Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture modérément positive ce lundi après-midi, sur fond d'attente grandissante du maintien du volume des aides de la Réserve Fédérale.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0,04%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,04% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,21%.
La nervosité était en effet palpable face aux incertitudes sur les conséquences économiques des 16 jours de mises à pied des fonctionnaires récemment subis par les Etats-Unis, qui pourraient encourager la Réserve Fédérale à maintenir le volume de ses injections de liquidités au moins jusqu'à l'année prochaine.
Leurs résultats économiques de la semaine étaient désormais sous haute surveillance, en raison des retards de publications dûs à la paralysie ayant frappé les autorités, le département d'état au travail du pays devant publier mardi son rapport sur l'emploi hors agriculture qui devait être publié le 4 octobre.
Les télécommunications faisaient du bruit après qu'AT&T, premier acteur national dans le secteur, ait accepté de vendre ou louer 9.700 antennes-relais à Crown Castle International contre 4,85 milliards d'USD, lui permettant du coup de se renflouer en vue d'une expansion en Europe.
Il bondissait alors de 2,57% en pré-ouverture.
La technologie n'était pas en reste, Google s'envolant de plus de 13% après la dernière clôture, grâce à aux revenus supérieurs aux attentes revendiqués dans la soirée de jeudi, avec au moins 16 courtiers relevant leurs objectifs de cours entre 880 et 1.220 USD.
Il prolongeait ainsi son ascennsion de 0,89% avant le début des hostilités.
Apple grignotait pour sa part 0,67% dans le même temps, dans le sillage de rumeurs d'améliorations de la gamme de ses iPad afin de garder l'avantage sur le secteur concurrentioel des tablettes électroniques, où d'autres proposent des produits plus avantageux à des prix plus modestes.
Il ne fallait pas non plus négliger la finance, JP Morgan ayant trouvé un accord avec les autorités bancaire américaines lui permettant d'échapper aux poursuites pour tromperies dans ses ventes de prêts à ses collègues Fanny Mae et Freddie Mac, qui ont précipité leur effondrement avec la crise de 2008.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter McDonald's, Halliburton, Discover Financial, Netflix et Texas Instruments, dont les résultats du trimestre seront proclamés sous peu.
Les bourses européennes étaient quand à elles partagées, l'EURO STOXX 50 frémissant de 0,12%, le CAC 40 français de 0,27%, le DAX 30 allemand laissant échapper 0,11% et le FTSE 100 britannique se renforçant de 0,17%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 0,42%, et le Nikkei 225 japonais 0,91%.
Le spécialistes de l'immobilier des Etats-Unis comptaient quand à eux conclure la journée avec le volume des ventes de logements d'occasion.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0,04%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,04% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,21%.
La nervosité était en effet palpable face aux incertitudes sur les conséquences économiques des 16 jours de mises à pied des fonctionnaires récemment subis par les Etats-Unis, qui pourraient encourager la Réserve Fédérale à maintenir le volume de ses injections de liquidités au moins jusqu'à l'année prochaine.
Leurs résultats économiques de la semaine étaient désormais sous haute surveillance, en raison des retards de publications dûs à la paralysie ayant frappé les autorités, le département d'état au travail du pays devant publier mardi son rapport sur l'emploi hors agriculture qui devait être publié le 4 octobre.
Les télécommunications faisaient du bruit après qu'AT&T, premier acteur national dans le secteur, ait accepté de vendre ou louer 9.700 antennes-relais à Crown Castle International contre 4,85 milliards d'USD, lui permettant du coup de se renflouer en vue d'une expansion en Europe.
Il bondissait alors de 2,57% en pré-ouverture.
La technologie n'était pas en reste, Google s'envolant de plus de 13% après la dernière clôture, grâce à aux revenus supérieurs aux attentes revendiqués dans la soirée de jeudi, avec au moins 16 courtiers relevant leurs objectifs de cours entre 880 et 1.220 USD.
Il prolongeait ainsi son ascennsion de 0,89% avant le début des hostilités.
Apple grignotait pour sa part 0,67% dans le même temps, dans le sillage de rumeurs d'améliorations de la gamme de ses iPad afin de garder l'avantage sur le secteur concurrentioel des tablettes électroniques, où d'autres proposent des produits plus avantageux à des prix plus modestes.
Il ne fallait pas non plus négliger la finance, JP Morgan ayant trouvé un accord avec les autorités bancaire américaines lui permettant d'échapper aux poursuites pour tromperies dans ses ventes de prêts à ses collègues Fanny Mae et Freddie Mac, qui ont précipité leur effondrement avec la crise de 2008.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter McDonald's, Halliburton, Discover Financial, Netflix et Texas Instruments, dont les résultats du trimestre seront proclamés sous peu.
Les bourses européennes étaient quand à elles partagées, l'EURO STOXX 50 frémissant de 0,12%, le CAC 40 français de 0,27%, le DAX 30 allemand laissant échapper 0,11% et le FTSE 100 britannique se renforçant de 0,17%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 0,42%, et le Nikkei 225 japonais 0,91%.
Le spécialistes de l'immobilier des Etats-Unis comptaient quand à eux conclure la journée avec le volume des ventes de logements d'occasion.