Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris reculait de 0,64% à mi-séance mardi, suivant la publication de résultats d'entreprises mitigés, alors que Moody's a abaissé la note de cinq régions espagnoles.
Lundi soir, l'agence de notation Moody's a abaissé la note de cinq régions espagnoles, dont la Catalogne, en raison de l'aggravation de leurs problèmes de financement.
Trois de ces régions – l'Andalousie, la Catalogne et la Murcie – voient leur note reculer de deux crans, tandis que les deux autres – l'Estrémadure et la Castille – reculent d'un, selon l'agence pour qui l'ensemble de ces régions restent placées sous "perspective négative".
Sur le plan macroéconomique, le climat des affaires s’est dégradé en France au mois d’octobre, l’indicateur général de l’Insee reculant de 1 point à 85, au plus bas depuis septembre 2009.
L’indice du climat dans l’industrie manufacturière a baissé de 5 points à 85, tandis que celui des services a diminué de 1 point à 86.
Du côté des valeurs, les banques s'inscrivaient dans le rouge, mardi. A mi-séance, Crédit Agricole abandonnait 1,31%, tandis que BNP Paribas et Société Générale reculait de 0,49% et de 0,48% respectivement.
Egalement en baisse, Veolia Environnement pliait de 3,91% en milieu de séance, alors que la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC) s’est engagée à porter sa participation dans la coentreprise de transport public Veolia Transdev de 50% à 60%, dont elle prendra ainsi le contrôle exclusif.
A l'inverse, Peugeot s'appréciait de 0,70% après avoir reculé pendant la première moitié de la séance. Selon Les Echos, la filiale de crédit du constructeur automobile ne pourra sans doute pas attendre la fin des discussions avec ses banques alors que les résultats de la maison mère, prévus mercredi, devraient à nouveau dégrader sa notation.
Le ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, dit attendre, lui, des contreparties de la part du groupe en échange d’un soutien de l’Etat à sa division bancaire, notamment sur le plan de la gouvernance.
Lafarge gagnait aussi du terrain et avançait de 0,13% en milieu de séance, après que Credit Suisse a relevé sa recommandation sur le titre du cimentier de "neutre" à "surperformance", en citant notamment la réduction des coûts.
Enfin, Michelin signait la meilleure performance de l'indice parisien, en hausse de 5,51% à la mi-journée, après avoir a annoncé une hausse de 5,7% de son chiffre d’affaires à 5,44 milliards d’euros au troisième trimestre, en ligne avec les attentes des analystes.
Malgré la dégradation des volumes attendue sur l’année, le groupe a confirmé son objectif d’une nette hausse de son résultat opérationnel avant éléments récurrents en 2012.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 reculait de 0,81%, le DAX lâchait 0,92% et le Footsie 100 pliait de 0,81%.
Aucune statistique américaine majeure n'était attendue plus tard dans la journée.
Lundi soir, l'agence de notation Moody's a abaissé la note de cinq régions espagnoles, dont la Catalogne, en raison de l'aggravation de leurs problèmes de financement.
Trois de ces régions – l'Andalousie, la Catalogne et la Murcie – voient leur note reculer de deux crans, tandis que les deux autres – l'Estrémadure et la Castille – reculent d'un, selon l'agence pour qui l'ensemble de ces régions restent placées sous "perspective négative".
Sur le plan macroéconomique, le climat des affaires s’est dégradé en France au mois d’octobre, l’indicateur général de l’Insee reculant de 1 point à 85, au plus bas depuis septembre 2009.
L’indice du climat dans l’industrie manufacturière a baissé de 5 points à 85, tandis que celui des services a diminué de 1 point à 86.
Du côté des valeurs, les banques s'inscrivaient dans le rouge, mardi. A mi-séance, Crédit Agricole abandonnait 1,31%, tandis que BNP Paribas et Société Générale reculait de 0,49% et de 0,48% respectivement.
Egalement en baisse, Veolia Environnement pliait de 3,91% en milieu de séance, alors que la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC) s’est engagée à porter sa participation dans la coentreprise de transport public Veolia Transdev de 50% à 60%, dont elle prendra ainsi le contrôle exclusif.
A l'inverse, Peugeot s'appréciait de 0,70% après avoir reculé pendant la première moitié de la séance. Selon Les Echos, la filiale de crédit du constructeur automobile ne pourra sans doute pas attendre la fin des discussions avec ses banques alors que les résultats de la maison mère, prévus mercredi, devraient à nouveau dégrader sa notation.
Le ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, dit attendre, lui, des contreparties de la part du groupe en échange d’un soutien de l’Etat à sa division bancaire, notamment sur le plan de la gouvernance.
Lafarge gagnait aussi du terrain et avançait de 0,13% en milieu de séance, après que Credit Suisse a relevé sa recommandation sur le titre du cimentier de "neutre" à "surperformance", en citant notamment la réduction des coûts.
Enfin, Michelin signait la meilleure performance de l'indice parisien, en hausse de 5,51% à la mi-journée, après avoir a annoncé une hausse de 5,7% de son chiffre d’affaires à 5,44 milliards d’euros au troisième trimestre, en ligne avec les attentes des analystes.
Malgré la dégradation des volumes attendue sur l’année, le groupe a confirmé son objectif d’une nette hausse de son résultat opérationnel avant éléments récurrents en 2012.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 reculait de 0,81%, le DAX lâchait 0,92% et le Footsie 100 pliait de 0,81%.
Aucune statistique américaine majeure n'était attendue plus tard dans la journée.