Investing.com - Les options sur le brut se maintenaieent aux abords de leur plus haut niveau depuis plus d'un an ce jeudi, avec à l'esprit l'instabilité égyptienne.
L'attention se concentrait aussi sur le conseil d'orientation mensuel de l'autorité monétaire de l'Europe, à la veille de la publication des chiffres de la masse salariale américaine.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour août se sont échangés à 101,10 USD le baril en première partie de séance européenne, ne se rétractant que de 0,1%.
Ils avaient auparavant hésité dans une bande limitée entre 101,00 USD, leur pire cours du jour, et 101,48 USD, leur meilleur.
Les volumes des transactions de la journée seront sans doute minimes, les places des Etats-Unis demeurant inactives pour cause de fête de l'indépendance.
La journée d'hier les avait vus bondir jusqu'à 102,15 USD, leur plus haut niveau depuis le 4 mai 2012, dans l'angoisse d'une extension de l'agitation politique touchant l'Egypte aux gros producteurs de la région.
Son président Mohammed Morsi s'était alors trouvé chassé du pouvoir parce ce que certains organes médiatiques qualifiaient de coup d'état militaire.
Ce mouvement s'est amplifié après que l'inventaire des réserves américaines ait montré qu'elles avaient diminué de manière supérieure aux attentes.
L'Agence d'Information sur l'Energie des Etats-Unis a ainsi déclaré hier qu'elles avaient fondu de 10,3 millions de barils au cours de la semaine achevée le 28 juin, au lieu des 2,3 millions attendus.
Les informations officielles sur le volume de la masse salariale non-agricole des Etats-Unis de demain seront désormais surveillées comme le lait sur le feu, en quête d'indices sur les avancées du marché de l'emploi du pays.
La création de 180.000 emplois privés hors agriculture après ajustement saisonnier pour le mois y avait déjà été signalée hier, alors que les experts ne pensaient pourtant pas en voir plus de 160.000.
Toute amélioration renforcerait les chances d'une diminution des apports de capitaux de leur autorité monétaire.
Ses assouplissements quantitatifs sont en effet généralement vus comme un des facteurs cruciaux d'augmentation des prix des matières premières, en raison de leur tendance à affaiblir le billet vert.
Le pays garde sa première part dans la demande globale, avec près de 22%.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour août ont cédé 0,3% pour glisser à 105,36 USD du baril dans le même temps, soit 4,26 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Leur écart est devenu le plus faible depuis décembre 2010 en débuut de semaine, en raison de l'augmentation des perspectives de production en Mer du Nord, et des signes de réduction des stocks du terminal de Cushing, dans l'état de l'Oklahoma, où ont lieu les livraisons Nymex.
L'attention se concentrait aussi sur le conseil d'orientation mensuel de l'autorité monétaire de l'Europe, à la veille de la publication des chiffres de la masse salariale américaine.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour août se sont échangés à 101,10 USD le baril en première partie de séance européenne, ne se rétractant que de 0,1%.
Ils avaient auparavant hésité dans une bande limitée entre 101,00 USD, leur pire cours du jour, et 101,48 USD, leur meilleur.
Les volumes des transactions de la journée seront sans doute minimes, les places des Etats-Unis demeurant inactives pour cause de fête de l'indépendance.
La journée d'hier les avait vus bondir jusqu'à 102,15 USD, leur plus haut niveau depuis le 4 mai 2012, dans l'angoisse d'une extension de l'agitation politique touchant l'Egypte aux gros producteurs de la région.
Son président Mohammed Morsi s'était alors trouvé chassé du pouvoir parce ce que certains organes médiatiques qualifiaient de coup d'état militaire.
Ce mouvement s'est amplifié après que l'inventaire des réserves américaines ait montré qu'elles avaient diminué de manière supérieure aux attentes.
L'Agence d'Information sur l'Energie des Etats-Unis a ainsi déclaré hier qu'elles avaient fondu de 10,3 millions de barils au cours de la semaine achevée le 28 juin, au lieu des 2,3 millions attendus.
Les informations officielles sur le volume de la masse salariale non-agricole des Etats-Unis de demain seront désormais surveillées comme le lait sur le feu, en quête d'indices sur les avancées du marché de l'emploi du pays.
La création de 180.000 emplois privés hors agriculture après ajustement saisonnier pour le mois y avait déjà été signalée hier, alors que les experts ne pensaient pourtant pas en voir plus de 160.000.
Toute amélioration renforcerait les chances d'une diminution des apports de capitaux de leur autorité monétaire.
Ses assouplissements quantitatifs sont en effet généralement vus comme un des facteurs cruciaux d'augmentation des prix des matières premières, en raison de leur tendance à affaiblir le billet vert.
Le pays garde sa première part dans la demande globale, avec près de 22%.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour août ont cédé 0,3% pour glisser à 105,36 USD du baril dans le même temps, soit 4,26 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Leur écart est devenu le plus faible depuis décembre 2010 en débuut de semaine, en raison de l'augmentation des perspectives de production en Mer du Nord, et des signes de réduction des stocks du terminal de Cushing, dans l'état de l'Oklahoma, où ont lieu les livraisons Nymex.