Investing.com - L'inflation des prix à la consommation en Grande-Bretagne a dévantage augmenté en février que prévu, bondissant d'après les chiffres officiels dévoilés ce mardi à son plus haut niveau depuis octobre 2008.
Dans son rapport, le bureau national des statistiques a en effet montré que son taux d'augmentation des prix de vente au détail était de 4.4% ajustés saisonnièrement pour le mois, contre 4% lors du précédent.
Les experts s'étaient pourtant attendus à ne pas le voir dépasser les 4.2% pour la période considérée.
Ce taux s'est donc révélé dépasser le double des 2% visés par la Banque d'Angleterre, forçant son gouverneur à s'en justifier par lettre auprès du chancelier de l'échiquier, chargé des finances nationales, comme tous les trimestres lors desquels l'objectif a été raté de plus de 1%.
Le document précisait par ailleurs que les principaux facteurs ayant joué dans cette hausse étaient l'augmentation des dépenses de chauffage et surtout du gaz, sans oublier la flambée des cours du pétrole brut.
L'indice des prix au détail de base, excluant les coûts de la nourriture, de l'énergie, de l'alcool et du tabac a également dépassé les prévisions, prenant 3.4% sur la période considérée, prolongeant les 3% de janvier.
Suite à la diffusion de la nouvelle, la livre sterling a gagné du terrain sur le dollar U.S. avec un couple GBP/USD prenant 0.38% pour se hisser à 1.6371, son pic des 14 derniers mois.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la hausse, l'EURO STOXX 50 grimpant de 0.69%, le CAC 40 français de 0.5%, le DAX allemand de 0.1% et le FTSE 100 britannique arrachant 0.39%.
Dans son rapport, le bureau national des statistiques a en effet montré que son taux d'augmentation des prix de vente au détail était de 4.4% ajustés saisonnièrement pour le mois, contre 4% lors du précédent.
Les experts s'étaient pourtant attendus à ne pas le voir dépasser les 4.2% pour la période considérée.
Ce taux s'est donc révélé dépasser le double des 2% visés par la Banque d'Angleterre, forçant son gouverneur à s'en justifier par lettre auprès du chancelier de l'échiquier, chargé des finances nationales, comme tous les trimestres lors desquels l'objectif a été raté de plus de 1%.
Le document précisait par ailleurs que les principaux facteurs ayant joué dans cette hausse étaient l'augmentation des dépenses de chauffage et surtout du gaz, sans oublier la flambée des cours du pétrole brut.
L'indice des prix au détail de base, excluant les coûts de la nourriture, de l'énergie, de l'alcool et du tabac a également dépassé les prévisions, prenant 3.4% sur la période considérée, prolongeant les 3% de janvier.
Suite à la diffusion de la nouvelle, la livre sterling a gagné du terrain sur le dollar U.S. avec un couple GBP/USD prenant 0.38% pour se hisser à 1.6371, son pic des 14 derniers mois.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la hausse, l'EURO STOXX 50 grimpant de 0.69%, le CAC 40 français de 0.5%, le DAX allemand de 0.1% et le FTSE 100 britannique arrachant 0.39%.