Investing.com - Les bourses européennes étaient en progression mitigée ce mercredi, alors que les investisseurs guettaient un discours de Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ainsi que le communiqué sur les taux de la Réserve Fédérale, attendu dans l'après-midi, sur fond de persistances des craintes liées à la crise du surendettement grec.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.15%, le CAC 40 français grignoté 0.04%, et le DAX 30 allemand 0.25%.
L'angoisse d'un défaut de paiement de la Grèce demeurait palpable, les négociations avec les ministres des finances de la zone euro pour restructurer sa dette souveraine ayant capoté hier.
Un responsable grec a toutefois déclaré que le pays avait le soutien de la région pour mener à bien les débats visant un éventuel échange de ses obligations dans les "prochains jours". Christine Lagarde, directrice du Fonds Monétaire International, a pour sa part affirmé garder l'espoir qu'un consensus puisse être dégagé.
Le prêteur italien Unicredit se trouvait au tableau d'honneur avec un bond de 4.48%, suivi par son compatriote Intesa Sanpaolo avec 1.86%.
La Deutsche Bank allemande a aussi engrangé 1.09%, tandis que les français Société Générale et BNP Paribas laissaient échapper respectivement 0.05 et 0.2%.
SAP AG, premier fournisseur de logiciels de gestion d'entreprise, a pour sa part pongé de 0.52% malgré des prévisions montrant une explosion de 11% de ses bénéfices opérationnels pour cette année grâce à la demande pour Hana, son logiciel d'analyse en temps réel et ses applications pour téléphones mobiles.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a arraché 0.05% de son côté, soutenu par des miniers en forme.
Rio Tinto était en tête avec 1.35%, et BHP Billiton avec 0.79%.
Les cuivriers Xstrata et Kazakhmys n'étaient pas en reste avec 1.02 et 1.63%.
La City était moins tranchée, Lloyds Banking prenant 1.1% et Barclays 0.27%, tandis que HSBC Holdings et la Royal Bank of Scotland reculaient de 0.08 et 1.52%.
Les perspectives des marchés américains restaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.02%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.07% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.75%.
L'institut Ifo pour la recherche économique dévoilera dans la journée une étude sur le climat des affaires en Allemagne, tandis que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, prononcera un discours.
Les Etats-Unis feront quand à eux connaître les résultats des ventes de ventes de logements en cours, ainsi que leur inventaire officiel des réserves pétrolières, alors que la Fed dévoilera dans l'après-midi le taux qu'elle appliquera aux fonds fédéraux ainsi que son annonce sur le sujet.
Le Forum Economique Mondial entamera quand à lui sa réunion annuelle de cinq jours à Davos, en Suisse.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.15%, le CAC 40 français grignoté 0.04%, et le DAX 30 allemand 0.25%.
L'angoisse d'un défaut de paiement de la Grèce demeurait palpable, les négociations avec les ministres des finances de la zone euro pour restructurer sa dette souveraine ayant capoté hier.
Un responsable grec a toutefois déclaré que le pays avait le soutien de la région pour mener à bien les débats visant un éventuel échange de ses obligations dans les "prochains jours". Christine Lagarde, directrice du Fonds Monétaire International, a pour sa part affirmé garder l'espoir qu'un consensus puisse être dégagé.
Le prêteur italien Unicredit se trouvait au tableau d'honneur avec un bond de 4.48%, suivi par son compatriote Intesa Sanpaolo avec 1.86%.
La Deutsche Bank allemande a aussi engrangé 1.09%, tandis que les français Société Générale et BNP Paribas laissaient échapper respectivement 0.05 et 0.2%.
SAP AG, premier fournisseur de logiciels de gestion d'entreprise, a pour sa part pongé de 0.52% malgré des prévisions montrant une explosion de 11% de ses bénéfices opérationnels pour cette année grâce à la demande pour Hana, son logiciel d'analyse en temps réel et ses applications pour téléphones mobiles.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a arraché 0.05% de son côté, soutenu par des miniers en forme.
Rio Tinto était en tête avec 1.35%, et BHP Billiton avec 0.79%.
Les cuivriers Xstrata et Kazakhmys n'étaient pas en reste avec 1.02 et 1.63%.
La City était moins tranchée, Lloyds Banking prenant 1.1% et Barclays 0.27%, tandis que HSBC Holdings et la Royal Bank of Scotland reculaient de 0.08 et 1.52%.
Les perspectives des marchés américains restaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.02%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.07% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.75%.
L'institut Ifo pour la recherche économique dévoilera dans la journée une étude sur le climat des affaires en Allemagne, tandis que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, prononcera un discours.
Les Etats-Unis feront quand à eux connaître les résultats des ventes de ventes de logements en cours, ainsi que leur inventaire officiel des réserves pétrolières, alors que la Fed dévoilera dans l'après-midi le taux qu'elle appliquera aux fonds fédéraux ainsi que son annonce sur le sujet.
Le Forum Economique Mondial entamera quand à lui sa réunion annuelle de cinq jours à Davos, en Suisse.