Investing.com - L'euro a consolidé ses positions face au dollar U.S. ce jeudi matin, sur fond de nervosité avant la révélation des chiffres de la croissance du bloc où il a cours, tandis que le procès-verbal de la plus récente prise de cap de la banque centrale américaine tendait vers davantage d'accommodements pour l'avenir.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1.2753 en début de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.274, grignotant 0.04%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.2662, son plancher du 13 novembre, et de rencontrer de la résistance à 1.2827, son plafond du 6.
Mais la monnaie unique demeurait sur la sellette, les craintes concernant les perspectives de la région ayant été ramenées au premier plan par des chiffres officiels indiquant hier que sa production industrielle avait fondu de 2.5% en septembre, au lieu des 1.9% déjà redoutés.
Des évaluations préliminaires avaient toutefois signalé auparavant que le produit intérieur brut de la France aurait arraché 0.2% au troisième trimestre, alors qu'une stagnation était redoutée, après avoir reculé de 0.1% lors du second.
La Réserve Fédérale a quand à elle fait savoir dans le compte-rendu de sa réunion d'octobre qu'elle pourrait devoir augmenter le volume de ses achats d'actifs mensuels l'année prochaine, une fois achevée l'Opération Twist, destinée à reporter les échéances de ceux qu'elle détient.
Ses décideurs semblent aussi convaincus que l'économie a encore besoin de stimulations d'une ampleur jamais vue pour réduire un taux de chômage avoisinant les 8%.
La devise européenne n'a par ailleurs presque pas cédé de terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP laisssant échapper 0.01% pour glisser à 0.8039.
Les autorités du bloc euro comptaient dévoiler aujourd'hui son évolution des prix à la consommation, ainsi que l'évaluation préliminaire de son PIB du troisième trimestre, imitée en cela par l'Allemagne, la France et l'Italie.
Les Etats-Unis divulgueront ensuite une série de résultats, portant notamment sur les nouvelles inscriptions au chômage, l'inflation des prix au détail, les réserves pétrolières, ainsi que l'activité manufacturière des régions de New York et Philadelphie.
Ben Bernanke, président de la banque centrale américaine, prononcera enfin un discours, et ses propos seront décortiqués en détail afin de tenter d'y glaner des indices sur le cap que prendra la politique monétaire à l'avenir.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1.2753 en début de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.274, grignotant 0.04%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.2662, son plancher du 13 novembre, et de rencontrer de la résistance à 1.2827, son plafond du 6.
Mais la monnaie unique demeurait sur la sellette, les craintes concernant les perspectives de la région ayant été ramenées au premier plan par des chiffres officiels indiquant hier que sa production industrielle avait fondu de 2.5% en septembre, au lieu des 1.9% déjà redoutés.
Des évaluations préliminaires avaient toutefois signalé auparavant que le produit intérieur brut de la France aurait arraché 0.2% au troisième trimestre, alors qu'une stagnation était redoutée, après avoir reculé de 0.1% lors du second.
La Réserve Fédérale a quand à elle fait savoir dans le compte-rendu de sa réunion d'octobre qu'elle pourrait devoir augmenter le volume de ses achats d'actifs mensuels l'année prochaine, une fois achevée l'Opération Twist, destinée à reporter les échéances de ceux qu'elle détient.
Ses décideurs semblent aussi convaincus que l'économie a encore besoin de stimulations d'une ampleur jamais vue pour réduire un taux de chômage avoisinant les 8%.
La devise européenne n'a par ailleurs presque pas cédé de terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP laisssant échapper 0.01% pour glisser à 0.8039.
Les autorités du bloc euro comptaient dévoiler aujourd'hui son évolution des prix à la consommation, ainsi que l'évaluation préliminaire de son PIB du troisième trimestre, imitée en cela par l'Allemagne, la France et l'Italie.
Les Etats-Unis divulgueront ensuite une série de résultats, portant notamment sur les nouvelles inscriptions au chômage, l'inflation des prix au détail, les réserves pétrolières, ainsi que l'activité manufacturière des régions de New York et Philadelphie.
Ben Bernanke, président de la banque centrale américaine, prononcera enfin un discours, et ses propos seront décortiqués en détail afin de tenter d'y glaner des indices sur le cap que prendra la politique monétaire à l'avenir.