Investing.com - Le dollar U.S. était en berne face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, tandis que l'euro profitait de résultats montrant pour mars une accélération de inattendue de l'inflation pour en zone euro, soutenant la thèse d'un durcissement de la politique monétaire.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.63% pour grimper à 1.4215.
L'agence Eurostat avait auparavant signalé s'attendre à ce que l'inflation des prix à la consommation en zone euro s'élève à 2.6%, après avoir déjà atteint les 2.4% en février.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.15% pour se hisser à 1.6098.
La Nationwide Building Society avait en effet auparavant indiqué dans son rapport que les prix des habitations de Grande Bretagne avaient augmenté en mars pour le second mois consécutif, et ce de manière surprenante, l'étude trimestrielle de la Banque d'Angleterre sur les conditions d'obtention des crédits a quand à elle montré que celles-ci devraient légèrement s'assouplir dans les trois mois à venir.
Il a d'autre part fait subir sa pression du yen mais pas au franc suisse, l'USD/JPY arrachant 0.03% pour se retrouver à 82.91 et l'USD/CHF glissant de 0.26% pour tomber à 0.9158.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.11% pour aller vers 0.9697, l'AUD/USD raflant 0.11% pour monter à 1.0338 et le NZD/USD grignotant 0.03% pour culminer à 0.7623.
Des chiffres officiels avaient montré ce matin que les ventes au détail australiennes avaient davantage progressé qu'espéré en février, mais que les nouveaux permis de construire avaient nettement diminué de leur côté.
La Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande a quand à elle indiqué dans étude que la confiance dans les affaires avait connu sa plus forte baisse mensuelle depuis l'existence de la mesure suite au tremblement de terre ayant ravagé le 22 février la ville de Christchurch.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.4%.
Les Etats-Unis devraient publier en cours de journée leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.63% pour grimper à 1.4215.
L'agence Eurostat avait auparavant signalé s'attendre à ce que l'inflation des prix à la consommation en zone euro s'élève à 2.6%, après avoir déjà atteint les 2.4% en février.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.15% pour se hisser à 1.6098.
La Nationwide Building Society avait en effet auparavant indiqué dans son rapport que les prix des habitations de Grande Bretagne avaient augmenté en mars pour le second mois consécutif, et ce de manière surprenante, l'étude trimestrielle de la Banque d'Angleterre sur les conditions d'obtention des crédits a quand à elle montré que celles-ci devraient légèrement s'assouplir dans les trois mois à venir.
Il a d'autre part fait subir sa pression du yen mais pas au franc suisse, l'USD/JPY arrachant 0.03% pour se retrouver à 82.91 et l'USD/CHF glissant de 0.26% pour tomber à 0.9158.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.11% pour aller vers 0.9697, l'AUD/USD raflant 0.11% pour monter à 1.0338 et le NZD/USD grignotant 0.03% pour culminer à 0.7623.
Des chiffres officiels avaient montré ce matin que les ventes au détail australiennes avaient davantage progressé qu'espéré en février, mais que les nouveaux permis de construire avaient nettement diminué de leur côté.
La Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande a quand à elle indiqué dans étude que la confiance dans les affaires avait connu sa plus forte baisse mensuelle depuis l'existence de la mesure suite au tremblement de terre ayant ravagé le 22 février la ville de Christchurch.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.4%.
Les Etats-Unis devraient publier en cours de journée leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.