Investing.com - Les options sur le brut étaient en nette baisse en fin de semaine, rabotant leurs gains hebdomadaires après qu'une étude montrant que l'économie des Etats-Unis n'avait créé aucun emploi en août ait alimenté les craintes concernant les besoins futurs du premier consommateur mondial.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour octobre se sont échangés à 86.58 USD le baril à la clôture des échanges de vendredi, gagnant 1.38% pour leur seconde semaine positive d'affilée.
Ils avaient auparavant touché le fond à 85.44 USD, leur cours le plus bas depuis le 29 août, avec 3.6% de fléchissement.
Le département d'état au travail avait auparavant avoué que le nombre des postes hors agriculture n'avait pas évolué le mois dernier, la plus faible performance depuis septembre 2010, et ce alors que les experts s'étaient attendus à le voir engranger 74 000 travailleurs supplémentaires.
Il avait pourtant augmenté de 85 000 unités après révision en juillet après révision en forte baisse des 117 000 préalablement estimés, tandis que le taux de chômage restait stable à 9.1%.
Ces mauvais résultats ont pourtant renforcé la devise américaine face à ses plus grosses concurrentes, l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, gagnant 0.35% de son côté pour se situer à 74.85, son plus haut niveau depuis le 12 août.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à descendre quand ce dernier monte, les rendant plus coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Les cours ont également bénéficié de l'attention portée par les investisseurs à l'évolation de la tempête tropicale Lee et à son impact sur l'activité pétrolière dans le Golfe du Mexique, après que le centre national d'étude des ouragans ait prédit qu'elle toucherait la côte de la Louisiane ce dimanche.
Le bureau de gestion de l'énergie maritime a déclaré vendredi que près de 5.7% de la production régionale avait été mise en veille, alors que les compagnies telles que British Petroleum et Exxon évacuaient leur personnel des plateformes de la zone.
Elles ont donc bondi jeudi vers un pic des deux dernières semaines à 89.88 USD du baril, sur fond de peur de perturbations des fournitures, alors que l'institut de gestion des approvisionnements déclarait que son indice des directeurs des achats avait moins fléchi en août qu'il n'avait été craint.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour octobre ont quand à elles gagné 1.4% pour grimper à 112.58 USD du baril dans le même temps, soit 26 USD de mieux que leurs homologues américaines, se raprochant de leur écart record à 26.42 USD du 19 août.
Les échanges NYMEX seront inexistants ce lundi, en raison de la fête du travail américaine.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour octobre se sont échangés à 86.58 USD le baril à la clôture des échanges de vendredi, gagnant 1.38% pour leur seconde semaine positive d'affilée.
Ils avaient auparavant touché le fond à 85.44 USD, leur cours le plus bas depuis le 29 août, avec 3.6% de fléchissement.
Le département d'état au travail avait auparavant avoué que le nombre des postes hors agriculture n'avait pas évolué le mois dernier, la plus faible performance depuis septembre 2010, et ce alors que les experts s'étaient attendus à le voir engranger 74 000 travailleurs supplémentaires.
Il avait pourtant augmenté de 85 000 unités après révision en juillet après révision en forte baisse des 117 000 préalablement estimés, tandis que le taux de chômage restait stable à 9.1%.
Ces mauvais résultats ont pourtant renforcé la devise américaine face à ses plus grosses concurrentes, l'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, gagnant 0.35% de son côté pour se situer à 74.85, son plus haut niveau depuis le 12 août.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à descendre quand ce dernier monte, les rendant plus coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Les cours ont également bénéficié de l'attention portée par les investisseurs à l'évolation de la tempête tropicale Lee et à son impact sur l'activité pétrolière dans le Golfe du Mexique, après que le centre national d'étude des ouragans ait prédit qu'elle toucherait la côte de la Louisiane ce dimanche.
Le bureau de gestion de l'énergie maritime a déclaré vendredi que près de 5.7% de la production régionale avait été mise en veille, alors que les compagnies telles que British Petroleum et Exxon évacuaient leur personnel des plateformes de la zone.
Elles ont donc bondi jeudi vers un pic des deux dernières semaines à 89.88 USD du baril, sur fond de peur de perturbations des fournitures, alors que l'institut de gestion des approvisionnements déclarait que son indice des directeurs des achats avait moins fléchi en août qu'il n'avait été craint.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour octobre ont quand à elles gagné 1.4% pour grimper à 112.58 USD du baril dans le même temps, soit 26 USD de mieux que leurs homologues américaines, se raprochant de leur écart record à 26.42 USD du 19 août.
Les échanges NYMEX seront inexistants ce lundi, en raison de la fête du travail américaine.