Investing.com - L'euro a laissé le dollar U.S. creuser l'écart ce mardi après-midi, les opérateurs demeurant préoccupés par l'éventualité d'une réduction des taux de son émettrice à l'avant-veille de sa prise de cap mensuelle.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1,3476 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3473, perdant 0,31%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3441, son plancher d'un mois et demi établi hier, et de rencontrer de la résistance à 1,3570, son plafond du 15 octobre.
La monnaie unique demeurait sur la sellette à l'avant-veille du conseil directeur de la Banque Centrale Européenne, après qu'il ait été montré jeudi que l'inflation au sein du bloc l'ayant adoptée avait été la plus faible en quatre ans le mois passé, lui laissant du coup les coudées franches pour assouplir de nouveau sa politique et ainsi préserver la relance de l'économie dont elle a la charge.
Aucun changement ne semblait au programme pour son prochain conseil de direction, mais certains estiment qu'elle pourrait laisser entrevoir de nouveaux assouplissements pour celui de décembre.
La Commission Européenne a quand à elle revu aujourd'hui à la baisse ses prévisions de croissance de la région, qualifiant son taux de chômage d'inacceptablement élevé.
Elle s'attend désormais à 1,1% pour 2014 au lieu de 1,2% envisagés auparavant, et à 1,7% pour 2015.
Il était aussi à noter que les coûts de production y avaient diminué de 0,9% d'une année sur l'autre en septembre, au lieu des 0,7% déjà redoutés.
Les décideurs de la banque centrale américaine ont quand à eux laissé entendre hier que celle-ci allait probablement continuer sur sa lancée pendant encore un moment.
Eric Rosengren, président de la Réserve Fédérale de Boston, a ainsi déclaré que les rachats d'actifs devraient se poursuivre jusqu'à l'apparition de "preuves évidentes d'une reprise durable et d'un retour en forme de l'emploi".
L'euro a par ailleurs cédé du terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP glissant de 0,77% pour déraper à 0,8397.
Cette dernière a notamment bénéficié des plus belles performances en 16 ans de ses prestataires de services, piliers de l'économie britannique.
Le groupe de recherches économiques Markit a ainsi vu son baromètre de l'activité tertiaire du Royaume-Uni réaliser un bond depuis 60,3 vers 62,8 pour octobre, pour constituer son renforcement le plus important depuis mai 1997, alors qu'un faux pas à 59,8 était craint.
L'institut de gestion des approvisionnements comptait de son côté conclure la journée avec son raport sur l'activité tertiaire américaine.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1,3476 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3473, perdant 0,31%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3441, son plancher d'un mois et demi établi hier, et de rencontrer de la résistance à 1,3570, son plafond du 15 octobre.
La monnaie unique demeurait sur la sellette à l'avant-veille du conseil directeur de la Banque Centrale Européenne, après qu'il ait été montré jeudi que l'inflation au sein du bloc l'ayant adoptée avait été la plus faible en quatre ans le mois passé, lui laissant du coup les coudées franches pour assouplir de nouveau sa politique et ainsi préserver la relance de l'économie dont elle a la charge.
Aucun changement ne semblait au programme pour son prochain conseil de direction, mais certains estiment qu'elle pourrait laisser entrevoir de nouveaux assouplissements pour celui de décembre.
La Commission Européenne a quand à elle revu aujourd'hui à la baisse ses prévisions de croissance de la région, qualifiant son taux de chômage d'inacceptablement élevé.
Elle s'attend désormais à 1,1% pour 2014 au lieu de 1,2% envisagés auparavant, et à 1,7% pour 2015.
Il était aussi à noter que les coûts de production y avaient diminué de 0,9% d'une année sur l'autre en septembre, au lieu des 0,7% déjà redoutés.
Les décideurs de la banque centrale américaine ont quand à eux laissé entendre hier que celle-ci allait probablement continuer sur sa lancée pendant encore un moment.
Eric Rosengren, président de la Réserve Fédérale de Boston, a ainsi déclaré que les rachats d'actifs devraient se poursuivre jusqu'à l'apparition de "preuves évidentes d'une reprise durable et d'un retour en forme de l'emploi".
L'euro a par ailleurs cédé du terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP glissant de 0,77% pour déraper à 0,8397.
Cette dernière a notamment bénéficié des plus belles performances en 16 ans de ses prestataires de services, piliers de l'économie britannique.
Le groupe de recherches économiques Markit a ainsi vu son baromètre de l'activité tertiaire du Royaume-Uni réaliser un bond depuis 60,3 vers 62,8 pour octobre, pour constituer son renforcement le plus important depuis mai 1997, alors qu'un faux pas à 59,8 était craint.
L'institut de gestion des approvisionnements comptait de son côté conclure la journée avec son raport sur l'activité tertiaire américaine.