Investing.com - Le dollar U.S. est demeuré en mauvaise posture face à la plupart de ses concurrents ce mardi, les négociations entre Barack Obama, président des Etats-Unis, et les chefs des groupes parlementaires concernant le relèvement du plafond de la dette américaine semblant encore être au point mort.
En seconde partie de séance européenne, il a en effet fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.74% pour grimper à 1.4492.
Le président Obama a en effet prévenu lundi soir qu'un échec dans l'augmentation de la limite la dette du pays menaçait de faire subir de "sérieux" dégâts à l'économie, et a exhorté le congrès a trouver un compromis équitable sur le sujet afin d'éviter un défaut de paiement national "irréfléchi et irresponsable" avant la date butoir du 2 août.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.75% pour se hisser à 1.6398.
Des résultats officiels avaient auparavant montré que l'économie britannique avait progressé sans surprise de 0.2% au second trimestre.
Il a d'autre part plongé dans une ornière de quatre mois contre le yen et creusé jusqu'à un nouveau plancher record confronté au franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.26% pour se retrouver à 78.07 et l'USD/CHF glissant de 0.34% pour tomber à 0.8032.
Yoshihiko Noda, ministre des finances nippon, a répété ce matin que les dernières évolutions dans le domaine étaient peu équilibrées et qu'il surveillait celui-ci avec attention.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.62% pour aller vers 0.9414, un creux sur trois ans et demi, l'AUD/USD raflant 1.05% pour monter à 1.0957 et le NZD/USD engrangeant 1.08% pour culminer à 0.8732.
Une étude gouvernementale avait précédemment indiqué que l'excédent du commerce extérieur de la Nouvelle-Zélande avait diminué en juin, les exportations s'effondrant vers leur plus faible niveau en cinq mois.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.67%.
Les autorités américaines feront connaître dans l'après-midi les chiffres de ventes de logements neufs, ainsi que ceux de la confiance des consommateurs et de l'inflation des prix des habitations.
En seconde partie de séance européenne, il a en effet fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.74% pour grimper à 1.4492.
Le président Obama a en effet prévenu lundi soir qu'un échec dans l'augmentation de la limite la dette du pays menaçait de faire subir de "sérieux" dégâts à l'économie, et a exhorté le congrès a trouver un compromis équitable sur le sujet afin d'éviter un défaut de paiement national "irréfléchi et irresponsable" avant la date butoir du 2 août.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.75% pour se hisser à 1.6398.
Des résultats officiels avaient auparavant montré que l'économie britannique avait progressé sans surprise de 0.2% au second trimestre.
Il a d'autre part plongé dans une ornière de quatre mois contre le yen et creusé jusqu'à un nouveau plancher record confronté au franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.26% pour se retrouver à 78.07 et l'USD/CHF glissant de 0.34% pour tomber à 0.8032.
Yoshihiko Noda, ministre des finances nippon, a répété ce matin que les dernières évolutions dans le domaine étaient peu équilibrées et qu'il surveillait celui-ci avec attention.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.62% pour aller vers 0.9414, un creux sur trois ans et demi, l'AUD/USD raflant 1.05% pour monter à 1.0957 et le NZD/USD engrangeant 1.08% pour culminer à 0.8732.
Une étude gouvernementale avait précédemment indiqué que l'excédent du commerce extérieur de la Nouvelle-Zélande avait diminué en juin, les exportations s'effondrant vers leur plus faible niveau en cinq mois.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.67%.
Les autorités américaines feront connaître dans l'après-midi les chiffres de ventes de logements neufs, ainsi que ceux de la confiance des consommateurs et de l'inflation des prix des habitations.