Investing.com - Les places d'Asie terminaient sur une note positive mitigée ce mardi matin, celles du Japon grimpant à leur plus haut niveau des sept dernières semaines, les yeux toujours fixés sur les évolutions de la monnaie et du marché obligataire du pays.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien prenait 0,1%, le Hang Seng de Hong Kong 0,2% et le Nikkei 225 japonais 0,6%.
Sydney frémissait, dans le sillage de la publication du compte-rendu détaillé de la plus récente réunion du comité d'orientation de la politique monétaire de la Réserve Bancaire d'Australie.
Celui-ci confirmait que la faiblesse de l'inflation laissait les coudées franches pour de nouveaux rabaissements des taux, au cas où l'économie aurait besoin de soutien supplémentaire.
La bande des quatre plus grosses banques locales a suivi le mouvement, la Commonwealth Bank of Australia, première d'entre elles, encaissant 0,7%, l'ANZ Banking Group 0,7% et la National Australia Bank 0,3%, tandis que le Westpac Banking Group se plaçait en tête avec 1,1%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient aussi de la fête, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto amassant respectivement de 0,5 et 1,4%.
Ce dernier avait retrouvé du mordant, après avoir annoncé que la production de minerai de fer mondiale avait explosé de 7% au second trimestre, alors que le premier proclamera ses résultats demain.
Hong Kong oscillait pour sa part entre légers gains et pertes minimes, sur fond de craintes persistantes d'un essoufflement de l'essor chinois.
Une étude officielle avait ainsi signalé hier que le second produit intérieur brut mondial avait gonflé, comme escompté, de 7,5% d'une année sur l'autre entre le début du quatrième et la fin du sixième mois de l'année, soit un peu moins que les 7,7% enregistrés de janvier à mars.
Tencent Holdings, ayant une forte influence sur l'indice local, bondissait de 2,9% pour établir un sommet historique.
Tokyo grimpait pour sa part au plus haut niveau depuis le 24 mai, les opérateurs reprenant du service après un week-end prolongé.
La paire USD/JPY est montée jusqu'à 100,21, son niveau le plus élevé de la session, à comparer aux 98,66 de vendredi, les entreprises tournées vers l'extérieur se trouvant mécaniquement encouragées par la perte de vitesse de la monnaie nationale, qui augmente la valeur des devises obtenues à l'étranger.
Les constructeurs automobiles Mazda et Nissan avançaient ainsi de 1,4 et 1,8%, suivis de Canon et Nikon avec 2,7 et 1,4%.
Les mégabanques nippones n'étaient pas en reste, le Mitsubishi UFJ Financial Group, en tête dans le pays, empochant 1,1%, tandis que le Mizuho Financial Group et le Sumitomo Mitsui Financial Group faisaient de même avec 0,9 et 0,5%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui sans grandes évolutions, dans l'attente du témoignage devant le congrès de Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une hausse de 0,1%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0,1% aussi, celles sur le DAX 30 allemand ne variant guère et celles sur le FTSE 100 britannique non plus.
Le centre de recherches économiques ZEW rendra quand à lui aujourd'hui son rapport crucial sur le moral économique de l'Allemagne, ainsi que sur celui de la zone euro dans son entier, et le bloc ayant adopté la monnaie unique communiquera aussi les variations officielles de ses prix au détail.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec l'évolution de leurs prix à la consommation, les chiffres de leur production industrielle et le taux d'utilisation de leurs capacités.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien prenait 0,1%, le Hang Seng de Hong Kong 0,2% et le Nikkei 225 japonais 0,6%.
Sydney frémissait, dans le sillage de la publication du compte-rendu détaillé de la plus récente réunion du comité d'orientation de la politique monétaire de la Réserve Bancaire d'Australie.
Celui-ci confirmait que la faiblesse de l'inflation laissait les coudées franches pour de nouveaux rabaissements des taux, au cas où l'économie aurait besoin de soutien supplémentaire.
La bande des quatre plus grosses banques locales a suivi le mouvement, la Commonwealth Bank of Australia, première d'entre elles, encaissant 0,7%, l'ANZ Banking Group 0,7% et la National Australia Bank 0,3%, tandis que le Westpac Banking Group se plaçait en tête avec 1,1%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient aussi de la fête, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto amassant respectivement de 0,5 et 1,4%.
Ce dernier avait retrouvé du mordant, après avoir annoncé que la production de minerai de fer mondiale avait explosé de 7% au second trimestre, alors que le premier proclamera ses résultats demain.
Hong Kong oscillait pour sa part entre légers gains et pertes minimes, sur fond de craintes persistantes d'un essoufflement de l'essor chinois.
Une étude officielle avait ainsi signalé hier que le second produit intérieur brut mondial avait gonflé, comme escompté, de 7,5% d'une année sur l'autre entre le début du quatrième et la fin du sixième mois de l'année, soit un peu moins que les 7,7% enregistrés de janvier à mars.
Tencent Holdings, ayant une forte influence sur l'indice local, bondissait de 2,9% pour établir un sommet historique.
Tokyo grimpait pour sa part au plus haut niveau depuis le 24 mai, les opérateurs reprenant du service après un week-end prolongé.
La paire USD/JPY est montée jusqu'à 100,21, son niveau le plus élevé de la session, à comparer aux 98,66 de vendredi, les entreprises tournées vers l'extérieur se trouvant mécaniquement encouragées par la perte de vitesse de la monnaie nationale, qui augmente la valeur des devises obtenues à l'étranger.
Les constructeurs automobiles Mazda et Nissan avançaient ainsi de 1,4 et 1,8%, suivis de Canon et Nikon avec 2,7 et 1,4%.
Les mégabanques nippones n'étaient pas en reste, le Mitsubishi UFJ Financial Group, en tête dans le pays, empochant 1,1%, tandis que le Mizuho Financial Group et le Sumitomo Mitsui Financial Group faisaient de même avec 0,9 et 0,5%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui sans grandes évolutions, dans l'attente du témoignage devant le congrès de Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une hausse de 0,1%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0,1% aussi, celles sur le DAX 30 allemand ne variant guère et celles sur le FTSE 100 britannique non plus.
Le centre de recherches économiques ZEW rendra quand à lui aujourd'hui son rapport crucial sur le moral économique de l'Allemagne, ainsi que sur celui de la zone euro dans son entier, et le bloc ayant adopté la monnaie unique communiquera aussi les variations officielles de ses prix au détail.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec l'évolution de leurs prix à la consommation, les chiffres de leur production industrielle et le taux d'utilisation de leurs capacités.