Investing.com - Le dollar U.S. était déchiré entre ses principaux concurrents ce jeudi après-midi, frôlant toujours un sommet de sept mois contre le yen en raison des rumeurs d'accommodements de la part de son émettrice, mais laisssant la monnaie unique caracoler à un pic mensuel.
En seconde partie de séance européenne, il a donc encore fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.47% pour grimper à 1.2888.
Son adversaire a en effet repris des couleurs après qu'il ait été annoncé que l'indice de l'activité manufacturière allemande avait redressé la tête depuis 46 vers 46.8 pour novembre, au lieu des 45.9 redoutés.
Les industries du bloc euro n'étaient pas en reste, s'élevant de 45.4 vers 46.2, contre 45.6 envisagés.
Mais ses services se rétractaient depuis 46 jusqu'à 45.7 sur la même période, alors qu'un frémissement à 46.1 était attendu.
Il avait auparavant été révélé que l'indice des directeurs des achats manufacturiers de la Chine établi par HSBC s'était hissé de 49.5 définitifs vers 50.4 pour novembre.
Cette tendance avait été amorcée quand la chancelière allemande Angela Merkel avait déclaré de son côté qu'un accord de déblocage de la tranche d'aides que la Grèce attend depuis un certain temps pourrait toujours être trouvé une fois que les membres de l'Eurogroupe reprendraient les négociations lundi.
L'Espagne a pour sa part émis pour 3.38 milliards de bons du trésor à trois et cinq ans, à des taux en baisse, soulageant ainsi la pression la poussant à recourir à la main tendue par ses partenaires.
Le billet vert a également cédé quelques pouces de terrain à la livre sterling, le GBP/USD grignotant 0.04% pour frémir à 1.5958.
Le yen a par contre subi sa pression, l'USD/JPY grimpant de 0.06% pour se hisser à 82.57, son niveau le plus élevé depuis avril, mais le franc suisse a fait mieux que lui résister, l'USD/CHF laissant échapper 0.46% pour déraper à 0.9344.
La devise du pays du soleil levant demeurait sur la sellette, dans l'expectative d'une augmentation de la pression politique visant à l'adoption d'assouplissements monétaires plus agressifs une fois les résultats du scrutin des élections législatives du 16 décembre connus.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs modestement dominé sa cousine canadienne, mais pas l'australienne, ni la néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.05% pour monter à 0.9968, l'AUD/USD se raffermissant de 0.11% pour se retrouver à 1.038 et le NZD/USD arrachant 0.09% pour culminer à 0.8153.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.33% pour se situer à 80.7.
Le volume des transactions d'aujourd'hui devrait toutefois être limité, les places américaines demeurant closes en raison de la fête de Thanksgiving.
En seconde partie de séance européenne, il a donc encore fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.47% pour grimper à 1.2888.
Son adversaire a en effet repris des couleurs après qu'il ait été annoncé que l'indice de l'activité manufacturière allemande avait redressé la tête depuis 46 vers 46.8 pour novembre, au lieu des 45.9 redoutés.
Les industries du bloc euro n'étaient pas en reste, s'élevant de 45.4 vers 46.2, contre 45.6 envisagés.
Mais ses services se rétractaient depuis 46 jusqu'à 45.7 sur la même période, alors qu'un frémissement à 46.1 était attendu.
Il avait auparavant été révélé que l'indice des directeurs des achats manufacturiers de la Chine établi par HSBC s'était hissé de 49.5 définitifs vers 50.4 pour novembre.
Cette tendance avait été amorcée quand la chancelière allemande Angela Merkel avait déclaré de son côté qu'un accord de déblocage de la tranche d'aides que la Grèce attend depuis un certain temps pourrait toujours être trouvé une fois que les membres de l'Eurogroupe reprendraient les négociations lundi.
L'Espagne a pour sa part émis pour 3.38 milliards de bons du trésor à trois et cinq ans, à des taux en baisse, soulageant ainsi la pression la poussant à recourir à la main tendue par ses partenaires.
Le billet vert a également cédé quelques pouces de terrain à la livre sterling, le GBP/USD grignotant 0.04% pour frémir à 1.5958.
Le yen a par contre subi sa pression, l'USD/JPY grimpant de 0.06% pour se hisser à 82.57, son niveau le plus élevé depuis avril, mais le franc suisse a fait mieux que lui résister, l'USD/CHF laissant échapper 0.46% pour déraper à 0.9344.
La devise du pays du soleil levant demeurait sur la sellette, dans l'expectative d'une augmentation de la pression politique visant à l'adoption d'assouplissements monétaires plus agressifs une fois les résultats du scrutin des élections législatives du 16 décembre connus.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs modestement dominé sa cousine canadienne, mais pas l'australienne, ni la néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.05% pour monter à 0.9968, l'AUD/USD se raffermissant de 0.11% pour se retrouver à 1.038 et le NZD/USD arrachant 0.09% pour culminer à 0.8153.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.33% pour se situer à 80.7.
Le volume des transactions d'aujourd'hui devrait toutefois être limité, les places américaines demeurant closes en raison de la fête de Thanksgiving.