Investing.com - Les options sur le brut ont reculé lors des échanges calmes de ce lundi matin, s'éloignant de son pic de quatre mois de la semaine passée, le spectre de chicaneries au sujet de l'augmentation du maximum de la dette des Etats-Unis nuisant toujours à la popularité des valeurs audacieuses.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mars se sont échangés à 95.56 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0.5%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 95.56 USD, leur cours le plus bas du jour, avec 0.6% de fléchissement, après avoir culminé à 96.48 USD le 17 janvier, leur valeur la plus élevée en quatre mois.
Les transactions devraient être rares aujourd'hui, la corbeille NYMEX demeurant close en raison du jour férié consacré à Martin Luther King Jr.
La situation américaine restait sur le devant de la scène, la nervosité étant de mise à l'approche des tractations politiques américaines visant à relever les 16.4 bilions d'USD du plafond d'endettement du pays, qui sera atteint le mois prochain.
Les élus républicains ont laissé entendre qu'ils accepteraient cette semaine le vote d'une extension de trois mois afin de laisser au congrès davantage de temps pour présenter son budget fédéral.
En cas d'échec, le premier défaut de paiement de l'histoire du pays pourrait avoir lieu, et ainsi ébranler les marchés financiers, et du coup nuire à la consommation pétrolière.
Le pays garde sa première part dans la demande mondiale, avec près de 22%.
La nervosité restait de mise alors que l'Eurogroupe s'apprêtait à aborder la façon dont le Mécanisme Européen de Stabilité, servant de fonds de secours régional permanent, pourra venir en aide aux banques.
Jean-Claude Juncker, son président sortant luxembourgeois, avait apporté vendredi son soutien à son homologue néerlandais Jeroen Dijsselbloem, l'estimant un "bon" candidat à son poste.
Ce remplacement sera surveillé de près, le poste jouant un rôle vital dans la réponse aux crises.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour mars ont laissé échapper 0.2% pour glisser à 111.69 USD du baril dans le même temps, soit 16.13 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mars se sont échangés à 95.56 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0.5%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 95.56 USD, leur cours le plus bas du jour, avec 0.6% de fléchissement, après avoir culminé à 96.48 USD le 17 janvier, leur valeur la plus élevée en quatre mois.
Les transactions devraient être rares aujourd'hui, la corbeille NYMEX demeurant close en raison du jour férié consacré à Martin Luther King Jr.
La situation américaine restait sur le devant de la scène, la nervosité étant de mise à l'approche des tractations politiques américaines visant à relever les 16.4 bilions d'USD du plafond d'endettement du pays, qui sera atteint le mois prochain.
Les élus républicains ont laissé entendre qu'ils accepteraient cette semaine le vote d'une extension de trois mois afin de laisser au congrès davantage de temps pour présenter son budget fédéral.
En cas d'échec, le premier défaut de paiement de l'histoire du pays pourrait avoir lieu, et ainsi ébranler les marchés financiers, et du coup nuire à la consommation pétrolière.
Le pays garde sa première part dans la demande mondiale, avec près de 22%.
La nervosité restait de mise alors que l'Eurogroupe s'apprêtait à aborder la façon dont le Mécanisme Européen de Stabilité, servant de fonds de secours régional permanent, pourra venir en aide aux banques.
Jean-Claude Juncker, son président sortant luxembourgeois, avait apporté vendredi son soutien à son homologue néerlandais Jeroen Dijsselbloem, l'estimant un "bon" candidat à son poste.
Ce remplacement sera surveillé de près, le poste jouant un rôle vital dans la réponse aux crises.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour mars ont laissé échapper 0.2% pour glisser à 111.69 USD du baril dans le même temps, soit 16.13 USD de mieux que leurs homologues américaines.