Investing.com - La livre sterling a légèrement pris le dessus contre le dollar U.S. ce mardi, tiréee vers le haut par les bruits selon lesquels la Chine pourrait mettre en place des mesures pour encourager la croissance, mais son avancée demeurait limitée par les craintes découlant de la hausse des coûts des emprunts espagnols.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1.5716 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.5696, grignotant 0.1%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5629, son plancher de deux mois et demi datant de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 1.577, son plafond du 23 mai.
Le moral s'est en effet trouvé ragaillardi par les rumeurs de nouveau programme de stimulation de la seconde économie du monde, qui semble donner des signes de ralentissement.
Mais la prudence restait de mise au regard de la situation espagnole, où l'augmentation des taux des bons du trésor, ainsi que des capitaux dévolus aux sauvetages de banques, pesant sur une économie durement touchée par la récession, ont contribué à faire redouter un recours à un programme de secours international.
Les dividendes des obligations décennales espagnoles sont par contre retombés à 6.44% aujourd'hui après avoir dépassé 6.5% hier, atteignant leur niveau le plus élevé de cette année, après que Madrid ait annoncé son intention de renflouer Bankia, un des plus gros établissements financiers du pays.
La devise de la Grande-Bretagne n'a par ailleurs guère cédé de terrain à l'euro, l'EUR/GBP arrachant 0.03% pour se hisser à 0.7999.
Les Etats-Unis devraient pour leur part révéler aujourd'hui l'évolution des prix de leur immobilier, et leur baromètre de la confiance des consommateurs.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1.5716 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.5696, grignotant 0.1%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5629, son plancher de deux mois et demi datant de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 1.577, son plafond du 23 mai.
Le moral s'est en effet trouvé ragaillardi par les rumeurs de nouveau programme de stimulation de la seconde économie du monde, qui semble donner des signes de ralentissement.
Mais la prudence restait de mise au regard de la situation espagnole, où l'augmentation des taux des bons du trésor, ainsi que des capitaux dévolus aux sauvetages de banques, pesant sur une économie durement touchée par la récession, ont contribué à faire redouter un recours à un programme de secours international.
Les dividendes des obligations décennales espagnoles sont par contre retombés à 6.44% aujourd'hui après avoir dépassé 6.5% hier, atteignant leur niveau le plus élevé de cette année, après que Madrid ait annoncé son intention de renflouer Bankia, un des plus gros établissements financiers du pays.
La devise de la Grande-Bretagne n'a par ailleurs guère cédé de terrain à l'euro, l'EUR/GBP arrachant 0.03% pour se hisser à 0.7999.
Les Etats-Unis devraient pour leur part révéler aujourd'hui l'évolution des prix de leur immobilier, et leur baromètre de la confiance des consommateurs.