Investing.com - Le dollar U.S. était plutôt en forme face à la plupart de ses concurrents ce mercredi matin, à l'approche imminente des conclusions de la réunion de son émettrice.
En première partie de séance européenne, il a cependant a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD frémissant de 0,08% pour prendre pied à 1,3757, touours accroché à son pic de 23 mois établi vendredi à 1,3831.
La banque centrale des Etats-Unis maintiendra certainement en fin de journée le volume de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
L'idée générale est qu'elle n'annoncera probablement pas de modification dans le volume de ses aides jusqu'à ce que le premier trimestre 2014 soit bien entamé, afin de protéger la fragile relance de leur économie des conséquences des 16 jours de paralysie ayant récemment frappé leurs administrations américaines.
Une étude officielle avait auparavant montré que le produit intérieur brut de l'Espagne avait comme prévu frémi de 0,1% au troisième trimestre, après avoir trébuché de 0,1% au second, signalant sa première émergence de récession depuis 2011.
Il était d'autre part à signaler que les prix à la consommation du pays avaient connu une érosion de 0,1% d'une année sur l'autre pour la période située entre début juillet et fin septembre.
Il n'en allait pas de même avec le yen, l'USD/JPY grignotant 0,04% pour se hisser à 98,23.
Le billet vert a également cédé quelques centimètres de terrain à la livre sterling et subi la pression du franc suisse, le GBP/USD s'élevant de 0,12% pour grimper à 1,6065 et l'USD/CHF glissant de 0,11% pour toucher le fond à 0,8980.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, l'AUD/USD avançant de 0,33% pour se retrouver à 0,9511, le NZD/USD se arrachant 0,32% pour culminer à 0,8280.
La canadienne avait aussi l'avantage, l'USD/CAD perdant 0,16% pour descendre à 1,0452.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,13% pour se situer à 79,50.
Les Etats-Unis comptaient voir aujourd'hui la publication des chiffres de la masse salariale du secteur privé, à l'approche du rapport sur l'emploi pour le mois en cours, attendu le 8 novembre.
En première partie de séance européenne, il a cependant a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD frémissant de 0,08% pour prendre pied à 1,3757, touours accroché à son pic de 23 mois établi vendredi à 1,3831.
La banque centrale des Etats-Unis maintiendra certainement en fin de journée le volume de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
L'idée générale est qu'elle n'annoncera probablement pas de modification dans le volume de ses aides jusqu'à ce que le premier trimestre 2014 soit bien entamé, afin de protéger la fragile relance de leur économie des conséquences des 16 jours de paralysie ayant récemment frappé leurs administrations américaines.
Une étude officielle avait auparavant montré que le produit intérieur brut de l'Espagne avait comme prévu frémi de 0,1% au troisième trimestre, après avoir trébuché de 0,1% au second, signalant sa première émergence de récession depuis 2011.
Il était d'autre part à signaler que les prix à la consommation du pays avaient connu une érosion de 0,1% d'une année sur l'autre pour la période située entre début juillet et fin septembre.
Il n'en allait pas de même avec le yen, l'USD/JPY grignotant 0,04% pour se hisser à 98,23.
Le billet vert a également cédé quelques centimètres de terrain à la livre sterling et subi la pression du franc suisse, le GBP/USD s'élevant de 0,12% pour grimper à 1,6065 et l'USD/CHF glissant de 0,11% pour toucher le fond à 0,8980.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, l'AUD/USD avançant de 0,33% pour se retrouver à 0,9511, le NZD/USD se arrachant 0,32% pour culminer à 0,8280.
La canadienne avait aussi l'avantage, l'USD/CAD perdant 0,16% pour descendre à 1,0452.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,13% pour se situer à 79,50.
Les Etats-Unis comptaient voir aujourd'hui la publication des chiffres de la masse salariale du secteur privé, à l'approche du rapport sur l'emploi pour le mois en cours, attendu le 8 novembre.