Investing.com - Le dollar U.S. était mi-figue, mi-raisin face à la plupart de ses concurrents ce jeudi après-midi, après que le marché de l'emploi ait évolué sans grande surprise là où il a cours la semaine passée.
En fin de première partie de séance européenne, le yen a encore fléchi devant lui, l'USD/JPY avançant de 0,49% pour se retrouver à 98,18.
Le département d'état au travail américain a en effet dénombré 9.000 incriptions au chômage de moins au cours de la semaine achevée le 22 juin, pour un total hebdomadaire de 346.000 après correction saisonnière, alors qu'une soustraction de 10.000 pour les amener à 345.000 était espérée.
Il était à noter dans un autre rapport que les dépenses des particuliers avaient comme prévu frémi de 0,3% en mai.
Le billet vert avait précédemment repris des couleurs grâce aux rumeurs selon lesquelles la Réserve Fédérale commencerait à fermer les vannes d'ici la fin de l'année, malgré la révision à la baisse de la croissance américaine ayant eu lieu mercredi.
Le département d'état au commerce des Etats-Unis a ainsi révélé que leur produit intérieur brut avait gonflé de 1,8% annualisés entre début janvier et fin mars, après révision vers le bas des 2,4% avancés auparavant.
La monnaie unique se trouvait par contre freinée, l'EUR/USD gagnant 0,07% pour grimper à 1,3022, après avoir établi un pic journalier à 1,3088.
Elle demeurait fragilisée après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait rappelé hier qu'il était impossible de prévoir jusqu'à quand les politiques monétaires demeureraient souples.
Le bureau fédéral allemand des statistiques avait quand à lui souligné 12.000 demandeurs d'emploi de moins pour juih, alors que 8.000 supplémentaires étaient redoutés.
Il en était de même avec la livre sterling, le GBP/USD reculant de 0,38% pour glisser à 1,5254, creusant une nouvelle ornière de trois semaines.
La devise de la Grande-Bretagne avait perdu de sa superbe après que des chiffres révisés aient fait savoir que le produit intérieur brut du Royaume-Uni avait gonflé de seulement 0,3% annualisés au premier trimestre, au lieu des 0,6% auparavant avancés.
Le franc suisse a d'autre part plus durement subi sa pression, l'USD/CHF se renforçant de 0,34% pour monter à 0,9464.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été nettement dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,30% pour monter à 0,9304, le NZD/USD engrangeant 0,47% pour culminer à 0,7828 et l'USD/CAD régressant de 0,24% pour aller vers 1,0445.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,01% pour se situer à 83,21.
En fin de première partie de séance européenne, le yen a encore fléchi devant lui, l'USD/JPY avançant de 0,49% pour se retrouver à 98,18.
Le département d'état au travail américain a en effet dénombré 9.000 incriptions au chômage de moins au cours de la semaine achevée le 22 juin, pour un total hebdomadaire de 346.000 après correction saisonnière, alors qu'une soustraction de 10.000 pour les amener à 345.000 était espérée.
Il était à noter dans un autre rapport que les dépenses des particuliers avaient comme prévu frémi de 0,3% en mai.
Le billet vert avait précédemment repris des couleurs grâce aux rumeurs selon lesquelles la Réserve Fédérale commencerait à fermer les vannes d'ici la fin de l'année, malgré la révision à la baisse de la croissance américaine ayant eu lieu mercredi.
Le département d'état au commerce des Etats-Unis a ainsi révélé que leur produit intérieur brut avait gonflé de 1,8% annualisés entre début janvier et fin mars, après révision vers le bas des 2,4% avancés auparavant.
La monnaie unique se trouvait par contre freinée, l'EUR/USD gagnant 0,07% pour grimper à 1,3022, après avoir établi un pic journalier à 1,3088.
Elle demeurait fragilisée après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait rappelé hier qu'il était impossible de prévoir jusqu'à quand les politiques monétaires demeureraient souples.
Le bureau fédéral allemand des statistiques avait quand à lui souligné 12.000 demandeurs d'emploi de moins pour juih, alors que 8.000 supplémentaires étaient redoutés.
Il en était de même avec la livre sterling, le GBP/USD reculant de 0,38% pour glisser à 1,5254, creusant une nouvelle ornière de trois semaines.
La devise de la Grande-Bretagne avait perdu de sa superbe après que des chiffres révisés aient fait savoir que le produit intérieur brut du Royaume-Uni avait gonflé de seulement 0,3% annualisés au premier trimestre, au lieu des 0,6% auparavant avancés.
Le franc suisse a d'autre part plus durement subi sa pression, l'USD/CHF se renforçant de 0,34% pour monter à 0,9464.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été nettement dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,30% pour monter à 0,9304, le NZD/USD engrangeant 0,47% pour culminer à 0,7828 et l'USD/CAD régressant de 0,24% pour aller vers 1,0445.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,01% pour se situer à 83,21.