Investing.com - L'euro a fait bonne figure face à la livre sterling ce lundi, les rumeurs d'une éventuelle mise en place par la Banque d'Angleterre de nouveaux assouplissements monétaires afin de soutenir une économie chancelante nuisant à cette dernière.
La paire EUR/GBP est montée jusqu'à 0.8634 en début de seconde partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 0.8706, prenant 0.2%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.8562, son plancher des trois dernière semaines datant d'aujourd'hui, et de rencontrer de la résistance à 0.8636, son plafond suivant.
La livre sterling avait auparavant subi une forte plongée à l'ouverture, établissant son pire niveau journalier en raison d'une transaction informatique erronée, puis a rattrapé une partie de ses pertes sans toutefois réussir à inverser la tendance.
L'étude soulignant que l'activité manufacturière du Royaume-Uni s'était extirpée en septembre d'une ornière des 26 derniers mois n'a eu aucune incidence notable sur elle.
Dans son rapport, l'institut de recherches économiques Markit a fait savoir que son indice des directeurs des achats du domaine manufacturier était effectivement remonté à 51.1 ajustés pour le mois, après avoir décliné vers 49.4 révisés à la hausse lors du précédent, dépassant largement les 48.5 prévus et les 50 délimitant la progression du recul.
Il fallait toutefois tempérer toute euphorie, la croissance restant au-dessous des niveaux observés en début d'année, la contribution du secteur manufacturier à la relance générale ayant toutes les chances de demeurer "modeste, au mieux" pour le restant de l'année.
La monnaie de la Grande-Bretagne demeurait malmenée par la crainte de l'éventuelle reprise par la banque centrale du pays de son programme d'achats d'actifs, après qu'une série de résultats médiocres ait alimenté la peur d'une perte de vitesse de l'économie nationale.
L'angoisse d'une aggravation de la crise de la dette souveraine de la zone euro n'a pas contribué à rassurer les acteurs des marchés.
La devise britannique a par ailleurs cédé du terrain au dollar U.S. avec un couple GBP/USD glissant de 0.39% pour tomber à 1.5524.
L'institut américain de gestion des approvisionnements devrait quand à lui communiquer dans la journée ses informations concernant l'activité manufacturière.
La paire EUR/GBP est montée jusqu'à 0.8634 en début de seconde partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 0.8706, prenant 0.2%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.8562, son plancher des trois dernière semaines datant d'aujourd'hui, et de rencontrer de la résistance à 0.8636, son plafond suivant.
La livre sterling avait auparavant subi une forte plongée à l'ouverture, établissant son pire niveau journalier en raison d'une transaction informatique erronée, puis a rattrapé une partie de ses pertes sans toutefois réussir à inverser la tendance.
L'étude soulignant que l'activité manufacturière du Royaume-Uni s'était extirpée en septembre d'une ornière des 26 derniers mois n'a eu aucune incidence notable sur elle.
Dans son rapport, l'institut de recherches économiques Markit a fait savoir que son indice des directeurs des achats du domaine manufacturier était effectivement remonté à 51.1 ajustés pour le mois, après avoir décliné vers 49.4 révisés à la hausse lors du précédent, dépassant largement les 48.5 prévus et les 50 délimitant la progression du recul.
Il fallait toutefois tempérer toute euphorie, la croissance restant au-dessous des niveaux observés en début d'année, la contribution du secteur manufacturier à la relance générale ayant toutes les chances de demeurer "modeste, au mieux" pour le restant de l'année.
La monnaie de la Grande-Bretagne demeurait malmenée par la crainte de l'éventuelle reprise par la banque centrale du pays de son programme d'achats d'actifs, après qu'une série de résultats médiocres ait alimenté la peur d'une perte de vitesse de l'économie nationale.
L'angoisse d'une aggravation de la crise de la dette souveraine de la zone euro n'a pas contribué à rassurer les acteurs des marchés.
La devise britannique a par ailleurs cédé du terrain au dollar U.S. avec un couple GBP/USD glissant de 0.39% pour tomber à 1.5524.
L'institut américain de gestion des approvisionnements devrait quand à lui communiquer dans la journée ses informations concernant l'activité manufacturière.