Investing.com - Le dollar U.S. tenait son rang face à la plupart de ses concurrents ce mercredi, l'attentisme restant à l'ordre du jour avant les décisions des banques centrales de demain et les chiffres de l'emploi américain de vendredi.
En fin de première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD trébuchant de 0,08% pour reprendre pied à 1,2827, aux abords d'un gouffre de quatre mois.
La monnaie unique demeurait fragilisée, l'activité médiocre des usines et l'emploi peu reluisant de la région où elle a cours ayant alimenté les angoisses au sujet de son expansion économique au premier trimestre.
Une évaluation préliminaire a révélé en fin de matinée que les prix à la consommation avaient augmenté de 1,7% en mars au lieu des 1,8% précédents, soit un peu plus que les 1,6% prédits.
La prise de cap que la Banque Centrale Européenne jeudi laissait aussi matière à réflexion.
Elle ne devrait probablement annoncer aucun bouleversement après sa réunion, mais la conférence de presse qui sera ensuite tenue par son président Mario Draghi sera décortiquée de près.
Il en était de même avec le yen, l'USD/JPY prenant 0,21% pour se hisser à 93,61, sur fond de probabilités d'assouplisements musclés de la part de la Banque du Japon à l'issue de son conseil de demain.
Le billet vert a par contre cédé quelques centimètres de terrain à la livre sterling, le GBP/USD grignotant 0,04% pour grimper à 1,5109.
La devise de la Grande-Bretagne n'a pas flanché bien qu'il ait été montré que le domaine de la construction là où elle a cours restait en difficulté pour le cinquième mois d'affilée.
L'indice des directeurs des achats du domaine du bâtiment établie par le groupe de recherches économiques Markit n'a en effet frémi que de 46,8 vers 47,2 pour le mois passé, demeurant nettement au-dessous du niveau des 50 dénotant une amélioration de la situation du secteur, et décevant au regard des 47,5 espérés.
Il a d'autre part subi la pression modérée du franc suisse, l'USD/CHF laissant échapper 0,05% pour tomber à 0,9487.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0,04% pour aller vers 1,0142, l'AUD/USD raflant 0,22% pour monter à 1,0472 et le NZD/USD engrangeant 0,11% pour culminer à 0,8426.
Les autorités d'Australie avaient fait savoir à l'aube que le déficit du commerce extérieur avait fondu depuis 1,2 milliards d'AUD pour janvier vers 178 millions pour le second mois de l'année, au lieu du milliard envisagé.
L'indice des directeurs des achats des prestataires de services de la Chine établi par HSBC a pour sa part culminé à 54,3 pour mars, sa plus haute valeur en six mois, et son pendant officiel passait de 54,5 à 55,6 dans le même temps.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0,05% pour se situer à 83,06.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec le décompte des salariés effectué par l'agence de gestion des ressources humaines ADP, tandis que l'institut de gestion des approvisionnements diffusera son rapport sur l'activité tertiaire nationale.
En fin de première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD trébuchant de 0,08% pour reprendre pied à 1,2827, aux abords d'un gouffre de quatre mois.
La monnaie unique demeurait fragilisée, l'activité médiocre des usines et l'emploi peu reluisant de la région où elle a cours ayant alimenté les angoisses au sujet de son expansion économique au premier trimestre.
Une évaluation préliminaire a révélé en fin de matinée que les prix à la consommation avaient augmenté de 1,7% en mars au lieu des 1,8% précédents, soit un peu plus que les 1,6% prédits.
La prise de cap que la Banque Centrale Européenne jeudi laissait aussi matière à réflexion.
Elle ne devrait probablement annoncer aucun bouleversement après sa réunion, mais la conférence de presse qui sera ensuite tenue par son président Mario Draghi sera décortiquée de près.
Il en était de même avec le yen, l'USD/JPY prenant 0,21% pour se hisser à 93,61, sur fond de probabilités d'assouplisements musclés de la part de la Banque du Japon à l'issue de son conseil de demain.
Le billet vert a par contre cédé quelques centimètres de terrain à la livre sterling, le GBP/USD grignotant 0,04% pour grimper à 1,5109.
La devise de la Grande-Bretagne n'a pas flanché bien qu'il ait été montré que le domaine de la construction là où elle a cours restait en difficulté pour le cinquième mois d'affilée.
L'indice des directeurs des achats du domaine du bâtiment établie par le groupe de recherches économiques Markit n'a en effet frémi que de 46,8 vers 47,2 pour le mois passé, demeurant nettement au-dessous du niveau des 50 dénotant une amélioration de la situation du secteur, et décevant au regard des 47,5 espérés.
Il a d'autre part subi la pression modérée du franc suisse, l'USD/CHF laissant échapper 0,05% pour tomber à 0,9487.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0,04% pour aller vers 1,0142, l'AUD/USD raflant 0,22% pour monter à 1,0472 et le NZD/USD engrangeant 0,11% pour culminer à 0,8426.
Les autorités d'Australie avaient fait savoir à l'aube que le déficit du commerce extérieur avait fondu depuis 1,2 milliards d'AUD pour janvier vers 178 millions pour le second mois de l'année, au lieu du milliard envisagé.
L'indice des directeurs des achats des prestataires de services de la Chine établi par HSBC a pour sa part culminé à 54,3 pour mars, sa plus haute valeur en six mois, et son pendant officiel passait de 54,5 à 55,6 dans le même temps.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0,05% pour se situer à 83,06.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec le décompte des salariés effectué par l'agence de gestion des ressources humaines ADP, tandis que l'institut de gestion des approvisionnements diffusera son rapport sur l'activité tertiaire nationale.