Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture positive ce vendredi après-midi, en attendant des précisions sur la vigueur des industries des Etats-Unis, dont quelques chiffres positifs ont de nouveau fait miroiter la possibilité d'une fermeture anticipée de robinets de leur banque centrale.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0,26%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,15% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,26%.
Les bonnes nouvelles américaines d'hier ont ranimé le spectre d'une fermeture des robinets de la Réserve Fédérale qui pourrait intervenir plus tôt que prévu.
Il a ainsi été signalé hier que l'activité manufacturière dans la région de Chicago avait connu le mois passé son bond le plus important en trente ans, et que les nouvelles inscriptions au chômage avaient diminué sans grande surprise lors de la semaine achevée le 25 octobre.
Les bourses du monde entier sont également remontées après qu'il ait été souligné à l'aube que le baromètre officiel de l'activité des usines de la Chine s'était élevé de 51,1 vers 51,4, sa plus forte valeur en 18 mois.
Apple était sur le devant de la scène, à quelques heures du lancement national de son nouvel iPad Air, ce qui ne l'empêchait pas de trébucher de 0,18% en pré-ouverture.
Tesla Motors n'était pas en reste, après que sa valorisation ait subi son pire revers mensuel en octobre, en raison de la crainte que son récent quintuplement ait dépassé son rythme de croissance.
Le constructeur de voitures électriques du milliardaire Elon Musk accélérait du coup de 0,82% dans le même temps.
Facebook, colosse des réseaux sociaux, avançait de 0,59% après la clôture, après avoir déclaré cette semaine ne pas compter augmenter la proportion de publicités implantées au sein des flux de nouvelles.
Il avait précisé qu'elles occupaient 5% des messages informatifs au second trimestre et que ce taux n'avait que modérément grimpé depuis.
Sur le front des assurances, l'American International Group dégringolait de 3,58% avant les premières transactions, après avoir nommé Brian Schreiber et Geoffrey Cornell directeurs adjoints aux investissements.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Chevron, dont les renrées du trimestre seront proclamées sous peu.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0,13%, le CAC 40 français de 0,35%, le DAX 30 allemand de 0,14% et le FTSE 100 britannique de 0,10%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait cependant 0,19%, mais le Nikkei 225 japonais se repliait de 0,88%.
L'institut de gestion des approvisionnements comptait de son côté conclure la semaine avec des informations portant le secteur secondadire des Etats-Unis.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0,26%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,15% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,26%.
Les bonnes nouvelles américaines d'hier ont ranimé le spectre d'une fermeture des robinets de la Réserve Fédérale qui pourrait intervenir plus tôt que prévu.
Il a ainsi été signalé hier que l'activité manufacturière dans la région de Chicago avait connu le mois passé son bond le plus important en trente ans, et que les nouvelles inscriptions au chômage avaient diminué sans grande surprise lors de la semaine achevée le 25 octobre.
Les bourses du monde entier sont également remontées après qu'il ait été souligné à l'aube que le baromètre officiel de l'activité des usines de la Chine s'était élevé de 51,1 vers 51,4, sa plus forte valeur en 18 mois.
Apple était sur le devant de la scène, à quelques heures du lancement national de son nouvel iPad Air, ce qui ne l'empêchait pas de trébucher de 0,18% en pré-ouverture.
Tesla Motors n'était pas en reste, après que sa valorisation ait subi son pire revers mensuel en octobre, en raison de la crainte que son récent quintuplement ait dépassé son rythme de croissance.
Le constructeur de voitures électriques du milliardaire Elon Musk accélérait du coup de 0,82% dans le même temps.
Facebook, colosse des réseaux sociaux, avançait de 0,59% après la clôture, après avoir déclaré cette semaine ne pas compter augmenter la proportion de publicités implantées au sein des flux de nouvelles.
Il avait précisé qu'elles occupaient 5% des messages informatifs au second trimestre et que ce taux n'avait que modérément grimpé depuis.
Sur le front des assurances, l'American International Group dégringolait de 3,58% avant les premières transactions, après avoir nommé Brian Schreiber et Geoffrey Cornell directeurs adjoints aux investissements.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Chevron, dont les renrées du trimestre seront proclamées sous peu.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0,13%, le CAC 40 français de 0,35%, le DAX 30 allemand de 0,14% et le FTSE 100 britannique de 0,10%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait cependant 0,19%, mais le Nikkei 225 japonais se repliait de 0,88%.
L'institut de gestion des approvisionnements comptait de son côté conclure la semaine avec des informations portant le secteur secondadire des Etats-Unis.