Investing.com - Le dollar U.S. était en forme face à la plupart de ses concurrents ce jeudi matin, après que le procès-verbal de la dernière réunion du conseil de direction de son émettrice ait montré qu'elle comptait finir par diminuer l'ampleur de ses coups de pouce, bien que son homologue européen profite de signaux positifs dans sa propre zone d'influence.
En première partie de séance européenne, l'euro n' presque pas fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,02% pour tomber à 1,3351, s'extrayant d'une ornière creusée à 1,3321.
Le compte-rendu de la prise de cap effectuée en juillet par la banque centrale des Etats-Unis montrait en effet des décideurs "majoritairement d'accord" avec l'idée d'une réduction de ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs.
Ils demeuraient cependant partagés au sujet du moment où celle-ci devrait avoir lieu, bien que presque tous aient indiqué que le moment n'était pas encore arrivé.
Il y était aussi indiqué que les résultats économiques étaient "nuancés", laissant entendre que le resserrage des boulons pourrait être encore retardé en cas de ralentissement.
Son adversaire avait repris du poil de la bête après que les industries de la région l'ayant adoptée aient réalisé leurs progression la plus marquée en 26 mois.
Le groupe de recherches économiques Markit a ainsi annoncé en milieu de journée que l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier du bloc euro était passé des 50,3 définitifs de juillet à 51,3, au lieu des 50,8 anticipés.
Celui du tertiaire suivait le même chemin, passant de 49,8 à 51,0, sa valeur la plus élevée en 24 mois dans le même temps, alors qu'un saut de puce à 50,2 semblait probable.
Les baromètres correspondants de l'Allemagne bondissaient pour leur part à 52,0 et 52,4, atteignant ainsi leur plus fortes valeurs en respectivement 25 et 6 mois.
Cette bonne nouvelle a du coup compensé que ceux de la France avaient stagné à 49,7 pour le premier, et chuté à 47,7, son pire niveau en deux mois, pour le second.
Le yen a par contre plus nettement souffert, l'USD/JPY grimpant de 0,73% pour se hisser à 98,42.
Sa valeur refuge traditionnelle a vu s'accentuer sa dégringolade après les statistiques venues d'Europe aient renforcé les perspectives de relance.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,46% pour chuter à 1,5590.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,20% pour culminer à 0,9242.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines néo-zélandaise et canadienne, mais pas l'australienne, l'AUD/USD empochant 0,41% pour se retrouver à 0,9004, le NZD/USD se laissant arracher 0,18% pour toucher le fond à 0,7830 et l'USD/CAD prenant 0,19% pour monter à 1,0491.
Cette dernière, fortement dépendante de la croissance, émergeait après que les statistiques industrielles provenant de la seconde économie mondiale aient dissipé à l'aube le spectre d'un essoufflement de son essor.
Il avait ainsi été annoncé à l'aube que la première évaluation de l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier chinois établi par la banque HSBC était passée de 47,7 à 50,1 pour août, son plus haut niveau en quatre mois, au lieu des 48,3 anticipés.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,17% pour se situer à 81,49.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure de leur côté la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.
En première partie de séance européenne, l'euro n' presque pas fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,02% pour tomber à 1,3351, s'extrayant d'une ornière creusée à 1,3321.
Le compte-rendu de la prise de cap effectuée en juillet par la banque centrale des Etats-Unis montrait en effet des décideurs "majoritairement d'accord" avec l'idée d'une réduction de ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs.
Ils demeuraient cependant partagés au sujet du moment où celle-ci devrait avoir lieu, bien que presque tous aient indiqué que le moment n'était pas encore arrivé.
Il y était aussi indiqué que les résultats économiques étaient "nuancés", laissant entendre que le resserrage des boulons pourrait être encore retardé en cas de ralentissement.
Son adversaire avait repris du poil de la bête après que les industries de la région l'ayant adoptée aient réalisé leurs progression la plus marquée en 26 mois.
Le groupe de recherches économiques Markit a ainsi annoncé en milieu de journée que l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier du bloc euro était passé des 50,3 définitifs de juillet à 51,3, au lieu des 50,8 anticipés.
Celui du tertiaire suivait le même chemin, passant de 49,8 à 51,0, sa valeur la plus élevée en 24 mois dans le même temps, alors qu'un saut de puce à 50,2 semblait probable.
Les baromètres correspondants de l'Allemagne bondissaient pour leur part à 52,0 et 52,4, atteignant ainsi leur plus fortes valeurs en respectivement 25 et 6 mois.
Cette bonne nouvelle a du coup compensé que ceux de la France avaient stagné à 49,7 pour le premier, et chuté à 47,7, son pire niveau en deux mois, pour le second.
Le yen a par contre plus nettement souffert, l'USD/JPY grimpant de 0,73% pour se hisser à 98,42.
Sa valeur refuge traditionnelle a vu s'accentuer sa dégringolade après les statistiques venues d'Europe aient renforcé les perspectives de relance.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,46% pour chuter à 1,5590.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,20% pour culminer à 0,9242.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines néo-zélandaise et canadienne, mais pas l'australienne, l'AUD/USD empochant 0,41% pour se retrouver à 0,9004, le NZD/USD se laissant arracher 0,18% pour toucher le fond à 0,7830 et l'USD/CAD prenant 0,19% pour monter à 1,0491.
Cette dernière, fortement dépendante de la croissance, émergeait après que les statistiques industrielles provenant de la seconde économie mondiale aient dissipé à l'aube le spectre d'un essoufflement de son essor.
Il avait ainsi été annoncé à l'aube que la première évaluation de l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier chinois établi par la banque HSBC était passée de 47,7 à 50,1 pour août, son plus haut niveau en quatre mois, au lieu des 48,3 anticipés.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,17% pour se situer à 81,49.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure de leur côté la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.