Investing.com - Les options sur le brut étaient en grande forme ce vendredi, , l'affaiblissement général du dollar U.S. et les signes d'avancées politiques en Italie et en Grèce augmentant l'attractivité des investissements plus risqués.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour décembre se sont échangés à 99.17 USD le baril à la clôture des échanges de vendredi, s'envolant de 4.8% pour leur sixième semaine positive d'affilée, la plus longue série de pogression depuis avril 2009.
Ils avaient auparavant culminé ce jour-là à 99.37 USD, leur cours le plus élevé depuis le 27 juillet.
Le parlement italien approuvait dans le même temps d'un amendement au budget national 2012, préparant la démission du premier ministre Silvio Berlusconi de samedi.
Les angoisses concernant la crise de la dette souveraine italienne avaient été ravivées mercredi, après que les taux des emprunts italiens aient établi un nouveau plaffond record à 7.48%, dépassant le seuil des 7% ayant poussé la Grèce, l'Irlande et le Portugal à demander des secours de l'étranger.
Lucas Papademos, premier ministre grec par intérim, et son gouvernement ont quand à eux pris leurs fonctions en fin de semain, ayant la lourde tâche de mettre en place le dernier plan de sauvetage à hauteur de 130 milliards d'euros avant d'organiser des élections anticipées.
Ces informations ont poussé les investisseurs à favoriser les valeurs les plus risquées, comme les actions et les matières premières, et à bouder les valeurs sûres traditionnelles comme l'étalon américain.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a glissé de 0.93% de son côté pour se situer à 77.1, les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ayant tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Des informations préliminaires avaient par ailleurs montré vendredi que l'humeur des particuliers américains s'était propulsée en novembre à son plus haut niveau en cinq mois, encourageant le goût pour le risque.
Les cours avaient également connu jeudi des pics avec l'apaisement du problème du surendettement italien et les informations suivant lesquelles les nouvelles inscriptions au chômage américaines étaient descendues la semaine précédente à leur plus basse valeur en sept mois.
Les signes de forte demande de la part des Etats-Unis et de la Chine ont également contribué à les tirer vers le haut, après qu'une étude ait montré jeudi que cette dernière en avait importé 20.8 millions de tonnes en octobre, soit 4.92 millions de barils quotidiens, augmentant de 26.9% les 16.4 millions de tonnes de la même période de 2010.
L'inventaire hebdomadaire de l'Agence américaine d'Information sur l'Energie avait pour sa part indiqué mercredi que les réserves du brut du pays avaient diminué de 1.4 millions de barils, pour en totaliser 338.1 millions.
Les Etats-Unis et la Chine restent les deux plus gros consommateurs de pétrole de la planète.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour décembre ont grignoté 0.35% pour grimper à 112.88 USD du baril dans le même temps, l'écart avec leurs homologues américaines se réduisant à 13.71 USD, sa plus faible valeur depuis la mi-juin.
Leurs cours s'étaient trouvés tirés vers le bas jeudi, après que l'Agence Internationale de l'Energie ait fait savoir que la production libyenne reprenait plus vite que prévu, et semblait prête à atteindre les 700 000 barils par jour d'ici la fin de l'année.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour décembre se sont échangés à 99.17 USD le baril à la clôture des échanges de vendredi, s'envolant de 4.8% pour leur sixième semaine positive d'affilée, la plus longue série de pogression depuis avril 2009.
Ils avaient auparavant culminé ce jour-là à 99.37 USD, leur cours le plus élevé depuis le 27 juillet.
Le parlement italien approuvait dans le même temps d'un amendement au budget national 2012, préparant la démission du premier ministre Silvio Berlusconi de samedi.
Les angoisses concernant la crise de la dette souveraine italienne avaient été ravivées mercredi, après que les taux des emprunts italiens aient établi un nouveau plaffond record à 7.48%, dépassant le seuil des 7% ayant poussé la Grèce, l'Irlande et le Portugal à demander des secours de l'étranger.
Lucas Papademos, premier ministre grec par intérim, et son gouvernement ont quand à eux pris leurs fonctions en fin de semain, ayant la lourde tâche de mettre en place le dernier plan de sauvetage à hauteur de 130 milliards d'euros avant d'organiser des élections anticipées.
Ces informations ont poussé les investisseurs à favoriser les valeurs les plus risquées, comme les actions et les matières premières, et à bouder les valeurs sûres traditionnelles comme l'étalon américain.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a glissé de 0.93% de son côté pour se situer à 77.1, les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ayant tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Des informations préliminaires avaient par ailleurs montré vendredi que l'humeur des particuliers américains s'était propulsée en novembre à son plus haut niveau en cinq mois, encourageant le goût pour le risque.
Les cours avaient également connu jeudi des pics avec l'apaisement du problème du surendettement italien et les informations suivant lesquelles les nouvelles inscriptions au chômage américaines étaient descendues la semaine précédente à leur plus basse valeur en sept mois.
Les signes de forte demande de la part des Etats-Unis et de la Chine ont également contribué à les tirer vers le haut, après qu'une étude ait montré jeudi que cette dernière en avait importé 20.8 millions de tonnes en octobre, soit 4.92 millions de barils quotidiens, augmentant de 26.9% les 16.4 millions de tonnes de la même période de 2010.
L'inventaire hebdomadaire de l'Agence américaine d'Information sur l'Energie avait pour sa part indiqué mercredi que les réserves du brut du pays avaient diminué de 1.4 millions de barils, pour en totaliser 338.1 millions.
Les Etats-Unis et la Chine restent les deux plus gros consommateurs de pétrole de la planète.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour décembre ont grignoté 0.35% pour grimper à 112.88 USD du baril dans le même temps, l'écart avec leurs homologues américaines se réduisant à 13.71 USD, sa plus faible valeur depuis la mi-juin.
Leurs cours s'étaient trouvés tirés vers le bas jeudi, après que l'Agence Internationale de l'Energie ait fait savoir que la production libyenne reprenait plus vite que prévu, et semblait prête à atteindre les 700 000 barils par jour d'ici la fin de l'année.