Investing.com - Les bourses européennes n'ont guère varié ce mercredi matin, dans l'expectative de la prise de position qu'effectuera sous peu la banque centrale des Etats-Unis.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,02%, tandis que le CAC 40 français se rétractait de 0,05%, et le DAX 30 allemand de arrachait 0,10%.
L'attention se concentrait désormais sur la prise de cap imminente de la Réserve Fédérale, alors qu'il se disait qu'elle compterait mettre un léger frein à ses 85 milliards d'USD d'injections de capitaux mensuelles.
Mais les récentes contre-performances constatées par les Etats-Unis, notamment sur le front de l'emploi, ont contribué à revoir à la baisse les probabilités qu'elle procède à une telle manoeuvre.
La finance était mitigée, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,12%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 1,21 et 0,09%.
La périphérie s'en tirait mieux, les espagnols Banco Santander et BBVA empochant 0,78 et 1,13%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 1,05 et 0,34%.
La compagnie d'ingénierie Siemens bondissait de 1,18% alors qu'elle s'apprêtait à désigner un nouveau vice-président et un autre directeur financier lors de son conseil d'adinistration d'aujourd'hui, tentant ainisi de consolider ses rangs après des mois de difficultés.
Les magasins espagnols Inditex étaient aussi sur le devant de la scène, encaissant 0,95% grâce à des bénéfices semestriels connaissant une augmentation inattendue, et à un chifffre d'affaires en augmentation depuis la fin juillet.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,01%, le moral fortement atteint par Barclays.
Ce mastodonte bancaire s'effondrait de 6,18% suite à l'aveu selon lequel il devra rembourser au moins 300.000 emprunteurs particuliers, en raison d'erreurs dans les contrats de prêt.
La concurrence avait par contre le sourire, la Royal Bank of Scotland frémissant 0,04%, Lloyds Banking de 0,52% et HSBC Holdings de 0,58%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient moins unanies, les mastodontes miniers Glencore Xstrata et Rio Tinto fondant respectivement de 0,55 et 1,74%, Evraz et Polymetal n'étant pas en reste avec 0,80 et 1,04%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois modérément optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,05%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,04% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,17%.
Les autorités des Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec l'annonce du nombre des permis de construire qu'elles auront accordés, ainsi que de celui des chantiers entamés.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,02%, tandis que le CAC 40 français se rétractait de 0,05%, et le DAX 30 allemand de arrachait 0,10%.
L'attention se concentrait désormais sur la prise de cap imminente de la Réserve Fédérale, alors qu'il se disait qu'elle compterait mettre un léger frein à ses 85 milliards d'USD d'injections de capitaux mensuelles.
Mais les récentes contre-performances constatées par les Etats-Unis, notamment sur le front de l'emploi, ont contribué à revoir à la baisse les probabilités qu'elle procède à une telle manoeuvre.
La finance était mitigée, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,12%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 1,21 et 0,09%.
La périphérie s'en tirait mieux, les espagnols Banco Santander et BBVA empochant 0,78 et 1,13%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 1,05 et 0,34%.
La compagnie d'ingénierie Siemens bondissait de 1,18% alors qu'elle s'apprêtait à désigner un nouveau vice-président et un autre directeur financier lors de son conseil d'adinistration d'aujourd'hui, tentant ainisi de consolider ses rangs après des mois de difficultés.
Les magasins espagnols Inditex étaient aussi sur le devant de la scène, encaissant 0,95% grâce à des bénéfices semestriels connaissant une augmentation inattendue, et à un chifffre d'affaires en augmentation depuis la fin juillet.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,01%, le moral fortement atteint par Barclays.
Ce mastodonte bancaire s'effondrait de 6,18% suite à l'aveu selon lequel il devra rembourser au moins 300.000 emprunteurs particuliers, en raison d'erreurs dans les contrats de prêt.
La concurrence avait par contre le sourire, la Royal Bank of Scotland frémissant 0,04%, Lloyds Banking de 0,52% et HSBC Holdings de 0,58%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient moins unanies, les mastodontes miniers Glencore Xstrata et Rio Tinto fondant respectivement de 0,55 et 1,74%, Evraz et Polymetal n'étant pas en reste avec 0,80 et 1,04%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois modérément optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,05%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,04% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,17%.
Les autorités des Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec l'annonce du nombre des permis de construire qu'elles auront accordés, ainsi que de celui des chantiers entamés.