Investing.com - Les places d'Asie avaient le sourire ce lundi matin, l'optimisme concernant l'accélération de la reprise chinoise ayant dopé les valeurs liées à la croissance.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 0.4%, et l'ASX/200 australien 0.2%.
Les bourses nippones demeuraient closes en raison d'un jour férié, mais les options sur le Nikkei 225 tablaient sur 0.7% d'amélioration, le yen dérapant face au dollar U.S. dans son ornière la plus profonde depuis juin 2010.
Les yeux se tournaient de nouveau vers la Chine, après qu'une étude officielle ait montré la semaine passée que le solde positif de sa balance commerciale avait augmenté en décembre sans prévenir, confortant les signaux positifs de la part de la seconde économie mondiale.
Les exportations du mois dernier ont ainsi bondi de 14.1% d'une année sur l'autre, pulvérisant les 5% attendus après les 2.9% précédents.
Les importations ont quand à elles augmenté de 6% sur une période identique, dépassant là aussi les 3.5% envisagés suite à la stagnation de novembre.
Elle devrait révéler vendredi son produit intérieur brut du quatrième trimestre, ainsi que les chiffres de sa production industrielle, et le volume de ses ventes au détail.
Hong Kong a ainsi vu ses valeurs sensibles aux perspectives chinoises gagner du terrain.
Les poids lourds des assurances sont ainsi passés à l'offensive, le China Life Insurance Group empochant 3.2%, le Ping An Insurance Group 2.9% et l'AIA Group 1.4%.
Mais tout n'était cependant pas rose, Li & Fung dégringolant de 15.6% après avoir avoué que les profits de sa branche principale pour l'année écoulée pourraient subir un effondrement allant jusqu'à 40%, devant faire face à des coûts de restructuration importants.
Sydney était moins exubérante, les matières premières étant plus nuancées, la Chine étant là aussi au centre des débats.
Les fournisseurs de produits bruts du pays sont en effet fortement dépendants de la demande de cette dernière.
Le mastodonte minier Rio Tinto a ainsi engrangé 0.3%, et son rival BHP Billiton fléchi d'un pourcentage identique.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui modérément positif, à l'approche de la prise de parole de Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, attendue en fin de journée.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient ainsi une hausse de 0.25%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.3%, celles sur le DAX 30 allemand à 0.15% et sur le FTSE 100 britannique à 0.15% aussi.
La zone euro comptait pour sa part dévoiler aujourd'hui le volume de sa production industrielle.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 0.4%, et l'ASX/200 australien 0.2%.
Les bourses nippones demeuraient closes en raison d'un jour férié, mais les options sur le Nikkei 225 tablaient sur 0.7% d'amélioration, le yen dérapant face au dollar U.S. dans son ornière la plus profonde depuis juin 2010.
Les yeux se tournaient de nouveau vers la Chine, après qu'une étude officielle ait montré la semaine passée que le solde positif de sa balance commerciale avait augmenté en décembre sans prévenir, confortant les signaux positifs de la part de la seconde économie mondiale.
Les exportations du mois dernier ont ainsi bondi de 14.1% d'une année sur l'autre, pulvérisant les 5% attendus après les 2.9% précédents.
Les importations ont quand à elles augmenté de 6% sur une période identique, dépassant là aussi les 3.5% envisagés suite à la stagnation de novembre.
Elle devrait révéler vendredi son produit intérieur brut du quatrième trimestre, ainsi que les chiffres de sa production industrielle, et le volume de ses ventes au détail.
Hong Kong a ainsi vu ses valeurs sensibles aux perspectives chinoises gagner du terrain.
Les poids lourds des assurances sont ainsi passés à l'offensive, le China Life Insurance Group empochant 3.2%, le Ping An Insurance Group 2.9% et l'AIA Group 1.4%.
Mais tout n'était cependant pas rose, Li & Fung dégringolant de 15.6% après avoir avoué que les profits de sa branche principale pour l'année écoulée pourraient subir un effondrement allant jusqu'à 40%, devant faire face à des coûts de restructuration importants.
Sydney était moins exubérante, les matières premières étant plus nuancées, la Chine étant là aussi au centre des débats.
Les fournisseurs de produits bruts du pays sont en effet fortement dépendants de la demande de cette dernière.
Le mastodonte minier Rio Tinto a ainsi engrangé 0.3%, et son rival BHP Billiton fléchi d'un pourcentage identique.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui modérément positif, à l'approche de la prise de parole de Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, attendue en fin de journée.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient ainsi une hausse de 0.25%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.3%, celles sur le DAX 30 allemand à 0.15% et sur le FTSE 100 britannique à 0.15% aussi.
La zone euro comptait pour sa part dévoiler aujourd'hui le volume de sa production industrielle.