Investing.com - Le dollar U.S. restait en berne face à la plupart de ses concurrents ce mardi, mais il a nettement redressé la barre contre ses homologues européen et japonais, grâce à la plus forte progression en un an des fournisseurs de services américains enregistrée en février.
En fin de seconde partie de séance européenne, il a oscillé entre légers gains et pertes minimes devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.01% pour grimper à 1.3027.
L'institut de gestion des approvisionnements a en effet annoncé que son indice des directeurs des achats non manufacturiers était passé de 55.2 à 56 pour le mois passé.
Une réduction à 55 avait pourtant été anticipée.
La monnaie unique avait repris des couleurs après qu'il ait été souligné que celui du secteur tertiaire allemand avait frémi depuis son évaluation préliminaire à 54.1 vers 54.7 pour le mois dernier, son équivalent français passant de 42.7 à 43.7.
Celui de l'ensemble de la région évoluait aussi positivement de 47.3 à 47.9.
Une étude officielle avait aussi fait savoir en fin de matinée que les ventes au détail de cette dernière avaient bondi de 1.2% en janvier, pulvérisant les 0.2% espérés.
Les nuages s'amoncelant au-dessus de la troisième économie du bloc ont du coup alimenté les rumeurs d'un rabaissement imminent des taux de la BCE.
Il en était de même avec le yen, l'USD/JPY ne dérapant que de 0.04% pour glisser à 93.32, demeurant soutenu par l'attente persistante d'assouplissements musclés de la part de la Banque du Japon.
Le billet vert a également cédé quelques pouces de terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.09% pour se hisser à 1.5125, après que le baromètre de l'activité des prestataires de services britanniques se soit amélioré en février au meilleur des cinq mois écoulés sans crier gare, apaisant quelque peu l'angoisse d'une récession à triple tranchant.
Il s'est ainsi élevé de 51.5 vers 51.8, alors qu'un faux pas à 51 était redouté.
Il a d'autre part ait mieux que résister à la pression du franc suisse, l'USD/CHF sursautant de 0.13% pour se rebiffer à 0.942.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas par la canadienne, l'USD/CAD progressant de 0.12% pour aller vers 1.0285, l'AUD/USD raflant 0.4% pour monter à 1.0235 et le NZD/USD laissant échapper 0.14% pour toucher le fond à 0.8287.
La Réserve Bancaire d'Australie avait annoncé à l'aube le maintien de son taux directeur à 3%, estimant sa position actuelle adaptée.
Une étude officielle avait auparavant signalé quee les ventes au détail du pays avaient gonflé de 0.9% en janvier, dépassant ainsi les 0.4% pressentis, après avoir laissé échapper 0.4% en décembre.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.04% pour se situer à 82.23.
En fin de seconde partie de séance européenne, il a oscillé entre légers gains et pertes minimes devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.01% pour grimper à 1.3027.
L'institut de gestion des approvisionnements a en effet annoncé que son indice des directeurs des achats non manufacturiers était passé de 55.2 à 56 pour le mois passé.
Une réduction à 55 avait pourtant été anticipée.
La monnaie unique avait repris des couleurs après qu'il ait été souligné que celui du secteur tertiaire allemand avait frémi depuis son évaluation préliminaire à 54.1 vers 54.7 pour le mois dernier, son équivalent français passant de 42.7 à 43.7.
Celui de l'ensemble de la région évoluait aussi positivement de 47.3 à 47.9.
Une étude officielle avait aussi fait savoir en fin de matinée que les ventes au détail de cette dernière avaient bondi de 1.2% en janvier, pulvérisant les 0.2% espérés.
Les nuages s'amoncelant au-dessus de la troisième économie du bloc ont du coup alimenté les rumeurs d'un rabaissement imminent des taux de la BCE.
Il en était de même avec le yen, l'USD/JPY ne dérapant que de 0.04% pour glisser à 93.32, demeurant soutenu par l'attente persistante d'assouplissements musclés de la part de la Banque du Japon.
Le billet vert a également cédé quelques pouces de terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.09% pour se hisser à 1.5125, après que le baromètre de l'activité des prestataires de services britanniques se soit amélioré en février au meilleur des cinq mois écoulés sans crier gare, apaisant quelque peu l'angoisse d'une récession à triple tranchant.
Il s'est ainsi élevé de 51.5 vers 51.8, alors qu'un faux pas à 51 était redouté.
Il a d'autre part ait mieux que résister à la pression du franc suisse, l'USD/CHF sursautant de 0.13% pour se rebiffer à 0.942.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas par la canadienne, l'USD/CAD progressant de 0.12% pour aller vers 1.0285, l'AUD/USD raflant 0.4% pour monter à 1.0235 et le NZD/USD laissant échapper 0.14% pour toucher le fond à 0.8287.
La Réserve Bancaire d'Australie avait annoncé à l'aube le maintien de son taux directeur à 3%, estimant sa position actuelle adaptée.
Une étude officielle avait auparavant signalé quee les ventes au détail du pays avaient gonflé de 0.9% en janvier, dépassant ainsi les 0.4% pressentis, après avoir laissé échapper 0.4% en décembre.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.04% pour se situer à 82.23.