Investing.com - Le secteur des services de la Grande-Bretagne a davantage diminué en avril qu'attendu, retombant d'après les informations dévoilées ce jeudi par des spécialistes de son pic des 13 derniers mois datant de mars.
Dans son rapport, institut de recherches économiques Markit a fait savoir que son indice Markit/CIPS des directeurs des achats du domaine tertiaire avait effectivement chuté à 54.3 pour le mois, après avoir culminé à 57.1 lors du précédent.
Les experts s'étaient attendus à ne le voir descendre que jusqu'à 56 pour la période considérée.
Toute valeur de l'indice supérieure à 50 dénote une expansion de l'activité et inversement.
Après le bond de mars, la croissance du secteur s'est apaisée en avril, mais est toutefois restée notable, le niveau des nouvelles commandes enregistrées ayant connu sa plus forte progression en plus d'un an.
Le problème des frais était encore nettement pressant, entraînant dans des entreprises la plus forte montée des frais extérieurs depuis septembre 2008, et parfois des réductions de masse salariale.
Chris Williamson, économiste en chef chez Markit, a déclaré: "Lorsqu'on prend en compte la régression des indice des directeurs des achats du secteur manufacturier et du bâtiment, ces informations sur les services laissent à penser que la croissance trimestrielle du PIB devrait se situer à seulement 0.4%, ce qui constitue une nette déception, à la fois pour la Banque d'Angleterre mais aussi pour le gouvernement."
Suite à la diffusion de la nouvelle, la livre sterling cédait du terrain au dollar U.S. avec un couple GBP/USD trébuchant de 0.07% pour reprendre pied à 1.6476.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt mitigées, l'EURO STOXX 50 perdant 0.32%, le CAC 40 français 0.22%, le DAX allemand arrachant cependant 0.25% et le FTSE 100 britannique 0.12%.
Dans son rapport, institut de recherches économiques Markit a fait savoir que son indice Markit/CIPS des directeurs des achats du domaine tertiaire avait effectivement chuté à 54.3 pour le mois, après avoir culminé à 57.1 lors du précédent.
Les experts s'étaient attendus à ne le voir descendre que jusqu'à 56 pour la période considérée.
Toute valeur de l'indice supérieure à 50 dénote une expansion de l'activité et inversement.
Après le bond de mars, la croissance du secteur s'est apaisée en avril, mais est toutefois restée notable, le niveau des nouvelles commandes enregistrées ayant connu sa plus forte progression en plus d'un an.
Le problème des frais était encore nettement pressant, entraînant dans des entreprises la plus forte montée des frais extérieurs depuis septembre 2008, et parfois des réductions de masse salariale.
Chris Williamson, économiste en chef chez Markit, a déclaré: "Lorsqu'on prend en compte la régression des indice des directeurs des achats du secteur manufacturier et du bâtiment, ces informations sur les services laissent à penser que la croissance trimestrielle du PIB devrait se situer à seulement 0.4%, ce qui constitue une nette déception, à la fois pour la Banque d'Angleterre mais aussi pour le gouvernement."
Suite à la diffusion de la nouvelle, la livre sterling cédait du terrain au dollar U.S. avec un couple GBP/USD trébuchant de 0.07% pour reprendre pied à 1.6476.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt mitigées, l'EURO STOXX 50 perdant 0.32%, le CAC 40 français 0.22%, le DAX allemand arrachant cependant 0.25% et le FTSE 100 britannique 0.12%.