Investing.com - Le nombre des personnes ayant déposé une demande d'allocations chômage aux Etats-Unis au cours de la semaine dernière a davantage diminué que prévu, confirmant d'après les chiffres officiels dévoilés ce jeudi la tendance positive du marché de l'emploi.
Dans son rapport, le département d'état au travail des Etats-Unis a en effet annoncé qu'il avait plongé de 14 000 unités pour en totaliser 351 000 après ajustement saisonnier pour la semaine achevée le 10 mars, alors que les experts s'étaient attendus à ne pas le voir progresser de plus de 9 000 pour se situer à 356 000 sur la période considérée.
L'estimation préliminaire à 362 000 de la précédente a toutefois dû être révisée à la hausse, vers 365 000.
Il s'est encore maintenu sous les 400 000, performance historiquement liée à des améliorations sur le marché du travail, au cours de dix-huit des vingt dernières semaines.
Il s'agissait tout de même de la première série de trois semaines de gonflement consécutives depuis août 2010.
Le document précisait également que le total des allocataires avait aussi diminué plus fortement qu'espéré pour la semaine ayant pris fin le 3 mars, se retrouvant à 3.343 millions, tandis que les spécialistes pensaient ne le voir se réduire que jusqu'à 3.405 millions.
Son évaluation préalable à 3.402 millions pour la semaine précédente a quand à elle dû être revue vers le haut à 3.406 millions.
La moyenne mensuelle des nouvelles inscriptions, indicateur considéré comme moins chaotique que le chiffre hebdomadaire grâce au lissage des extrêmes, est quand à elle demeurée stable à 355 750.
Le dollar U.S. perdait cependant toujours du terrain sur l'euro malgré la diffusion de la nouvelle, l'EUR/USD arrachant 0.15% pour se hisser à 1.3051.
Les perspectives des marchés américains restaient pas contre plutôt optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.25%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.3% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.3% également.
Dans son rapport, le département d'état au travail des Etats-Unis a en effet annoncé qu'il avait plongé de 14 000 unités pour en totaliser 351 000 après ajustement saisonnier pour la semaine achevée le 10 mars, alors que les experts s'étaient attendus à ne pas le voir progresser de plus de 9 000 pour se situer à 356 000 sur la période considérée.
L'estimation préliminaire à 362 000 de la précédente a toutefois dû être révisée à la hausse, vers 365 000.
Il s'est encore maintenu sous les 400 000, performance historiquement liée à des améliorations sur le marché du travail, au cours de dix-huit des vingt dernières semaines.
Il s'agissait tout de même de la première série de trois semaines de gonflement consécutives depuis août 2010.
Le document précisait également que le total des allocataires avait aussi diminué plus fortement qu'espéré pour la semaine ayant pris fin le 3 mars, se retrouvant à 3.343 millions, tandis que les spécialistes pensaient ne le voir se réduire que jusqu'à 3.405 millions.
Son évaluation préalable à 3.402 millions pour la semaine précédente a quand à elle dû être revue vers le haut à 3.406 millions.
La moyenne mensuelle des nouvelles inscriptions, indicateur considéré comme moins chaotique que le chiffre hebdomadaire grâce au lissage des extrêmes, est quand à elle demeurée stable à 355 750.
Le dollar U.S. perdait cependant toujours du terrain sur l'euro malgré la diffusion de la nouvelle, l'EUR/USD arrachant 0.15% pour se hisser à 1.3051.
Les perspectives des marchés américains restaient pas contre plutôt optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.25%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.3% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.3% également.