Investing.com - La livre sterling n'a presque pas fléchi face au dollar U.S. ce mardi après-midi, les yeux restant tournés vers la réunion du milieu de semaine de la Banque Centrale Européenne, tandis que les résultats économiques britanniques décevants nuisaient à la sa popularité.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.5869 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.5886, trébuchant de 0.02%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5801, son plancher du 29 août, et de rencontrer de la résistance à 1.597, son plafond du 17 avril.
La devise de la Grande-Bretagne s'est en effet retrouvée sur la sellette après qu'il ait été montré que l'activité dans la construction britannique avait diminué sans crier gare en août, les nouvelles commandes subissant leur plus forte baisse depuis avril 2009.
L'indice des directeurs des achats dans le domaine du bâtiment national a en effet plongé de 50.9 vers 49, alors que les experts redoutaient déjà de le voir descendre à 50 pour la période considérée.
Mais le moral avait été ragaillardi après que Mario Draghi, président de la BCE, ait révélé hier qu'il n'aurait pas de scrupules à acheter des obligations d'une durée pouvant aller jusqu'à trois ans, estimant qu'une telle action ne constituerait pas un financement des états émetteurs.
L'organisme devrait vraisemblablement préciser après son conseil d'orientation de jeudi les détails d'un plan d'acquisition de dettes très attendu, destiné à alléger le fardeau des membres surendettés de la zone euro.
Le billet vert restait quand à lui boudé après que Ben Bernanke ait déclaré que la Réserve Fédérale, dont il a la présidence, agirait de manière à renforcer la reprise économique américaine, sans toutefois aller jusqu'à laisser entendre qu'une nouvelle série d'injections de liquidités était sur le point d'avoir lieu.
La monnaie britannique a par ailleurs fait mieux que résister à l'euro, l'EUR/GBP laissant échapper 0.07% pour glisser à 0.792.
L'institut de gestion des approvisionnements comptait de son côté rendre dans l'après-midi son rapport sur l'indice des directeurs des achats du secteur secondaire des Etats-Unis.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.5869 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.5886, trébuchant de 0.02%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5801, son plancher du 29 août, et de rencontrer de la résistance à 1.597, son plafond du 17 avril.
La devise de la Grande-Bretagne s'est en effet retrouvée sur la sellette après qu'il ait été montré que l'activité dans la construction britannique avait diminué sans crier gare en août, les nouvelles commandes subissant leur plus forte baisse depuis avril 2009.
L'indice des directeurs des achats dans le domaine du bâtiment national a en effet plongé de 50.9 vers 49, alors que les experts redoutaient déjà de le voir descendre à 50 pour la période considérée.
Mais le moral avait été ragaillardi après que Mario Draghi, président de la BCE, ait révélé hier qu'il n'aurait pas de scrupules à acheter des obligations d'une durée pouvant aller jusqu'à trois ans, estimant qu'une telle action ne constituerait pas un financement des états émetteurs.
L'organisme devrait vraisemblablement préciser après son conseil d'orientation de jeudi les détails d'un plan d'acquisition de dettes très attendu, destiné à alléger le fardeau des membres surendettés de la zone euro.
Le billet vert restait quand à lui boudé après que Ben Bernanke ait déclaré que la Réserve Fédérale, dont il a la présidence, agirait de manière à renforcer la reprise économique américaine, sans toutefois aller jusqu'à laisser entendre qu'une nouvelle série d'injections de liquidités était sur le point d'avoir lieu.
La monnaie britannique a par ailleurs fait mieux que résister à l'euro, l'EUR/GBP laissant échapper 0.07% pour glisser à 0.792.
L'institut de gestion des approvisionnements comptait de son côté rendre dans l'après-midi son rapport sur l'indice des directeurs des achats du secteur secondaire des Etats-Unis.