Investing.com - Le dollar U.S. restait en berne face à la plupart de ses concurrents ce jeudi après-midi, les yeux étant tournés vers la conférence de presse de Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, dans l'espoir qu'il annonce des mesures permettant de juguler la crise de la dette régionale.
En seconde partie de séance européenne, il a encore fléchi devant l'euro, aux abords d'un creux de deux mois, l'EUR/USD gagnant 0.22% pour grimper à 1.263.
M. Draghi était désormais sous les projecteurs pour son apparition publique, devant prodiguer de davantage de détails après que la BCE ait déclaré que son taux directeur demeurerait sans surprise à 0.75%, son plancher historique.
La monnaie unique gardait des partisans ces dernières semaines, grâce à l'espoir que la BCE fasse connaître dans le détail son plan destiné à stabiliser les marchés obligataires du bloc où elle a cours lors de la conférence de presse suivant son conseil d'orientation d'aujourd'hui.
Ce phénomène s'est accentué mercredi, après que l'agence de presse Bloomberg ait rapporté que l'organisme prévoyait des acquisitions illimitées de bons du trésor courant jusqu'à trois ans, sans plafonds de taux.
La France a d'autre part vu les dividendes de ses obligations à cinq et dix ans plonger lors d'une émission ayant eu lieu aujourd'hui, ceux à deux, trois et quatre ans mises aux enchères par Madrid ayant également diminué.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, pour plonger au plus bas des trois mois et demi, le GBP/USD grignotant 0.06% pour se hisser à 1.5912.
La Banque d'Angleterre avait gardé à la mi-journée son taux d'intérêt directeur à 0.5% et de son programme d'assouplissements quantitatifs à 375 milliards de GBP, conformément aux prédictions.
Le yen subi légèrement subi sa pression, l'USD/JPY encaissant 0.37% pour s'élever à 78.68, mais pas le franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0.16% pour tomber à 0.9539.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.38% pour aller vers 0.9868, l'AUD/USD raflant 0.42% pour monter à 1.0236 et le NZD/USD engrangeant 0.45% pour culminer à 0.7978.
Les autorités d'Australie avaient fait savoir en début de matinée que le taux de chômage national avait reculé sans crier gare de 5.2 vers 5.1 pour août, alors qu'une ascension à 5.3% était redoutée.
Le pays a toutefois compté 8 000 employés de moins pour cette période, alors que 5 000 postes supplémentaires étaient envisagés.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.12% pour se situer à 81.14.
Il était aussi à noter que l'agence de gestion des ressources humaines ADP avait révélé cet après-midi que 201 000 emplois non agricoles avaient été créés aux Etats-Unis en août, dépassant largement les 140 000 espérés et les 173 000 précédents.
Le pays divulguera de son côté en fin de journée son décompte hebdomadaire des nouveaux inscrits au chômage, et l'institut de gestion des approvisionnements rendra une étude sur l'activité tertiaire.
En seconde partie de séance européenne, il a encore fléchi devant l'euro, aux abords d'un creux de deux mois, l'EUR/USD gagnant 0.22% pour grimper à 1.263.
M. Draghi était désormais sous les projecteurs pour son apparition publique, devant prodiguer de davantage de détails après que la BCE ait déclaré que son taux directeur demeurerait sans surprise à 0.75%, son plancher historique.
La monnaie unique gardait des partisans ces dernières semaines, grâce à l'espoir que la BCE fasse connaître dans le détail son plan destiné à stabiliser les marchés obligataires du bloc où elle a cours lors de la conférence de presse suivant son conseil d'orientation d'aujourd'hui.
Ce phénomène s'est accentué mercredi, après que l'agence de presse Bloomberg ait rapporté que l'organisme prévoyait des acquisitions illimitées de bons du trésor courant jusqu'à trois ans, sans plafonds de taux.
La France a d'autre part vu les dividendes de ses obligations à cinq et dix ans plonger lors d'une émission ayant eu lieu aujourd'hui, ceux à deux, trois et quatre ans mises aux enchères par Madrid ayant également diminué.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, pour plonger au plus bas des trois mois et demi, le GBP/USD grignotant 0.06% pour se hisser à 1.5912.
La Banque d'Angleterre avait gardé à la mi-journée son taux d'intérêt directeur à 0.5% et de son programme d'assouplissements quantitatifs à 375 milliards de GBP, conformément aux prédictions.
Le yen subi légèrement subi sa pression, l'USD/JPY encaissant 0.37% pour s'élever à 78.68, mais pas le franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0.16% pour tomber à 0.9539.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.38% pour aller vers 0.9868, l'AUD/USD raflant 0.42% pour monter à 1.0236 et le NZD/USD engrangeant 0.45% pour culminer à 0.7978.
Les autorités d'Australie avaient fait savoir en début de matinée que le taux de chômage national avait reculé sans crier gare de 5.2 vers 5.1 pour août, alors qu'une ascension à 5.3% était redoutée.
Le pays a toutefois compté 8 000 employés de moins pour cette période, alors que 5 000 postes supplémentaires étaient envisagés.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.12% pour se situer à 81.14.
Il était aussi à noter que l'agence de gestion des ressources humaines ADP avait révélé cet après-midi que 201 000 emplois non agricoles avaient été créés aux Etats-Unis en août, dépassant largement les 140 000 espérés et les 173 000 précédents.
Le pays divulguera de son côté en fin de journée son décompte hebdomadaire des nouveaux inscrits au chômage, et l'institut de gestion des approvisionnements rendra une étude sur l'activité tertiaire.