Investing.com - Le dollar U.S. était largement en forme face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, la frilosité étant de retour pour accueillir le sommet de l'Union Européenne débutant aujourd'hui.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.35% pour tomber à 1.2424.
L'optimisme a en effet flanché après qu'un représentant du gouvernement allemand ait fait savoir que les pourparlers de l'UE ne déboucheraient pas sur des décisions précises, mettant en garde les investisseurs tentés de vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué.
Angela Merkel, la chancelière allemande, avait martelé en début de semaine son opposition à l'émission d'Eurobons du trésor mutualisés, tandis qu'Olli Rehn, commissaire aux affaires économiques et monétaires de l'UE, estimait hier hier que l'emphase serait mise sur les mesures de stabilisation à court terme afin de diminuer la pression exercée sur les pays à risque.
Le taux des obligations décennales espagnoles est quand à lui remonté jusqu'au niveau fatidique des 7%, dont le dépassement avait forcé la Grèce, l'Irlande et le Portugal à recourir à des bouées de sauvetage.
Une étude officielle avait montré ce matin que l'Allemagne comptait 7 000 sans-emploi supplémentaires en juin, au lieu des 5 000 déjà redoutés, tandis que 1 000 avaient été enregistrés après révision pour la mois dernier, au lieu d'une évaluation préalable neutre.
Le taux de chômage se maintenait quand à lui à 6.8% pour la période considérée.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.12% pour chuter à 1.5547.
Les autorités britanniques avaient auparavant signalé que le déficit du commerce extérieur national avait été supérieur aux craintes pour le premier trimestre 2012, passant de 7.2 à 11.2 milliards de GBP.
Il était d'autre part à noter que le produit intérieur brut du pays avait reculé de 0.3% après ajustement saisonnier dans le même temps, conformément à l'estimation préliminaire.
Les spécialistes de l'immobilier national avaient pour leur part fait savoir que les prix des logements avaient plongé de 0.6% ce mois-ci, pour se retrouver à 1.5% de moins à l'année, leur plus faible performance depuis août 2009, alors qu'un frémissement de 0.1% était envisagé.
Le yen a par contre exercé sa pression, mais pas le franc suisse, l'USD/JPY dérapant de 0.52% pour chuter à 79.3 et l'USD/CHF grignotant 0.37% pour culminer à 0.9667.
Des chiffres gouvernementaux avaient montré ce matin que les ventes au détail nippones avaient davantage augmenté en mai qu'attendu, bondissant de 3.6%, prolongeant ainsi les 5.7% du mois précédent.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.24% pour monter à 1.0272, l'AUD/USD cédant 0.07% pour se retrouver à 1.0072 et le NZD/USD se laissant arracher 0.03% pour toucher le fond à 0.7915.
La National Bank of New Zealand avait révélé que son baromètre de la confiance des entreprises était passé de 27.1 à 12.6 pour juin.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.11% pour se situer à 82.86.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté rendre dans l'après-midi leur rapport gouvernemental hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, suivi des résultats révisés de la croissance des trois premiers mois de l'année.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.35% pour tomber à 1.2424.
L'optimisme a en effet flanché après qu'un représentant du gouvernement allemand ait fait savoir que les pourparlers de l'UE ne déboucheraient pas sur des décisions précises, mettant en garde les investisseurs tentés de vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué.
Angela Merkel, la chancelière allemande, avait martelé en début de semaine son opposition à l'émission d'Eurobons du trésor mutualisés, tandis qu'Olli Rehn, commissaire aux affaires économiques et monétaires de l'UE, estimait hier hier que l'emphase serait mise sur les mesures de stabilisation à court terme afin de diminuer la pression exercée sur les pays à risque.
Le taux des obligations décennales espagnoles est quand à lui remonté jusqu'au niveau fatidique des 7%, dont le dépassement avait forcé la Grèce, l'Irlande et le Portugal à recourir à des bouées de sauvetage.
Une étude officielle avait montré ce matin que l'Allemagne comptait 7 000 sans-emploi supplémentaires en juin, au lieu des 5 000 déjà redoutés, tandis que 1 000 avaient été enregistrés après révision pour la mois dernier, au lieu d'une évaluation préalable neutre.
Le taux de chômage se maintenait quand à lui à 6.8% pour la période considérée.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.12% pour chuter à 1.5547.
Les autorités britanniques avaient auparavant signalé que le déficit du commerce extérieur national avait été supérieur aux craintes pour le premier trimestre 2012, passant de 7.2 à 11.2 milliards de GBP.
Il était d'autre part à noter que le produit intérieur brut du pays avait reculé de 0.3% après ajustement saisonnier dans le même temps, conformément à l'estimation préliminaire.
Les spécialistes de l'immobilier national avaient pour leur part fait savoir que les prix des logements avaient plongé de 0.6% ce mois-ci, pour se retrouver à 1.5% de moins à l'année, leur plus faible performance depuis août 2009, alors qu'un frémissement de 0.1% était envisagé.
Le yen a par contre exercé sa pression, mais pas le franc suisse, l'USD/JPY dérapant de 0.52% pour chuter à 79.3 et l'USD/CHF grignotant 0.37% pour culminer à 0.9667.
Des chiffres gouvernementaux avaient montré ce matin que les ventes au détail nippones avaient davantage augmenté en mai qu'attendu, bondissant de 3.6%, prolongeant ainsi les 5.7% du mois précédent.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.24% pour monter à 1.0272, l'AUD/USD cédant 0.07% pour se retrouver à 1.0072 et le NZD/USD se laissant arracher 0.03% pour toucher le fond à 0.7915.
La National Bank of New Zealand avait révélé que son baromètre de la confiance des entreprises était passé de 27.1 à 12.6 pour juin.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.11% pour se situer à 82.86.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté rendre dans l'après-midi leur rapport gouvernemental hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, suivi des résultats révisés de la croissance des trois premiers mois de l'année.