Investing.com - Les options sur le bruut étaient à la baisse ce mercredi, tombant dans un creux du jour alors que les investisseurs attendaient la divulgation des chiffres concernant l'état des réserves américaines d'or noir.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mars se sont échangés à 87.2 USD le baril en première partie de séance européenne, cédant 0.13%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 87.08 USD, leur cours le plus bas du jour.
L'agence d'information sur l'énergie des Etats-Unis devrait faire connaître en cours de journée les résultats de son inventaire du stock de pérole américain pour la semaine achevée le 4 février.
Ce rapport pourrait mettre en évidence la quatrième semaine consécutive d'augmentation des réserves nationales de brut, qui progresseraient alors de 2.25 millions de barils, tandis que celles d'essence gonfleraient pour leur part de 3 millions de barils.
Une telle augmentation mènerait le volume de ces dernières à leur plus haut niveau depuis mars 1990.
L'institut américain du pétrole, spécialiste de la question, avait déclaré hier dans son rapport hebdomadaire que les livraisons d'or noir vers le pays avaient diminué de 558 000 barils au cours de la semaine précédente, mais que les stocks d'essence avaient bondi de 3.2 millions de barils.
Les Etats-Unis restent les premiers consommateurs de pétrole au monde.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour mars ont gagné 0.47% pour grimper à 100.58 USD du baril, soit 13.38 USD de mieux que son homologue américain.
Celles sur le gaz naturel pour mars ont par ailleurs plongé de 1.5% pour s'échanger à 4.003 USD par million d'unités thermiques britanniques, leur pire niveau en 8 semaines, et celles sur le carburant domestique pour une échéance identique ont arraché 0.19% pour s'établir à 2.742 USD par gallon dans le même temps.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mars se sont échangés à 87.2 USD le baril en première partie de séance européenne, cédant 0.13%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 87.08 USD, leur cours le plus bas du jour.
L'agence d'information sur l'énergie des Etats-Unis devrait faire connaître en cours de journée les résultats de son inventaire du stock de pérole américain pour la semaine achevée le 4 février.
Ce rapport pourrait mettre en évidence la quatrième semaine consécutive d'augmentation des réserves nationales de brut, qui progresseraient alors de 2.25 millions de barils, tandis que celles d'essence gonfleraient pour leur part de 3 millions de barils.
Une telle augmentation mènerait le volume de ces dernières à leur plus haut niveau depuis mars 1990.
L'institut américain du pétrole, spécialiste de la question, avait déclaré hier dans son rapport hebdomadaire que les livraisons d'or noir vers le pays avaient diminué de 558 000 barils au cours de la semaine précédente, mais que les stocks d'essence avaient bondi de 3.2 millions de barils.
Les Etats-Unis restent les premiers consommateurs de pétrole au monde.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour mars ont gagné 0.47% pour grimper à 100.58 USD du baril, soit 13.38 USD de mieux que son homologue américain.
Celles sur le gaz naturel pour mars ont par ailleurs plongé de 1.5% pour s'échanger à 4.003 USD par million d'unités thermiques britanniques, leur pire niveau en 8 semaines, et celles sur le carburant domestique pour une échéance identique ont arraché 0.19% pour s'établir à 2.742 USD par gallon dans le même temps.