Investing.com - L'euro est retombé de son piédestal face au dollar U.S. ce jeudi matin, en raison de résultats décevants de la part des usines où elle il a cours, laissant craindre une persistance d'un manque de vigueur économique.
La paire EUR/USD est retombée depuis 1,3821, son cours le plus élevé depuis novembre 2011, jusqu'à 1,3787 en première partie de séance européenne, frémissant cependant toujours de 0,08%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3740, son plancher précédent, et de rencontrer de la résistance à 1,3850, son plafond psychologique suivant.
Le groupe de recherches économiques Markit avait auparavant fait savoir que l'évaluation préliminaire de l'indice des directeurs des achats du secteur secondaire du bloc ayant adopté la monnaie unique avait patiné depuis les 51,1 définitifs de septembre vers 51,3, au lieu d'atteindre les 50,4 qui semblaient probables.
Son équivalent tertiaire a suivi un chemin inverse, depuis les 52,2 précédents vers 50,9.
L'équivalent allemand du premier s'est par contre sans surprise amélioré depuis 51,1 vers 51,5 dans le même temps, mais celui du second a cependant subi déconvenue des 53,7 de septembre jusqu'à 52,3, sa plus faible valeur en trois mois.
Ceux de la France ont aussi constitué de mauvaises surprises.
L'unité monétaire européenne s'était hissée vers un nouveau sommet de 23 mois face au billet vert à l'aube, dans le sillage de la lpus rapide augmentation de l'activité des industries chinoises en sept mois.
Cette belle performance allait à l'encontre du spectre planant sur l'économie de la Chine, au lendemain du frisson ayant parcouru les marchés suite aux rumeurs selon lesquelles sa banque centrale durcirait sa politique monétaire afin de juguler l'inflation.
Le billet vert demeurait sur la sellette dans le sillage de la déception pour septembre causée en début de semaine par marché de l'emploi où il a cours, renforçant les probabilités que la Réserve Fédérale repousse la fermeture du robinet de ses injections de liquidités jusqu'à ce que l'année prochaine soit bien avancée.
La devise de l'Europe a par ailleurs cédé du terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0,12% pour glisser à 0,8511, et a à peine fait mieux que résister au yen, l'EUR/JPY grignotant 0,01% pour se hisser à 134,21, après avoir culminé à 134,76.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté rendre aujourd'hui leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage, le solde de leur commerce extérieur ainsi que le volume des ventes de logements neufs.
La paire EUR/USD est retombée depuis 1,3821, son cours le plus élevé depuis novembre 2011, jusqu'à 1,3787 en première partie de séance européenne, frémissant cependant toujours de 0,08%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3740, son plancher précédent, et de rencontrer de la résistance à 1,3850, son plafond psychologique suivant.
Le groupe de recherches économiques Markit avait auparavant fait savoir que l'évaluation préliminaire de l'indice des directeurs des achats du secteur secondaire du bloc ayant adopté la monnaie unique avait patiné depuis les 51,1 définitifs de septembre vers 51,3, au lieu d'atteindre les 50,4 qui semblaient probables.
Son équivalent tertiaire a suivi un chemin inverse, depuis les 52,2 précédents vers 50,9.
L'équivalent allemand du premier s'est par contre sans surprise amélioré depuis 51,1 vers 51,5 dans le même temps, mais celui du second a cependant subi déconvenue des 53,7 de septembre jusqu'à 52,3, sa plus faible valeur en trois mois.
Ceux de la France ont aussi constitué de mauvaises surprises.
L'unité monétaire européenne s'était hissée vers un nouveau sommet de 23 mois face au billet vert à l'aube, dans le sillage de la lpus rapide augmentation de l'activité des industries chinoises en sept mois.
Cette belle performance allait à l'encontre du spectre planant sur l'économie de la Chine, au lendemain du frisson ayant parcouru les marchés suite aux rumeurs selon lesquelles sa banque centrale durcirait sa politique monétaire afin de juguler l'inflation.
Le billet vert demeurait sur la sellette dans le sillage de la déception pour septembre causée en début de semaine par marché de l'emploi où il a cours, renforçant les probabilités que la Réserve Fédérale repousse la fermeture du robinet de ses injections de liquidités jusqu'à ce que l'année prochaine soit bien avancée.
La devise de l'Europe a par ailleurs cédé du terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0,12% pour glisser à 0,8511, et a à peine fait mieux que résister au yen, l'EUR/JPY grignotant 0,01% pour se hisser à 134,21, après avoir culminé à 134,76.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté rendre aujourd'hui leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage, le solde de leur commerce extérieur ainsi que le volume des ventes de logements neufs.