Investing.com - Les actions américaines ouvraient avec des avancées mitigées ce mercredi après-midi, dans le sillage de statistiques pointant les moins bonnes performances du marché du travail en six mois, confortant l'hypothèse de l'adoption imminente du statu quo par la Réserve Fédérale.
Celles sur le Dow Jones progressaient ainsi de 0,09%, celles sur le S&P 500 de 0,07% et celles sur le Nasdaq 100 de 0,42%.
La compagnie de gestion des ressources humaines ADP a en effet annoncé la création de 130.000 emplois privés hors agriculture après ajustement saisonnier pour ce mois-ci aux Etats-Unis, alors que les experts pensaient pourtant enregistrer 150.000 postes supplémentaires.
Les 166.000 avancés pour le précédentont cependant dû être revus à la baisse vers 145.000.
Le département d'état au travail américain a d'autre part mesuré un gonflement sans surprise de 0,2% des prix pour septembre, prolongeant ainsi les 0,1% ayant précédé.
Ceux des produits de base, excluant la nourriture et l'énergie, se contentaient cependant de 0,1% au lieu des 0,2% anticipés, stagnant ainsi par rapport aux 0,1% d'août.
L'idée générale est que la Réserve Fédérale n'annoncera probablement pas de modification dans le volume de ses aides jusqu'à ce que le premier trimestre 2014 soit bien entamé, afin de protéger la fragile relance de l'économie nationale des conséquences des 16 jours de paralysie ayant récemment frappé les administrations américaines.
La finance était une fois de plus en ébullition, après qu'il ait été révélé que les autorités fédérales et celles de l'état avaient rejeté les propositions de JP Morgan-Chase pour qu'elles abandonnent leurs poursuites à son encontre, suite aux accusations d'écoulement frauduleux d'obligations adossées à des emprunts toxiques, ce qui ne l'empêchait pas d'empocher 0,49%.
Ses collègues lui emboîtaient le pas, la Bank of America encaissant 0,23%, Citigroup 0,30% et Goldman Sachs 0,41%.
Le constructeur automobile Chrysler Group n'était pas en reste avec 2,88%, grâce à ses juteux profits du troisième trimestre.
Comcast, maison-mère du réseau télévisé NBC Universal, trébuchait par contre de 0,23%, malgré des bénéfices nets supérieurs aux espérances sur la même période.
Le réseau social professionnel LinkedIn Corp. dérapait aussi de 3,62% suite à l'aveu de projections de son chiffre d'affaires décevantes pour ce laps de temps.
Le constructeur aérien Lockheed Martin Corp. s'élevait cependant de 0,42%, après que le Pentagone ait déclaré que son chasseur F-35 semblait devoir être prêt à être produit en série au cours de l'année fiscale 2015.
Les bourses européennes étaient quand à elles partagées, l'EURO STOXX 50 se rétractant de 0,15%, le CAC 40 français arrachant 0,09%, le DAX 30 allemand laissant échapper 0,07% et le FTSE 100 britannique avançant de 0,17%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 2%, et le Nikkei 225 japonais 1,23%.
Celles sur le Dow Jones progressaient ainsi de 0,09%, celles sur le S&P 500 de 0,07% et celles sur le Nasdaq 100 de 0,42%.
La compagnie de gestion des ressources humaines ADP a en effet annoncé la création de 130.000 emplois privés hors agriculture après ajustement saisonnier pour ce mois-ci aux Etats-Unis, alors que les experts pensaient pourtant enregistrer 150.000 postes supplémentaires.
Les 166.000 avancés pour le précédentont cependant dû être revus à la baisse vers 145.000.
Le département d'état au travail américain a d'autre part mesuré un gonflement sans surprise de 0,2% des prix pour septembre, prolongeant ainsi les 0,1% ayant précédé.
Ceux des produits de base, excluant la nourriture et l'énergie, se contentaient cependant de 0,1% au lieu des 0,2% anticipés, stagnant ainsi par rapport aux 0,1% d'août.
L'idée générale est que la Réserve Fédérale n'annoncera probablement pas de modification dans le volume de ses aides jusqu'à ce que le premier trimestre 2014 soit bien entamé, afin de protéger la fragile relance de l'économie nationale des conséquences des 16 jours de paralysie ayant récemment frappé les administrations américaines.
La finance était une fois de plus en ébullition, après qu'il ait été révélé que les autorités fédérales et celles de l'état avaient rejeté les propositions de JP Morgan-Chase pour qu'elles abandonnent leurs poursuites à son encontre, suite aux accusations d'écoulement frauduleux d'obligations adossées à des emprunts toxiques, ce qui ne l'empêchait pas d'empocher 0,49%.
Ses collègues lui emboîtaient le pas, la Bank of America encaissant 0,23%, Citigroup 0,30% et Goldman Sachs 0,41%.
Le constructeur automobile Chrysler Group n'était pas en reste avec 2,88%, grâce à ses juteux profits du troisième trimestre.
Comcast, maison-mère du réseau télévisé NBC Universal, trébuchait par contre de 0,23%, malgré des bénéfices nets supérieurs aux espérances sur la même période.
Le réseau social professionnel LinkedIn Corp. dérapait aussi de 3,62% suite à l'aveu de projections de son chiffre d'affaires décevantes pour ce laps de temps.
Le constructeur aérien Lockheed Martin Corp. s'élevait cependant de 0,42%, après que le Pentagone ait déclaré que son chasseur F-35 semblait devoir être prêt à être produit en série au cours de l'année fiscale 2015.
Les bourses européennes étaient quand à elles partagées, l'EURO STOXX 50 se rétractant de 0,15%, le CAC 40 français arrachant 0,09%, le DAX 30 allemand laissant échapper 0,07% et le FTSE 100 britannique avançant de 0,17%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 2%, et le Nikkei 225 japonais 1,23%.