Investing.com - La Bourse de Paris était avançait légèrement de 0,10% à mi-séance mercredi, alors que les craintes au sujet du système bancaire espagnol tendaient à reprendre le devant de la scène, à quelques heures de la publication d’un nouvel indicateur américain.
Les investisseurs restaient prudents alors que le gouvernement espagnol de Mariano Rajoy se préparait à présenter cette semaine un nouveau budget incluant pour environ 20 milliards d'euros d'économies.
Par ailleurs, la publication des commandes de biens durables pour février aux Etats-Unis devait permettre au marché de mieux mesurer l’ampleur de la reprise économique américaine.
Plus tôt dans la journée, le sentiment s’était légèrement amélioré suite aux déclarations du Premier ministre italien Mario Monti selon lequel la crise de la zone euro touche ‘à sa fin’.
Sur le front macroéconomique, la croissance du PIB de la France a été confirmée à 0,2% au quatrième trimestre et à 1,7% sur l'ensemble de 2011. La variation du deuxième trimestre a été révisée de -0,1% à 0%, tandis que celle du troisième trimestre a été confirmée à 0,3%, selon les données définitives publiées par l'Insee.
Total affichait l’une des plus grandes pertes de l’indice parisien mardi. A mi-séance, le titre abandonnait 1,22%, pénalisé par les déboires du groupe sur sa plate-forme Elgin en mer du Nord.
Mardi, le nuage de gaz explosif provenant de la fuite de la plate-forme Elgin a obligé Shell et BP à évacuer les personnels des plates-formes voisines et contraint les autorités écossaises à fermer leurs côtes.
Les valeurs financières étaient par ailleurs affectées par les nouvelles tensions entourant la crise de la dette dans la zone euro. Société Générale abandonnait 2,17% et Crédit Agricole 1,64%, tandis que BNP Paribas perdait 0,90%.
BNP Paribas annonçait plus tôt qu’elle estime avoir déjà réalisé 70% de son programme de réduction de bilan après avoir cédé depuis le début de l'année une activité de prêts et une participation de 28,7% dans la foncière Klépierre.
ArcelorMittal reculait également 0,31% alors que le groupe a cédé 134,3 millions d'actions d'Erdemir, le numéro un de la sidérurgie en Turquie, et autant de bons de souscriptions, dans le cadre de son plan de désendettement et de désengagement des activités non stratégiques.
A l’inverse, Peugeot s’appréciait de 1,43% à mi-séance. Le groupe a annoncé que son augmentation de capital avait rencontré une forte demande, représentant 1,78 fois l'offre. Son concurrent Renault, en revanche, a cédé 0,78%.
Enfin, Danone a grimpé de 1,32% après qu’UBS a intégré le titre à sa liste de valeurs préférées dans le secteur alimentaire.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 cédait 0,03%, le DAX grappillait 0,06% et le Footsie 100 perdait 0,03%.
Les investisseurs restaient prudents alors que le gouvernement espagnol de Mariano Rajoy se préparait à présenter cette semaine un nouveau budget incluant pour environ 20 milliards d'euros d'économies.
Par ailleurs, la publication des commandes de biens durables pour février aux Etats-Unis devait permettre au marché de mieux mesurer l’ampleur de la reprise économique américaine.
Plus tôt dans la journée, le sentiment s’était légèrement amélioré suite aux déclarations du Premier ministre italien Mario Monti selon lequel la crise de la zone euro touche ‘à sa fin’.
Sur le front macroéconomique, la croissance du PIB de la France a été confirmée à 0,2% au quatrième trimestre et à 1,7% sur l'ensemble de 2011. La variation du deuxième trimestre a été révisée de -0,1% à 0%, tandis que celle du troisième trimestre a été confirmée à 0,3%, selon les données définitives publiées par l'Insee.
Total affichait l’une des plus grandes pertes de l’indice parisien mardi. A mi-séance, le titre abandonnait 1,22%, pénalisé par les déboires du groupe sur sa plate-forme Elgin en mer du Nord.
Mardi, le nuage de gaz explosif provenant de la fuite de la plate-forme Elgin a obligé Shell et BP à évacuer les personnels des plates-formes voisines et contraint les autorités écossaises à fermer leurs côtes.
Les valeurs financières étaient par ailleurs affectées par les nouvelles tensions entourant la crise de la dette dans la zone euro. Société Générale abandonnait 2,17% et Crédit Agricole 1,64%, tandis que BNP Paribas perdait 0,90%.
BNP Paribas annonçait plus tôt qu’elle estime avoir déjà réalisé 70% de son programme de réduction de bilan après avoir cédé depuis le début de l'année une activité de prêts et une participation de 28,7% dans la foncière Klépierre.
ArcelorMittal reculait également 0,31% alors que le groupe a cédé 134,3 millions d'actions d'Erdemir, le numéro un de la sidérurgie en Turquie, et autant de bons de souscriptions, dans le cadre de son plan de désendettement et de désengagement des activités non stratégiques.
A l’inverse, Peugeot s’appréciait de 1,43% à mi-séance. Le groupe a annoncé que son augmentation de capital avait rencontré une forte demande, représentant 1,78 fois l'offre. Son concurrent Renault, en revanche, a cédé 0,78%.
Enfin, Danone a grimpé de 1,32% après qu’UBS a intégré le titre à sa liste de valeurs préférées dans le secteur alimentaire.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 cédait 0,03%, le DAX grappillait 0,06% et le Footsie 100 perdait 0,03%.