Investing.com - L'euro était en berne face au dollar U.S. ce mardi, tiré vers le bas par l'idée d'une hausse des coûts des emprunts espagnols lors de l'émission de dettes à court terme en cours de journée.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1.3098 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.3099, perdant 0.33%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.2994, son plancher des deux derniers mois établi hier, et de rencontrer de la résistance à 1.314, son plafond d'aujourd'hui.
L'Espagne doit en effet proposer pour 3 milliards d'euros de bons du trésor à 12 et 18 mois dans l'après-midi, alors que la crainte que son gouvernement ne puisse tenir ses objectifs de réduction des déficits se faisait ne plus en plus pressante face à la récession qui menace.
La monnaie unique avait plongé hier vers un creux des deux derniers jours avec même une brève excursion sous la barre des 1.3, après que le coût des assurances contre un éventuel défaut de paiement des dettes espagnoles se soit élevé vers un nouveau sommet, poussant les taux des bons décennaux du pays à dépasser la barre des 6% pour la première fois depuis début décembre.
Elle a églement cédé du terrain à la livre sterling et au yen, l'EUR/GBP glissant de 0.12% pour tomber à 0.8255 et l'EUR/JPY dérapant de 0.3% vers 105.36.
Le centre de recherches économiques ZEW fera quand à lui connaître dans la journée l'état de son baromètre du moral économique de l'Allemagne et de toute la région, laquelle divulguera quand à elle l'évolution officielle des prix à la consommation, tandis que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, prononcera un discours.
Les autorités américaines annonceront de leur côté le nombre des permis de construire qu'elles ont accordés, mais aussi les performances de la production industrielle.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1.3098 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.3099, perdant 0.33%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.2994, son plancher des deux derniers mois établi hier, et de rencontrer de la résistance à 1.314, son plafond d'aujourd'hui.
L'Espagne doit en effet proposer pour 3 milliards d'euros de bons du trésor à 12 et 18 mois dans l'après-midi, alors que la crainte que son gouvernement ne puisse tenir ses objectifs de réduction des déficits se faisait ne plus en plus pressante face à la récession qui menace.
La monnaie unique avait plongé hier vers un creux des deux derniers jours avec même une brève excursion sous la barre des 1.3, après que le coût des assurances contre un éventuel défaut de paiement des dettes espagnoles se soit élevé vers un nouveau sommet, poussant les taux des bons décennaux du pays à dépasser la barre des 6% pour la première fois depuis début décembre.
Elle a églement cédé du terrain à la livre sterling et au yen, l'EUR/GBP glissant de 0.12% pour tomber à 0.8255 et l'EUR/JPY dérapant de 0.3% vers 105.36.
Le centre de recherches économiques ZEW fera quand à lui connaître dans la journée l'état de son baromètre du moral économique de l'Allemagne et de toute la région, laquelle divulguera quand à elle l'évolution officielle des prix à la consommation, tandis que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, prononcera un discours.
Les autorités américaines annonceront de leur côté le nombre des permis de construire qu'elles ont accordés, mais aussi les performances de la production industrielle.