne prévue plus tard dans la journée.
Les valeurs financières s’inscrivaient dans le rouge mercredi. A mi-séance, BNP Paribas perdait 1,18%, Crédit Agricole 1,92% et Société Générale 0,83%.
Le PDG de la Société générale Frédéric Oudéa déclarait plus tôt au Figaro que les banques françaises seraient disposées à accepter une règlementation européenne calquée sur la règle Volcker visant à interdire aux banques de dépôt toute activité purement spéculative.
GDF Suez poursuivait aussi sa baisse de mardi par un retrait de 1,18%. Le groupe a déclaré qu’il allait analyser les différentes options concernant International Power, y compris la possibilité de retirer son offre sur les 30% du capital du britannique qu'il ne détient pas.
Par ailleurs, Moody's a placé la note A1 du groupe français sous revue dans la perspective d'une dégradation à la suite de sa décision de racheter les actionnaires minoritaires d'International Power.
Veolia Environnement abandonnait 3,52% à mi-séance après avoir confirmé être en négociations exclusives avec la Caisse des dépôts et consignation en vue de reprendre le contrôle de la SNCM, qui assure les liaisons avec la Corse, et de ses filiales.
Egalement dans le rouge, Total cédait 0,27% alors que le groupe comptait envoyer une équipe d'experts mercredi après-midi ou jeudi matin pour évaluer les mesures nécessaires à l'arrêt de la fuite de gaz sur la plate-forme d'Elgin, selon un porte-parole.
Enfin, les valeurs automobiles restaient en baisse depuis l’annonce, le week-end dernier, de la chute des immatriculations neuves en France le mois dernier. A mi-séance, Peugeot pliait de 3,54% et Renault de 1,95%.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 reculait de 1,12%, le DAX abandonnait 1,79% et le Footsie 100 cédait 1,19%.