Investing.com - Les options sur l'or ont retrouvé vendredi le sourire pour la première fois en cinq jours, s'extirpant de leur ornière des 11 dernières semaines, leur plus forte chute depuis septembre ayant créé des opportunités d'achat à bas prix.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 601.15 USD de l'once à la clôture des échanges de vendredi, subissant une plongée hebdomadaire de 6.7%, leur pire depuis fin septembre.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à 1 562.95, leur plancher des onze semaines passées datant du 15 décembre, et de rencontrer de la résistance à 1 645.45, leur plafond du même jour.
La journée de vendredi les a en effet vus rebondir de 1.5%, les cours reprenant du mordant avec les acquisitions à vil coût et le recul du dollar U.S. face à la plupart de ses concurrents, augmentant ainsi leur attrait.
Le Crédit Agricole français a indiqué dans son rapport dévoilé ce jour-là: "Le métal jaune s'est trouvé malmené cette semaine, puis a repris des couleurs aujourd'hui parce que les observateurs estimaient le moment propice pour prendre position, mais demeure toutefois vulnérable."
La banque y soulignait également s'attendre à ce que les prix "demeurent sous pression, le manque de capitaux en Europe augmentant le besoin de liquidités, l'or étant considéré comme un actif à liquider".
L'angoisse d'une aggravation de la crise de la dette souveraine de la zone euro a de fortes chances d'en limiter les gains, L'agence Fitch ayant annoncé vendredi qu'elle plaçait sa note de la France sous une perspective négative, et mettait six autres membres de la zone euro sous surveillance en vue d'un rabaissement, estimant qu'une "solution totale" au dilemme de la région était "techniquement et politiquement hors de portée".
Il est au demeurant à noter que les cours ont tout de même connu une ascension de 13% à l'année malgré ce revers, ce qui devrait constituer leurs onzième année de progression consécutive.
Ils avaient fortement souffert en début de semaine, le dollar U.S. s'envolant vers un pic des 11 derniers mois face à la monnaie unique après que l'accord de l'Union Européenne auparavant arraché ait déçu les observateurs qui espéraient y trouver une solution complète au problème du surendettement plombant la région depuis deux ans.
Les acteurs des marchés avaient généralement acheté du métal précieux lors de l'arrivée de mauvaises nouvelles en provenance d'Europe au cours de la majeure partie de l'année passée, celles-ci augmentant son attrait en tant que valeur refuge, mais cette relation s'est toutefois révélée moins certaine ces derniers temps, les investisseurs lui préférant le giron fluctuant du dollar U.S.
Les cours se sont en effet effondrés de près de 5% mercredi, creusant sous les planchers de soutien pour clôturer sous sa moyenne fluctuante à 200 jours pour la première fois en presque trois ans, les détenteurs de métal précieux procédant à des reventes tant qu'elles étaient profitable afin de libérer des fonds frais leur permettant de colmater les brèches subies ailleurs.
Sa popularité a également été ternie par l'absence de signes précurseurs d'une nouvelle série d'assouplissements quantitatifs de la part de la Réserve Fédérale lors de la dernière réunion annuelle de son conseil.
Lorsqu'elle avait dévoilé son second programme d'assouplissement quantitatif, dénommé QE2, en novembre 2010, les cours du métal précieux s'étaient envolés vers des sommets historiques pendant quatre sessions d'affilée.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs sombré de 7.75% pour se retrouver à 29.72 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont reculé de 5.8% pour régresser jusqu'à 3.362 USD la livre dans le même temps.
Les investisseurs garderont au cours de la semaine prochaine les yeux sur le baromètre des affaires allemand dévant être dévoilé mardi, afin d'évaluer l'impact de la crise du surendettement sur la plus grosse économie de la région, tandis que les Etats-Unis rendront leurs rapports cruciaux sur le secteur immobilier, les biens durables et les inscriptions au chômage.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 601.15 USD de l'once à la clôture des échanges de vendredi, subissant une plongée hebdomadaire de 6.7%, leur pire depuis fin septembre.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à 1 562.95, leur plancher des onze semaines passées datant du 15 décembre, et de rencontrer de la résistance à 1 645.45, leur plafond du même jour.
La journée de vendredi les a en effet vus rebondir de 1.5%, les cours reprenant du mordant avec les acquisitions à vil coût et le recul du dollar U.S. face à la plupart de ses concurrents, augmentant ainsi leur attrait.
Le Crédit Agricole français a indiqué dans son rapport dévoilé ce jour-là: "Le métal jaune s'est trouvé malmené cette semaine, puis a repris des couleurs aujourd'hui parce que les observateurs estimaient le moment propice pour prendre position, mais demeure toutefois vulnérable."
La banque y soulignait également s'attendre à ce que les prix "demeurent sous pression, le manque de capitaux en Europe augmentant le besoin de liquidités, l'or étant considéré comme un actif à liquider".
L'angoisse d'une aggravation de la crise de la dette souveraine de la zone euro a de fortes chances d'en limiter les gains, L'agence Fitch ayant annoncé vendredi qu'elle plaçait sa note de la France sous une perspective négative, et mettait six autres membres de la zone euro sous surveillance en vue d'un rabaissement, estimant qu'une "solution totale" au dilemme de la région était "techniquement et politiquement hors de portée".
Il est au demeurant à noter que les cours ont tout de même connu une ascension de 13% à l'année malgré ce revers, ce qui devrait constituer leurs onzième année de progression consécutive.
Ils avaient fortement souffert en début de semaine, le dollar U.S. s'envolant vers un pic des 11 derniers mois face à la monnaie unique après que l'accord de l'Union Européenne auparavant arraché ait déçu les observateurs qui espéraient y trouver une solution complète au problème du surendettement plombant la région depuis deux ans.
Les acteurs des marchés avaient généralement acheté du métal précieux lors de l'arrivée de mauvaises nouvelles en provenance d'Europe au cours de la majeure partie de l'année passée, celles-ci augmentant son attrait en tant que valeur refuge, mais cette relation s'est toutefois révélée moins certaine ces derniers temps, les investisseurs lui préférant le giron fluctuant du dollar U.S.
Les cours se sont en effet effondrés de près de 5% mercredi, creusant sous les planchers de soutien pour clôturer sous sa moyenne fluctuante à 200 jours pour la première fois en presque trois ans, les détenteurs de métal précieux procédant à des reventes tant qu'elles étaient profitable afin de libérer des fonds frais leur permettant de colmater les brèches subies ailleurs.
Sa popularité a également été ternie par l'absence de signes précurseurs d'une nouvelle série d'assouplissements quantitatifs de la part de la Réserve Fédérale lors de la dernière réunion annuelle de son conseil.
Lorsqu'elle avait dévoilé son second programme d'assouplissement quantitatif, dénommé QE2, en novembre 2010, les cours du métal précieux s'étaient envolés vers des sommets historiques pendant quatre sessions d'affilée.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs sombré de 7.75% pour se retrouver à 29.72 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont reculé de 5.8% pour régresser jusqu'à 3.362 USD la livre dans le même temps.
Les investisseurs garderont au cours de la semaine prochaine les yeux sur le baromètre des affaires allemand dévant être dévoilé mardi, afin d'évaluer l'impact de la crise du surendettement sur la plus grosse économie de la région, tandis que les Etats-Unis rendront leurs rapports cruciaux sur le secteur immobilier, les biens durables et les inscriptions au chômage.