Investing.com - Le dollar U.S. a patiné face à la plupart de ses concurrents, notamment l'euro et le yen, ce lundi, sur fond de régression économique japonaise à l'orée de la réunion des ministres des finances de la zone euro.
En première partie de séance européenne, l'euro fléchissait devant lui vers un creux de deux mois, l'EUR/USD commettant un faux pas de 0.01% pour reprendre pied à 1.2708.
L'atmosphère s'était pourtant légèrement éclaircie après que les représentants grecs aient donné leur feu vert à une combinaison de coupes dans les dépenses et d'augmentation d'impôts pour l'année prochaine, juste après que les députés aient voté d'une courte tête en faveur d'un programme de rigueur se montant à 13.5 milliards d'euros destiné à lui permettre l'attribution de la prochaine tranche d'aides.
Les membres de l'Eurogroupe se rencontreront aujourd'hui à Bruxelles afin d'évoquer cette hypothèse.
Sans l'envoi d'une bouée de sauvetage, Athènes risque le défaut de paiement le 16 novembre, avec 5 milliards d'euros à rembourser.
Mais l'angoisse du mur fiscal américain continuait cependant à encourager la popularité du billet vert.
Celui-ci a également gagné quelques pouces de terrain sur la livre sterling, le GBP/USD laissant échapper 0.05% pour descendre à 1.5887.
Il a d'autre part subi la pression du yen et la résistance du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.01% pour se retrouver à 79.46 et l'USD/CHF restant stable à 0.9486.
Il n'avait guère varié après qu'il ait été révélé en début de matinée que le produit intérieur brut nippon avait dérapé de 0.9% au troisième trimestre, pour s'effondrer de 3.5% d'une année sur l'autre, sur fond d'affaiblissement de la demande de la part de l'étranger, de la consommation et des investissements de la part des entreprises.
Il avait cependant été souligné en fin de semaine que les ventes de la Chine à destination de l'extérieur s'étaient envolées de 11.6% à l'année en octobre, l'excédent du commerce extérieur national grimpant à son plus haut niveau en près de quatre ans.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.22% pour aller vers 0.9992, l'AUD/USD raflant 0.42% pour monter à 1.0428 et le NZD/USD engrangeant 0.3% pour culminer à 0.8168.
Les autorités d'Australie avaient fait savoir à l'aube que les demandes de prêts immobiliers avaient moins augmenté en septembre qu'envisagé, avec seulement 0.9% au lieu de 1%.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.01% pour se situer à 81.14.
Angela Merkel, la chancelière allemande, comptait de son côté se rendre à Lisbonne afin de procéder à des pourparlers avec les dirigeants politiques portugais, sur fond d'hostilité du public envers les sabrages dans les budgets.
En première partie de séance européenne, l'euro fléchissait devant lui vers un creux de deux mois, l'EUR/USD commettant un faux pas de 0.01% pour reprendre pied à 1.2708.
L'atmosphère s'était pourtant légèrement éclaircie après que les représentants grecs aient donné leur feu vert à une combinaison de coupes dans les dépenses et d'augmentation d'impôts pour l'année prochaine, juste après que les députés aient voté d'une courte tête en faveur d'un programme de rigueur se montant à 13.5 milliards d'euros destiné à lui permettre l'attribution de la prochaine tranche d'aides.
Les membres de l'Eurogroupe se rencontreront aujourd'hui à Bruxelles afin d'évoquer cette hypothèse.
Sans l'envoi d'une bouée de sauvetage, Athènes risque le défaut de paiement le 16 novembre, avec 5 milliards d'euros à rembourser.
Mais l'angoisse du mur fiscal américain continuait cependant à encourager la popularité du billet vert.
Celui-ci a également gagné quelques pouces de terrain sur la livre sterling, le GBP/USD laissant échapper 0.05% pour descendre à 1.5887.
Il a d'autre part subi la pression du yen et la résistance du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.01% pour se retrouver à 79.46 et l'USD/CHF restant stable à 0.9486.
Il n'avait guère varié après qu'il ait été révélé en début de matinée que le produit intérieur brut nippon avait dérapé de 0.9% au troisième trimestre, pour s'effondrer de 3.5% d'une année sur l'autre, sur fond d'affaiblissement de la demande de la part de l'étranger, de la consommation et des investissements de la part des entreprises.
Il avait cependant été souligné en fin de semaine que les ventes de la Chine à destination de l'extérieur s'étaient envolées de 11.6% à l'année en octobre, l'excédent du commerce extérieur national grimpant à son plus haut niveau en près de quatre ans.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.22% pour aller vers 0.9992, l'AUD/USD raflant 0.42% pour monter à 1.0428 et le NZD/USD engrangeant 0.3% pour culminer à 0.8168.
Les autorités d'Australie avaient fait savoir à l'aube que les demandes de prêts immobiliers avaient moins augmenté en septembre qu'envisagé, avec seulement 0.9% au lieu de 1%.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.01% pour se situer à 81.14.
Angela Merkel, la chancelière allemande, comptait de son côté se rendre à Lisbonne afin de procéder à des pourparlers avec les dirigeants politiques portugais, sur fond d'hostilité du public envers les sabrages dans les budgets.