Investing.com - Les bourses européennes étaient nettement en forme ce mardi, le moral se trouvant encouragé par l'espoir de nouvelles mesures de renforcement de la croissance en Chine et dans la zone euro, maalgré le spectre d'une sortie grecque hors de cette dernière.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.9%, le CAC 40 français de 0.8%, et le DAX 30 allemand de 0.97%.
L'atmosphère s'est en effet éclaircie après que le China Securities Journal, organe de l'état chinois, ait affirmé que le pays comptait pousser la cadence du processus d'approbation des projets de grands travaux afin de soutenir la croissance économique.
La réunion des dirigeants de l'Union Européenne prévue demain était aussi au centre des débats, dans l'espoir que ceux-ci dégagent une position consensuelle pour renforcer la confiance des investisseurs dans la région.
François Hollande, le nouveau président français, devrait en effet être en faveur de la mise en place d'obligations conjointes, l'Italie, l'Espagne et la Commission Européenne abondant dans son sens, tandis que l'Allemagne y demeure opposée.
La finance se trouvait au tableau d'honneur, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit en tête, avec des bonds respectifs de 1.94 et 1.69%, le premier surfant toujours sur la vague des 22% d'explosions de ses bénéfices au premier reimestre annoncée la semaine dernière.
Du côté de Paris, la Société Générale et BNP Paribas se contentaient de 1.35 et 0.78%, tandis que la Commerzbank, seconde en Allemagne dans ce domaine, prenait 1.53%.
Les constructeurs automobiles ont eux aussi contribué au mouvement, Volkswagen accélérant de 2.51%, étant toujours en compétition avec le japonais Toyota Motor Corp. pour les parts de marché réduites mais en expansion des véhicules commerciaux légers d'Amérique du Sud.
Daimler n'était pas en reste, avec 1.77%, et BMW non plus, avec 2.09%, les français Renault et Peugeot engrangeant 2.5 et 1%.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.86%, tiré vers le haut par des miniers survoltés.
Rio Tinto s'est en effet envolé de 3.49% après avoir accepté hier de vendre sa branche de fabrication de fils et câbles à General Cable Corp. pour 185 millions d'USD de liquidités.
BHP Billiton l'a imité avec 2.81% et Anglo American avec 2.33%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys leur emboîtant le pas avec 2.74 et 2.81%.
La City ne dépareillait pas, la Royal Bank of Scotland raflant 3.08%, Lloyds Banking 2.88%, Barclays 1.28% et HSBC Holdings 0.79%.
Vodafone, géant des télécommunications, a grimpé de 1.55% après avoir enregistré des profits opérationnels annuels conformes aux prévisions des analystes.
Le founisseur Irlandais de matériaux de construction CHR Plc s'est pour sa part élevé de 2.53% après avoir vu sa notation revue à la hausse par le Crédit Suisse Group AG.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois seulement modérément optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.13%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.14% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.15%.
Les experts immobiliers américains comptent quand à eux dévoiler cet après-midi leurs chiffres des ventes de logements d'occasion.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.9%, le CAC 40 français de 0.8%, et le DAX 30 allemand de 0.97%.
L'atmosphère s'est en effet éclaircie après que le China Securities Journal, organe de l'état chinois, ait affirmé que le pays comptait pousser la cadence du processus d'approbation des projets de grands travaux afin de soutenir la croissance économique.
La réunion des dirigeants de l'Union Européenne prévue demain était aussi au centre des débats, dans l'espoir que ceux-ci dégagent une position consensuelle pour renforcer la confiance des investisseurs dans la région.
François Hollande, le nouveau président français, devrait en effet être en faveur de la mise en place d'obligations conjointes, l'Italie, l'Espagne et la Commission Européenne abondant dans son sens, tandis que l'Allemagne y demeure opposée.
La finance se trouvait au tableau d'honneur, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit en tête, avec des bonds respectifs de 1.94 et 1.69%, le premier surfant toujours sur la vague des 22% d'explosions de ses bénéfices au premier reimestre annoncée la semaine dernière.
Du côté de Paris, la Société Générale et BNP Paribas se contentaient de 1.35 et 0.78%, tandis que la Commerzbank, seconde en Allemagne dans ce domaine, prenait 1.53%.
Les constructeurs automobiles ont eux aussi contribué au mouvement, Volkswagen accélérant de 2.51%, étant toujours en compétition avec le japonais Toyota Motor Corp. pour les parts de marché réduites mais en expansion des véhicules commerciaux légers d'Amérique du Sud.
Daimler n'était pas en reste, avec 1.77%, et BMW non plus, avec 2.09%, les français Renault et Peugeot engrangeant 2.5 et 1%.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.86%, tiré vers le haut par des miniers survoltés.
Rio Tinto s'est en effet envolé de 3.49% après avoir accepté hier de vendre sa branche de fabrication de fils et câbles à General Cable Corp. pour 185 millions d'USD de liquidités.
BHP Billiton l'a imité avec 2.81% et Anglo American avec 2.33%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys leur emboîtant le pas avec 2.74 et 2.81%.
La City ne dépareillait pas, la Royal Bank of Scotland raflant 3.08%, Lloyds Banking 2.88%, Barclays 1.28% et HSBC Holdings 0.79%.
Vodafone, géant des télécommunications, a grimpé de 1.55% après avoir enregistré des profits opérationnels annuels conformes aux prévisions des analystes.
Le founisseur Irlandais de matériaux de construction CHR Plc s'est pour sa part élevé de 2.53% après avoir vu sa notation revue à la hausse par le Crédit Suisse Group AG.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois seulement modérément optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.13%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.14% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.15%.
Les experts immobiliers américains comptent quand à eux dévoiler cet après-midi leurs chiffres des ventes de logements d'occasion.