Investing.com - La livre sterling a conservé sa maigre avance face au dollar U.S. ce mardi après-midi, la faiblesse des résultats économiques de la région où elle a cours ravivant les inquiétudes au sujet de ses perspectives économiques, tandis que les rumeurs sur la bouée de sauvetage espagnole persistaient.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1.617 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.6145, grignotant 0.09%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.6107, son plancher de douuze jours datant d'hier, et de rencontrer de la résistance à 1.6242, son plafond du 27 septembre.
L'atmosphère s'était alourdie après que l'agence de presse Reuters ait rapporté hier que Madrid était prête à demander un plan de secours complet dès la semaine prochaine, mais que l'Allemagne l'encouragerait à faire traîner les choses.
Les médias espagnols ont quand à eux révélé à la mi-journée que le premier ministre Mariano Rajoy avait déclaré aux membres de son parti qu'il ne solliciterait pas de coup de main extérieur dans les prochains jours.
Une étude a d'autre part révélé que l'activité dans le domaine du bâtiment britannique avait légèrement redressé la tête en septembre, tout en demeurant en territoire négatif pour le second mois d'affilée.
L'indice des directeurs des achats du secteur, établi conjointement par le groupe de recherches économiques Markit et l'institut agréé des achats et fournitures CIPS est en effet remonté depuis 49 vers 49.5, mais une poussée jusqu'à 49.8 avait cependant été espérée.
Le prêteur immobilier britannique Nationwide avait auparavant fait savoir que les coûts des logements dans le pays avaient fondu de 0.4% le mois dernier, se retrouvant du coup de 1.4% inférieurs à ce qu'ils étaient à la même période de l'année 2011.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs cédé du terrain à l'euro, l'EUR/GBP gagnant 0.26% pour se hisser à 0.801.
Il était aussi à noter que l'activité des usines du Royaume-Uni avait subi une contraction aggravée le mois passé, augmentant du même coup les chances pour que la Banque d'Angleterre prolonge ses injections de liquidités.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1.617 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.6145, grignotant 0.09%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.6107, son plancher de douuze jours datant d'hier, et de rencontrer de la résistance à 1.6242, son plafond du 27 septembre.
L'atmosphère s'était alourdie après que l'agence de presse Reuters ait rapporté hier que Madrid était prête à demander un plan de secours complet dès la semaine prochaine, mais que l'Allemagne l'encouragerait à faire traîner les choses.
Les médias espagnols ont quand à eux révélé à la mi-journée que le premier ministre Mariano Rajoy avait déclaré aux membres de son parti qu'il ne solliciterait pas de coup de main extérieur dans les prochains jours.
Une étude a d'autre part révélé que l'activité dans le domaine du bâtiment britannique avait légèrement redressé la tête en septembre, tout en demeurant en territoire négatif pour le second mois d'affilée.
L'indice des directeurs des achats du secteur, établi conjointement par le groupe de recherches économiques Markit et l'institut agréé des achats et fournitures CIPS est en effet remonté depuis 49 vers 49.5, mais une poussée jusqu'à 49.8 avait cependant été espérée.
Le prêteur immobilier britannique Nationwide avait auparavant fait savoir que les coûts des logements dans le pays avaient fondu de 0.4% le mois dernier, se retrouvant du coup de 1.4% inférieurs à ce qu'ils étaient à la même période de l'année 2011.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs cédé du terrain à l'euro, l'EUR/GBP gagnant 0.26% pour se hisser à 0.801.
Il était aussi à noter que l'activité des usines du Royaume-Uni avait subi une contraction aggravée le mois passé, augmentant du même coup les chances pour que la Banque d'Angleterre prolonge ses injections de liquidités.