Investing.com - La livre sterling a dérapé dans une ornière journalière face à un dollar U.S. largement enforcé ce jeudi, après que le procès-verbal de la dernière réunion du conseil de direction de l'émettrice de son adversaire ait montré qu'elle comptait finir par diminuer l'ampleur de ses coups de pouce.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1,5576 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 15 août, puis s'est stabilisée vers 1,5583, perdant 0,49%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5550, son plancher psychologique suivant, et de rencontrer de la résistance à 1,5664, son plafond du jour.
Le compte-rendu de la prise de cap effectuée en juillet par la banque centrale des Etats-Unis montrait en effet des décideurs "majoritairement d'accord" avec l'idée d'une réduction de ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs.
Ils demeuraient cependant partagés au sujet du moment où celle-ci devrait avoir lieu, bien que presque tous aient indiqué que le moment n'était pas encore arrivé.
Il y était aussi indiqué que les résultats économiques étaient "nuancés", laissant entendre que le resserrage des boulons pourrait être encore retardé en cas de ralentissement.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs établi des creux du jour par rapport à l'euro, l'EUR/GBP empochant 0,51% pour se hisser à 0,8571.
La monnaie unique avait repris du poil de la bête après que les industries de la région l'ayant adoptée aient réalisé leurs progression la plus marquée en 26 mois.
Le groupe de recherches économiques Markit a ainsi annoncé en milieu de journée que l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier du bloc euro était passé des 50,3 définitifs de juillet à 51,3, au lieu des 50,8 anticipés.
Celui du tertiaire suivait le même chemin, passant de 49,8 à 51,0, sa valeur la plus élevée en 24 mois dans le même temps, alors qu'un saut de puce à 50,2 semblait probable.
Chris Williamson, économiste en chef de l'institut, précisait: "Le troisième trimestre semble se profiler comme le meilleur que la région ait connu depuis le printemps 2011."
Les baromètres correspondants de l'Allemagne bondissaient pour leur part à 52,0 et 52,4, atteignant ainsi leur plus fortes valeurs en respectivement 25 et 6 mois.
Cette bonne nouvelle a du coup compensé que ceux de la France avaient stagné à 49,7 pour le premier, et chuté à 47,7, son pire niveau en deux mois, pour le second.
Les statistiques correspondante provenant de la seconde économie mondiale avaient dissipé à l'aube le spectre d'un essoufflement de son essor.
Il avait ainsi été annoncé à l'aube que la première évaluation de l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier chinois établi par la banque HSBC était passée de 47,7 à 50,1 pour août, son plus haut niveau en quatre mois, au lieu des 48,3 anticipés.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure de leur côté la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1,5576 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 15 août, puis s'est stabilisée vers 1,5583, perdant 0,49%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5550, son plancher psychologique suivant, et de rencontrer de la résistance à 1,5664, son plafond du jour.
Le compte-rendu de la prise de cap effectuée en juillet par la banque centrale des Etats-Unis montrait en effet des décideurs "majoritairement d'accord" avec l'idée d'une réduction de ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs.
Ils demeuraient cependant partagés au sujet du moment où celle-ci devrait avoir lieu, bien que presque tous aient indiqué que le moment n'était pas encore arrivé.
Il y était aussi indiqué que les résultats économiques étaient "nuancés", laissant entendre que le resserrage des boulons pourrait être encore retardé en cas de ralentissement.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs établi des creux du jour par rapport à l'euro, l'EUR/GBP empochant 0,51% pour se hisser à 0,8571.
La monnaie unique avait repris du poil de la bête après que les industries de la région l'ayant adoptée aient réalisé leurs progression la plus marquée en 26 mois.
Le groupe de recherches économiques Markit a ainsi annoncé en milieu de journée que l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier du bloc euro était passé des 50,3 définitifs de juillet à 51,3, au lieu des 50,8 anticipés.
Celui du tertiaire suivait le même chemin, passant de 49,8 à 51,0, sa valeur la plus élevée en 24 mois dans le même temps, alors qu'un saut de puce à 50,2 semblait probable.
Chris Williamson, économiste en chef de l'institut, précisait: "Le troisième trimestre semble se profiler comme le meilleur que la région ait connu depuis le printemps 2011."
Les baromètres correspondants de l'Allemagne bondissaient pour leur part à 52,0 et 52,4, atteignant ainsi leur plus fortes valeurs en respectivement 25 et 6 mois.
Cette bonne nouvelle a du coup compensé que ceux de la France avaient stagné à 49,7 pour le premier, et chuté à 47,7, son pire niveau en deux mois, pour le second.
Les statistiques correspondante provenant de la seconde économie mondiale avaient dissipé à l'aube le spectre d'un essoufflement de son essor.
Il avait ainsi été annoncé à l'aube que la première évaluation de l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier chinois établi par la banque HSBC était passée de 47,7 à 50,1 pour août, son plus haut niveau en quatre mois, au lieu des 48,3 anticipés.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure de leur côté la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.