Ce midi sur les marchés pétroliers en Europe, le contrat à terme sur le baril de Brent de mer du Nord livrable en décembre restait neutre (- 0,1%) à 56 dollars, le WTI américain d'échéance novembre se tassait de 0,1% à 50,5 dollars.
Le cours du brut ne parvient donc pas à rebondir après sa correction de la veille. En cause : 'les statistiques du nombre de puits en activité aux Etats-Unis et (...) la hausse de la production de l'Opep en septembre', commentent des analystes parisiens ce matin.
En effet, le nombre de puits de forages pétroliers en activité aux Etats-Unis a augmenté de six unités la semaine passée à 750, selon Baker Hughes, après une tendance au tassement les semaines précédentes. Ce qui tend à entraîner la production à la hausse, à plus ou moins court terme.
Du côté de l'Opep et selon les calculs relayés par les agences de presse, la production du cartel a augmenté de 50.000 barils/jours le mois dernier, en raison de l'Irak et de la Libye. 'Le 'taux de respect' de l'accord d'Alger (une baisse de la production de 700.000 barils/jour, proposée en septembre 2016) se relâche : 82% le mois dernier, contre 88% en août', constate La Banque Postale AM.
Bref, 'les investisseurs redoutent qu'après le rebond des prix du pétrole, les pays de l'Opep ne respectent plus leurs engagements en matière de limitation de leur production', estime Aurel BGC
EG
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Le cours du brut ne parvient donc pas à rebondir après sa correction de la veille. En cause : 'les statistiques du nombre de puits en activité aux Etats-Unis et (...) la hausse de la production de l'Opep en septembre', commentent des analystes parisiens ce matin.
En effet, le nombre de puits de forages pétroliers en activité aux Etats-Unis a augmenté de six unités la semaine passée à 750, selon Baker Hughes, après une tendance au tassement les semaines précédentes. Ce qui tend à entraîner la production à la hausse, à plus ou moins court terme.
Du côté de l'Opep et selon les calculs relayés par les agences de presse, la production du cartel a augmenté de 50.000 barils/jours le mois dernier, en raison de l'Irak et de la Libye. 'Le 'taux de respect' de l'accord d'Alger (une baisse de la production de 700.000 barils/jour, proposée en septembre 2016) se relâche : 82% le mois dernier, contre 88% en août', constate La Banque Postale AM.
Bref, 'les investisseurs redoutent qu'après le rebond des prix du pétrole, les pays de l'Opep ne respectent plus leurs engagements en matière de limitation de leur production', estime Aurel BGC
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