Investing.com - La livre sterling a plongé dans un creux de plus d'un mois face au dollar U.S. ce jeudi, le compte-rendu de la dernière réunion de la Réserve Fédérale ayant déçu l'attente d'assouplissements supplémentaires, tandis que le spectre de la crise de la dette de la zone euro planait toujours.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.545 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 6 juin, puis s'est stabilisée vers 1.546, perdant 0.28%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5371, son plancher du 6 juin, et de rencontrer de la résistance à court terme à 1.5533, son plafond du 9 juillet.
Il a en effet été signalé dans le procès-verbal de son conseil d'orientation de juin qu'une poursuite de la perte de vitesse économique rendrait ses membres davantage enclins à prendre des mesures destinées à donner un coup de fouet à la croissance.
Bien que certains d'entre eux aient déjà estimé qu'il était nécessaire de procéder à des assouplissements afin de remplir les objectifs de plein emploi et de stabilité des prix, d'autres estimaient que ceux-ci n'étaient justifiés qu'en cas de ralentissement de l'expansion de l'économie, d'augmentation des risques ou si l'inflation devait chuter "durablement" au-dessous de la valeur visée.
Le goût pour le risque se traouvait quand à lui étouffé, après que Mariano Rajoy, premier ministre espagnol, ait annoncé hier 65 milliards d'euros de coupes budgétaires, dans l'espoir de remplir les objectifs de réduction des déficits approuvés par ses partenaires régionaux.
Les analystes ont toutefois averti que celles-ci avaient de grandes chances de plonger l'économie du pays dans une récession encore plus profonde.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs bien résisté à l'euro, l'EUR/GBP n'arrachant que 0.04% pour se hisser à 0.7899.
Le gouvernement des Etats-Unis comptait quand à lui révéler dans l'après-midi le nombre des nouveaux inscrits au chômage et l'évolution des prix à l'importation.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.545 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 6 juin, puis s'est stabilisée vers 1.546, perdant 0.28%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5371, son plancher du 6 juin, et de rencontrer de la résistance à court terme à 1.5533, son plafond du 9 juillet.
Il a en effet été signalé dans le procès-verbal de son conseil d'orientation de juin qu'une poursuite de la perte de vitesse économique rendrait ses membres davantage enclins à prendre des mesures destinées à donner un coup de fouet à la croissance.
Bien que certains d'entre eux aient déjà estimé qu'il était nécessaire de procéder à des assouplissements afin de remplir les objectifs de plein emploi et de stabilité des prix, d'autres estimaient que ceux-ci n'étaient justifiés qu'en cas de ralentissement de l'expansion de l'économie, d'augmentation des risques ou si l'inflation devait chuter "durablement" au-dessous de la valeur visée.
Le goût pour le risque se traouvait quand à lui étouffé, après que Mariano Rajoy, premier ministre espagnol, ait annoncé hier 65 milliards d'euros de coupes budgétaires, dans l'espoir de remplir les objectifs de réduction des déficits approuvés par ses partenaires régionaux.
Les analystes ont toutefois averti que celles-ci avaient de grandes chances de plonger l'économie du pays dans une récession encore plus profonde.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs bien résisté à l'euro, l'EUR/GBP n'arrachant que 0.04% pour se hisser à 0.7899.
Le gouvernement des Etats-Unis comptait quand à lui révéler dans l'après-midi le nombre des nouveaux inscrits au chômage et l'évolution des prix à l'importation.